ÌÅÆÐÅÃÈÎÍÀËÜÍÀß ÀÊÀÄÅÌÈß ÓÏÐÀÂËÅÍÈß ÏÅÐÑÎÍÀËÎÌ
È. À. Êàðïóñü
ÔÐÀÍÖÓÇÑÊÈÉ ÄÅËÎÂÎÉ ßÇÛÊ LE FRANÇAIS DAFFAIRES Ó÷åáíîå ï...
3 downloads
225 Views
1MB Size
Report
This content was uploaded by our users and we assume good faith they have the permission to share this book. If you own the copyright to this book and it is wrongfully on our website, we offer a simple DMCA procedure to remove your content from our site. Start by pressing the button below!
Report copyright / DMCA form
ÌÅÆÐÅÃÈÎÍÀËÜÍÀß ÀÊÀÄÅÌÈß ÓÏÐÀÂËÅÍÈß ÏÅÐÑÎÍÀËÎÌ
È. À. Êàðïóñü
ÔÐÀÍÖÓÇÑÊÈÉ ÄÅËÎÂÎÉ ßÇÛÊ LE FRANÇAIS DAFFAIRES Ó÷åáíîå ïîñîáèå 2-å èçäàíèå, ñòåðåîòèïíîå
Êèåâ 2004
ÁÁÊ 81.2ÔÐÀ-9 Ê26
Ðåö åíçåíòû: Å. À. Ñîëîìàðñêàÿ, êàíä. ôèëîë. íàóê, ïðîô. È. È. Áîðèñåíêî, êàíä. ôèëîë. íàóê, äîö.
Îäîáðåíî Ó÷åíûì ñîâåòîì Ìåæðåãèîíàëüíîé Àêàäåìèè óïðàâëåíèÿ ïåðñîíàëîì (ïðîòîêîë ¹ 6 îò 30.09.02)
Ê26
Êàðïóñü È. À. Ôðàíöóçñêèé äåëîâîé ÿçûê: Ó÷åá. ïîñîáèå. 2-å èçä., ñòåðåîòèï. Ê.: ÌÀÓÏ, 2003. 188 ñ. Áèáëèîãð.: ñ. 180. ISBN 966-608-377-9 Ïîñîáèå ñîñòîèò èç 12 óðîêîâ è ãðàììàòè÷åñêîãî ñïðàâî÷íèêà. Ïåðâûé óðîê ïîñâÿùåí Ôðàíöèè, à â îñòàëüíûõ îäèííàäöàòè ðàñêðûòû òåìû äåëîâûõ îòíîøåíèé êîììåð÷åñêàÿ ïåðåïèñêà è äîêóìåíòàöèÿ, ïðåäëîæåíèå óñëóã, çàêàçû è èõ âûïîëíåíèå, ðåêëàìàöèè, ñëóæåáíàÿ ýòèêà è ò. ä.  ãðàììàòè÷åñêîì ñïðàâî÷íèêå èçëîæåíû îñíîâíûå ìîðôîëîãè÷åñêèå è ñèíòàêñè÷åñêèå ïðàâèëà ñîâðåìåííîãî ôðàíöóçñêîãî ÿçûêà. Äëÿ øèðîêîãî êðóãà ëèö, æåëàþùèõ îñâîèòü ôðàíöóçñêèé äåëîâîé ÿçûê. ÁÁÊ 81.2ÔÐÀ-9
ISBN 966-608-377-9
© © ©
È. À. Êàðïóñü, 1999 È. À. Êàðïóñü, 2003, ñòåðåîòèï. Ìåæðåãèîíàëüíàÿ Àêàäåìèÿ óïðàâëåíèÿ ïåðñîíàëîì (ÌÀÓÏ), 2003
ÏÐÅÄÈÑËÎÂÈÅ Íàñòîÿùåå ïîñîáèå ïðåäíàçíà÷åíî äëÿ ñòóäåíòîâ âñåõ ñïåöèàëüíîñòåé òðåõ óðîâíåé ïîäãîòîâêè (êîëëåäæ, áàêàëàâðàò è ìàãèñòðàòóðà) Ìåæðåãèîíàëüíîé Àêàäåìèè óïðàâëåíèÿ ïåðñîíàëîì, èçó÷àþùèõ ôðàíöóçñêèé ÿçûê è èìåþùèõ ïîäãîòîâêó â îáúåìå ïðîãðàììû ñðåäíåé øêîëû. Îíî ìîæåò áûòü òàêæå èñïîëüçîâàíî øèðîêèì êðóãîì ëèö, ñàìîñòîÿòåëüíî èçó÷àþùèõ ôðàíöóçñêèé ÿçûê è ñòðåìÿùèõñÿ îñâîèòü åãî äåëîâóþ ëåêñèêó. Ïîñîáèå ñîñòîèò èç 12 óðîêîâ è ãðàììàòè÷åñêîãî ñïðàâî÷íèêà. Êàæäûé óðîê ïîñòðîåí ñëåäóþùèì îáðàçîì: òåêñò ïî äàííîé òåìå, ñëîâàðü àêòèâíîé ëåêñèêè ê òåêñòó, óïðàæíåíèÿ äëÿ åå çàêðåïëåíèÿ, óïðàæíåíèÿ äëÿ îòðàáîòêè ãðàììàòè÷åñêîãî ìàòåðèàëà. Âî âñåõ óðîêàõ èìåþòñÿ óïðàæíåíèÿ äëÿ ïåðåâîäà íà ôðàíöóçñêèé. Íà ïåðâûé óðîê îòâîäèòñÿ 1012 ÷àñîâ, à íà îñòàëüíûå 46 ÷àñîâ ñàìîñòîÿòåëüíîé ðàáîòû. Âñå ïîñîáèå ìîæåò áûòü ïðîðàáîòàíî çà 4 ñåìåñòðà. Ðåêîìåíäóåòñÿ òàêîé ïîðÿäîê ïðîðàáîòêè ìàòåðèàëà óðîêà: • Âûó÷èòü àêòèâíûå ñëîâà è âûðàæåíèÿ, ïðèâåäåííûå ïîñëå òåêñòà. • Ïîëüçóÿñü îáùèì ôðàíöóçñêî-ðóññêèì ñëîâàðåì, ïðî÷åñòü òåêñò âñëóõ, âûïèñàòü íåçíàêîìûå ñëîâà ñ èõ çíà÷åíèåì. • Âûïîëíèòü ïèñüìåííî ëåêñè÷åñêèå óïðàæíåíèÿ (íîâûå ñëîâà è âûðàæåíèÿ ïî äàííîé òåìå ñëåäóåò âûó÷èòü). • Âûïîëíèòü ãðàììàòè÷åñêèå óïðàæíåíèÿ. Èõ ìîæíî äåëàòü óñòíî, à óïðàæíåíèÿ äëÿ ïåðåâîäà íà ôðàíöóçñêèé ñëåäóåò âûïîëíèòü â ïèñüìåííîì âèäå. • Àêòèâíî èñïîëüçîâàòü ãðàììàòè÷åñêèé ñïðàâî÷íèê â êîíöå êíèãè. Ïðè ñîñòàâëåíèè ïîñîáèÿ èñïîëüçîâàëèñü îðèãèíàëüíûå ôðàíöóçñêèå òåêñòû ïî òåìàì äåëîâîãî ÿçûêà ñ ó÷åòîì ñëîâàðíîãî çàïàñà, ïðèîáðåòåííîãî ó÷àùèìèñÿ â ñðåäíåé øêîëå è âûñøèõ ó÷åáíûõ çàâåäåíèÿõ. Ðÿä òåì ó÷àùèåñÿ ìîãóò èñïîëüçîâàòü â ïðàêòè÷åñêîé ðàáîòå. Ïîñîáèå äëÿ èçó÷àþùèõ è ïðîäîëæàþùèõ èçó÷åíèå ôðàíöóçñêîãî äåëîâîãî ÿçûêà â ÌÀÓÏ ñîñòàâëåíî âïåðâûå, è àâòîð áóäåò áëàãîäàðåí çà ëþáûå çàìå÷àíèÿ, êîòîðûå ó÷òóòñÿ â äàëüíåéøåé ðàáîòå íàä ïîñîáèåì. !
LEÇONS (ÓÐÎÊÈ) PREMIÈRE LEÇON
Texte
france (Ôðàíöèÿ) France est le plus vaste état d’Europe (l’Ukraine et la Fédération Russe exclues). Son territoire est de 551 500 km2. Elle est limitée au nord-ouest par la Manche, le Pas de Calais et la mer du Nord, au nord-est par la Belgique, le Luxembourg et l’Allemagne, à l’est par la Suisse, au sud-est par l’Italie, au sud par la Méditerranée et l’Espagne, à l’ouest par l’Atlantique. La capitale de l’état est Paris. Les grandes villes sont Marseille, Lyon, Toulouse, Nice, Bordeaux, Nantes, Strasbourg, Lille, Le Havre, Toulon, Grenoble, Brest, Reims, Rouen, etc. France est un bas pays: près des deux tiers du territoire sont audessous de 250 m. La latitude, en premier lieu, et la disposition du relief expliquent l’extension du climat tempéré, de type océanique, caractérisé par l’instabilité des types de temps. En raison de l’ancienneté et de la densité du peuplement, de l’extension de cultures, la végétation naturelle a presque totalement disparu. La forêt, qui recouvrait la France est le plus vaste état d’Europe (l’Ukraine et la Fédération Russe exlues) Ôðàíöèÿ ñàìàÿ áîëüøàÿ ñòðàíà Åâðîïû (çà èñêëþ÷åíèåì Óêðàèíû è Ðîññèéñêîé Ôåäåðàöèè)
"
majeur partie du territoire, en occupe à peine le cinquième aujourd’hui. Le climat détermine les grandes catégories de sols: on distingue les sols bruns, les plus répendus, et les sols méditerranéens, de couleur rouge. La disposition zonale est perturbée par le relief et la nature des roches mères. Résultant du climat et de la structure géologique, l’hydrographie se caractérise par l’abondance et la modération de l’ecoulement des eaux. France est arrosée par quatre grands fleuves qui sont: la Seine, la Loire, la Garonne et le Rhône. Les fleuves sont navigables. Ils sont reliés entre eux par des canaux. Les principales montagnes de la France sont: au sud, les Pyrénées qui la séparent de l’Espagne, et à l’est, les Alpes qui la séparent de l’Italie et de la Suisse. Au centre de la France il y a le Massif central. La population de la France est environ de 60 millions d’habitants.
Vocabulaire actif état m— ãîñóäàðñòâî être limité — îãðàíè÷èâàòüñÿ nord m — ñåâåð est m — âîñòîê ouest m — çàïàä sud m — þã capitale f — ñòîëèöà Méditerranée f — Ñðåäèçåìíîå ìîðå tier m — òðåòüÿ ÷àñòü; òðåòü latitude f — øèðîòà expliquer — îáúÿñíÿòü ancienneté f — äðåâíîñòü peuplement m çàñåëåíèå; çàñåëåííîñòü
végétation f — ðàñòèòåëüíîñòü forêt f — ëåñ déterminer — îïðåäåëÿòü, îáóñëîâëèâàòü sol m — ïî÷âà relief m — ðåëüåô roche f mère — ìîðñêàÿ ñêàëà abondance f — îáèëèå modération f — óìåðåííîñòü être arrosé — îðîøàòüñÿ population f — íàñåëåíèå habitant m æèòåëü
I. Répondez aux questions suivantes: 1. Est la France un pays grand ou petit par rapport aux autres pays d’Europe occidentale? 2. Quel est le territoire de la France? 3. Par quels objets géographiques est la France limitée au nord, au sud, à l’est et à l’ouest? 4. Quelle est la capitale de la France? #
5. Quelles sont les grandes villes du pays? 6. Qu’est-ce qui explique l’extension du climat tempéré de la France? 7. Quelle partie du territoire est occupée par la forêt? 8. Qu’est-ce qui détermine les grandes catégories de sols? 9. Quels sols sont les plus répandus en France? 10. Par quels facteurs se caractérise l’hydrographie de la France? 11. Par quels fleuves principaux la France, est-elle arrosée? 12. Quelles sont les principales montagnes de la France? 13. Quel est le climat de l’Ukraine? 14. Sur quel fleuve est situé Kiev? 15. Où fait-il moins froid en hiver: en France ou en Ukraine? 16. Quelles sont les principales villes de la France? II. Mettez à la forme passive: 1. La latitude et le relief expliquent l’extension du climat tempéré. 2. La forêt occupe à peine la cinquième partie du territoire de la France. 3. L’hydrographie se caractérise par l’abondance et la modération de l’écoulement des eaux. 4. Quatre grands fleuves arrosent la France. 5. Les Pyrénées séparent la France de l’Espagne au sud. 6. Les Français habitent la France. 7. L’Océan Atlantique et la Méditerranée bagnent la France. 8. De nombreux canaux relient les fleuves de la France. 9. Nous enverrons nos marchandises à Paris. 10. Mon ami récite bien les poésies de Victor Hugo. III. Traduisez en français: 1. Ôðàíöèÿ ñàìàÿ áîëüøàÿ ñòðàíà Çàïàäíîé Åâðîïû (çà èñêëþ÷åíèåì Óêðàèíû è Ðîññèéñêîé Ôåäåðàöèè). 2. Òåððèòîðèÿ Ôðàíöèè ñîñòàâëÿåò 551 500 êì2. 3. Íà ñåâåðå Ôðàíöèÿ îãðàíè÷åíà Ëà-Ìàíøåì è Ñåâåðíûì ìîðåì. 4. Ñòîëèöà Ôðàíöèè Ïàðèæ. 5. Áîëüøèìè ãîðîäàìè Ôðàíöèè ÿâëÿþòñÿ Ìàðñåëü, Ëèîí, Íèööà, Áîðäî, Íàíò, Ñòðàñáóðã, Ëèëëü è äðóãèå. 6. Ëåñà çàíèìàþò îäíó ïÿòóþ òåððèòîðèè ñòðàíû. 7. Êëèìàò Ôðàíöèè óìåðåííûé. 8. Ïî Ôðàíöèè ïðîòåêàþò ÷åòûðå áîëüøèå ðåêè: Ñåíà, Ëóàðà, Ðîíà è Ãàðîííà. 9. Íà þãå Ôðàíöèþ îò Èñïàíèè îòäåëÿþò Ïèðåíåè. 10. Íàñåëåíèå Ôðàíöèè ðàâíî ïðèìåðíî 60 ìèëëèîíàì ÷åëîâåê. $
IV. Traduisez le texte suivant: Texte
Paris (Ïàðèæ)
Paris est la capitale de la France. La ville se trouve sur la Seine. Paris avec son agglomération, dont il est le centre, compte plus de dix millions d’habitants. Paris est situé au cœur du Bassin parisien, à un point de convergence des fleuves et de routes. Les fonctions actuelles de Paris sont multiples. Capitale politique et intellectuelle de la France, Paris est le siège du gouvernement, des grandes administrations, d’une université (rassemblant le tiers des étudiants français), et comprend des musées, des bibliothèques, etc. Principal port fluvial, Paris est encore le premier centre commercial et industriel de la France grâce à l’abondance de la main d’oeuvre, à l’importance du marché de consomation, à la convergence des voies de communication et à la concentration des capitaux. Les industries lourdes se localisent surtout en banlieu; la ville ellemême est plutôt spécialisée dans de petites industries de transformation très variées, notamment dans les productions de luxe. La croissance continue de l’agglomération, qui groupe le sixième de la population du pays, soulève de graves problèmes économiques et sociaux. Paris fut le siège des jeux Olympiques de 1900 et de 1924. Sur le plan historique, l’établissement primitif de la tribu celtique des Parisii dans une île de la Seine prit le nom de Lutèce à l’époque romaine. Lutèce se développa sur la rive gauche de la Seine. Paris devint la capitale du pays en cinquième siécle. Durant son histoire longue, riche en événements, Paris devint un grand centre économique et culturel du monde.
Vocabulaire actif agglomération f — ãîðîä ñ ïðèãîðîäàìè habitant m — æèòåëü être situé — áûòü ðàñïîëîæåííûì; ðàñïîëàãàòüñÿ siège m — ìåñòî ïðåáûâàíèÿ port m fluvial — ðå÷íîé ïîðò grâce à l’abondance de qch — áëàãîäàðÿ îáèëèþ ÷åãî-ë.
main f d’oeuvre — ðàáî÷àÿ ñèëà marché m de consomation — ïîòðåáèòåëüñêèé ðûíîê convergence f — ñîâïàäåíèå; ñõîäèìîñòü capital m êàïèòàë industrie f de transformation ïåðåðàáàòûâàþùàÿ ïðîìûøëåííîñòü %
production m de luxe ïðîèçâîäñòâî ïðåäìåòîâ ðîñêîøè croissance f ðîñò; óâåëè÷åíèå
tribu f celtique êåëüòñêîå ïëåìÿ époque f romaine — äðåâíåðèìñêàÿ ýïîõà événement m — ñîáûòèå
V. Répondez aux questions suivantes: 1. Quelle est la population de Paris avec son agglomération? 2. Paris, où est-il situé? 3. Quelles sont les fonctions actuelles de Paris? 4. Combien d’étudiants rassemble Paris? 5. Grâce à quoi est Paris le premier centre commercial et industriel de la Françe? 6. Quelles industries se localisent à Paris? 7. Dans quelle industrie est Paris plutôt spécialisé? 8. Quels problèmes souleve la croissance continue de l’agglomération de Paris? 9. Quand Paris a-t-il été le siège des Jeux Olympiques? 10. Quel nom prit l’établissement de la tribu celtique dans une île de la Seine? 11. Quand devin Paris la capitale du pays? VI. Mettez les verbes entre parenthèses à l’imparfait de l’indicatif: 1. Quand je (être) à Paris je (étudier) le système administratif de la France. 2. Quand nous (être) au Caucase, nous (faire) souvent des excursions dans la montagne. 3. En 1985 mon ami (habiter) Marseille et je (recevoir) souvent ses lettres. 4. Quand il (être) en France, il (parler) toujours français. 5. Quand nous (être) à la campagne, nous (se lever) de grand matin, nous (se bagner), nous (aller) dans la forêt, où nous (ramasser) des champignons. 6. Quand je (être) malade, mes amis (venir) souvent me voir. 7. Le soir je (faire) mes devoirs, quand mon ami est venu me voir. En voyant que je (travailler), il est parti aussitôt. 8. Quand nous (être) en France, nous (visiter) souvent les grandes villes de ce pays. VII. Répondez aux questions suivantes: 1. Receviez-vous souvent des lettres, quand vous étiez à l’étranger? 2. Parliez-vous souvent français quand vous étiez en France? &
3. Pleuvait-il souvent, quand vous étiez à la campagne? 4. Etiez-vous content de votre séjour à Paris? 5. Quelle ville habitiez-vous, quand vous étiez en Italie? 6. Que faisiez-vous, quand vous étiez en France? 7. Que buviez-vous, quand vous étiez soif? 8. Que preniez-vous, quand vous aviez mal à la tête? 9. Vous bagniez-vous souvent, quand vous étiez en Crimée? 10. Receviez-vous toujours des lettres de votre ami, quand il était en France? VIII. Traduisez en français: 1. Êèåâ ñòîëèöà Óêðàèíû. Îí ðàñïîëîæåí íà ðåêå Äíåïð. 2. Ïàðèæ ðàñïîëîæåí íà Ñåíå, êîòîðàÿ ïåðåñåêàåò ãîðîä. 3. Äíåïð ñóäîõîäíàÿ ðåêà. 4. Êàêàÿ ñàìàÿ áîëüøàÿ ñòðàíà Çàïàäíîé Åâðîïû? 5. Êèåâ ñàìûé áîëüøîé ãîðîä Óêðàèíû. 6. Íà þãå Ôðàíöèè òåïëåå, ÷åì íà ñåâåðå â ðàéîíå Íîðìàíäèè. 7. Êàêàÿ ñàìàÿ áîëüøàÿ ãîðà â Óêðàèíå? 8. Êàêàÿ ñàìàÿ äëèííàÿ ðåêà â Åâðîïå? 9. Íà êàêîé ðåêå ðàñïîëîæåí âàø ðîäíîé ãîðîä? 10. Ëà-Ìàíø îòäåëÿåò Ôðàíöèþ îò Àíãëèè. 11. Ïî-ôðàíöóçñêè ãîâîðÿò âî Ôðàíöèè, Áåëüãèè è Øâåéöàðèè. 12. Ñêîëüêî ÷åëîâåê ïðîæèâàåò â Ïàðèæå è åãî ïðèãîðîäàõ? IX. Traduisez le texte suivant: Texte
ECONOMIE ET INDUSTRIES FRANÇAISES (Ôðàíöóçñêàÿ ýêîíîìèêà è ïðîìûøëåííîñòü) Avec environ plus de 60 millions d’habitants (densité moyenne de 90 h/km2), la France apparaît, en Europe occidentale, comme un pays relativement sous-peuplé, malgré une croissance spectaculaire depuis 1946 (de l’ordre de 400 000 à 500 000 h. par an). Ce faible peuplement est dû à une longue période de stagnation démographique, du milieu du XIX siècle à la Seconde Guerre mondiale. L’exode rural explique, avec le developpement de l’industrie et des échanges, la répartition actuelle de la population, caractérisée par de grandes concentrations humaines. Le pourcentage de population urbaine par rapport à la population totale est plus de 70 aujourd’hui. '
L’industrie est l’activité économique prépondérante, occupant les deux cinquièmes de la population active et fournissant plus de la moitié du produit national brut. Elle est caractérisée, sur le plan structurel, par la prédominance des petites et moyennes entreprises, liée au maintien d’un liberalisme atténué par l’importance croissante de l’intervention étatique. Sur le plan géographique, l’industrie est trop concentrée dans un petit nombre de régions, celles où les groupements humains de forte densité resultent de l’ancienneté et de l’importance de l’activité industrielle et commerciale. Sur le plan de la production, l’industrie se caractérise par sa diversité. L’énergie nucléaire est la principale source d’énergie, completée par le pétrole (importé en quasi-totalité), l’hydroélectricité (Alpes du Nord, valées du Rhône et du Rhin, Pyrénées), le charbon (Nord), le gaz naturel et l’énergie des marées. La sidérurgie s’est implantée sur le grand gisement de fer lorrain (sur le charbon du Nord et du Massif central). Elle alimente une métallurgie de transformation très complète, où se détache la construction automobile (région parisienne surtout). L’industrie d’aluminium, née de l’abondance de la bauxite, est en essor continu, ainsi que l’électronique, l’industrie du bâtiment (liée à l’évolution démographique) et la chimie (localisée surtout autour de Paris et de Lyon). L’industrie textile conserve son importance en raison du développement des fibres artificielles et synthétiques. L’essort du tourisme est lié à l’élévation du niveau de vie. Dans l’agriculture domine le faire-valoir direct. Malgré la diminution de ses effectifs (moins du cinquième de la population active) et sa relativement faible contribution à la formation du produit national (moins du dixiéme), elle conserve une place importante. La France est un grand producteur de céréales, blé surtout, du vin, de plantes industrielles (betterave à sucre, houblon, lin), de fruits et de légumes. L’élevage des bovins pour les produits laitiers et la viande, se developpe avec l’extension. Dans l’économie nationale, malgré son actuelle prosperité, de nombreux problèmes se posent en raison de son intégration progressive dans la Communauté Économique Européenne (Marché commun). L’industrie est condamnée souvent à disparaître avec la suppression des barrières protectionnistes. L’agriculture est encore suffisamment productive et compétitive, malgré le développement de la motorisation et de la mécanisation. Enfin, les transports ne sont pas toujours adaptés aux conditions de la vie moderne. Si l’équipement portuaire et ferroviaire est satisfaisant, il n’en est pas toujours de même pour la route (insuffisance des autoroutes), et surtout pour la voie d’eau, trop souvent archaïque. Un réseau aérien intérieure est maintenant en place.
Vocabulaire actif être sous-peuplé — áûòü ìàëîíàñåëåííûì croissance f — ðîñò; óâåëè÷åíèå peuplement m íàñåëåíèå; íàñåëåííîñòü exode m rural ìàññîâîå ïåðåñåëåíèå â ñåëà répartition f ðàñïðåäåëåíèå pourcentage m ïðîöåíò population f urbaine ãîðîäñêîå íàñåëåíèå par rapport à qch — â îòíîøåíèè, îòíîñèòåëüíî ÷åãî-ë.; â ñðàâíåíèè ñ ÷åì-ë. prépondérant ïðåèìóùåñòâåííûé deux cinquièmes äâå ïÿòûõ entreprise f — ïðåäïðèÿòèå atténuer — ñìÿã÷àòü; óìåíüøàòü étatique — ãîñóäàðñòâåííûé densité f ïëîòíîñòü ancienneté f äðåâíîñòü production f ïðîèçâîäñòâî diversité f ðàçíîîáðàçèå énergie f nucléaire — ÿäåðíàÿ ýíåðãèÿ pétrole m — íåôòü charbon m óãîëü l’énergie f des marées ýíåðãèÿ ìîðñêèõ ïðèëèâîâ è îòëèâîâ sidérurgie f ÷åðíàÿ ìåòàëëóðãèÿ être implanté sur çä. áûòü ðàñïîëîæåííûì ... íà, â è ò. ä. gisement m de fer ìåñòîðîæäåíèå æåëåçíîé ðóäû alimenter ïèòàòü; ñíàáæàòü
metallurgie f de transformation ïåðåðàáàòûâàþùàÿ ìåòàëëóðãèÿ se détacher âûäåëÿòü; âûäåëÿòüñÿ construction f automobile àâòîìîáèëåñòðîåíèå abondance f îáèëèå être en essor — áûñòðî ðàçâèâàòüñÿ industrie f du bâtiment ñòðîèòåëüíàÿ ïðîìûøëåííîñòü chimie f õèìèÿ conserver ñîõðàíÿòü fibre f artificielle èñêóññòâåííîå âîëîêíî faire-valoir m direct — îáðàáîòêà çåìëè ñàìèì âëàäåëüöåì contribution f à qch ... — âêëàä âî ÷òî-ë. céréales f pl — çåðíîâûå êóëüòóðû blé m — çåðíîâîé õëåá plante f industrielle ïðîìûøëåííîå ðàñòåíèå betterave f à sucre — ñàõàðíàÿ ñâ¸êëà *houblon m — õìåëü lin m — ëåí bovins m ðîãàòûé ñêîò Communauté f Économique Européenne Åâðîïåéñêîå ýêîíîìè÷åñêîå ñîîáùåñòâî Marché m commun Îáùèé ðûíîê suppression f — ñíÿòèå, óñòðàíåíèå être compétitif — áûòü êîíêóðåíòîñïîñîáíûì
transport m — âèä òðàíñïîðòà être adapté à qch — ïðèñïîñàáëèâàòüñÿ, àäàïòèðîâàòüñÿ ê ÷åìó-ë. équipement m portuaire ïîðòîâîå îáîðóäîâàíèå équipement m ferroviare — æåëåçíîäîðîæíîå îáîðóäîâàíèå
route f — äîðîãà; ïóòü; çä. äîðîãè voie f d’eau çä. âîäíûå ïóòè archaïque — ñòàðûé; äðåâíèé être en place — çä. áûòü â ïîðÿäêå; áûòü â íîðìàëüíîì ñîñòîÿíèè
X. Répondez aux questions suivantes d’après le texte: 1. Quelle est la population de la France? 2. Quelle est la densité moyenne de population? 3. Comment apparaît la France en Europe occidentale en ce qui concerne sa population? 4. À quoi est dû le faible peuplement du pays? 5. Qu’est-ce qui explique l’exode rural? 6. Quel est le pourcentage de population urbaine par rapport à la population totale? 7. Quel part de la population active occupe l’industrie? 8. Quelle est l’industrie sur le plan géographique? 9. Quel est l’industrie française sur le plan de la production? 10. Quelle est la principale source d’énergie en France? 11. Quelles sont les autres sources d’énergie? 12. Qu’est-ce qui domine dans agriculture française? 13. Le producteur des quels produits d’agriculture est la France? 14. Quels problèmes se posent en raison de l’intégration de la France dans la Communauté Économique Européenne ? 15. Quels sont les transports français? XI. Traduisez le texte suivant: Texte
LE SYSTÈME MÉTRIQUE (Ìåòðè÷åñêàÿ ñèñòåìà) La France a été le premier pays qui a adopté le système métrique. Ce système s’emploie maintenant dans tous les pays civilisés, excepté la Grande Bretagne et les États-Unis. L’Ukraine a adopté le système métrique en 1924.
Mesures de poids C’est le kilogramme qui est maintenant l’unité de poids. Le gramme se divise en 10 décigrammes, 100 centigrammes et 1000 milligrammes. 1000 grammes font un kilogramme (ou kilo). Un demi-kilo s’appele en France une livre. 1000 kilos font une tonne. Un litre contient un décimètre cube. Mesures de longueur Pour mesurer les longueurs nous avons le mètre. Le mètre se divise en 10 décimètres, 100 centimètres et 1000 millimètres. 10 mètres font un décamètre. 100 mètres font un hectomètre. 1000 mètres font un kilomètre. Un décimètre est dix fois plus petit qu’un mètre. Un centimètre est 100 fois plus petit qu’un mètre. Un millimètre est 1000 fois plus petit qu’un mètre. Le système monétaire français Le système monétaire français se base sur le système métrique. Un franc vaut 100 centimes. Le centime est la centième partie du franc. Un sou vaut 5 centimes. Un franc vaut 20 sous. Un sou est la vingtième partie du franc. Le même système monétaire s’emploie aussi en Belgique, en Suisse, etc. XII. Répondez aux questions suivantes: 1. Combien y a-t-il de centimètres dans un mètre? 2. Combien de kilogrammes font une tonne? 3. Quand avons-nous adopté le système métrique? 4. Qu’est-ce qui est plus petit, un mètre ou un décimètre? 5. Quelles sont les mesures de longueur? 6. Quelles sont les mesures de poids? 7. Combien de sous vaut un franc? 8. Comment s’appelle la vingtième partie du franc? 9. Quelle mesure sert à mesurer l’eau, le vin, le lait (les liquides)? 10. Le système monétaire français, dans quels pays est-il encore adopté? XIII. Mettez au présent et au passé composé les verbes entre parenthèses: 1. Ils (dormir) bien. 2. La petite fille ne (dormir) pas. 3. Je (dormir) mal. 4. Ce coffre lui (servir) de lit. 5. Nous nous (se servir ïîëüçîâàòüñÿ) de ce dictionnaire. 6. Nous (sentir) le parfum des fleurs. 7. Ils ne disent pas toujours la verité, ils (mentir) parfois. !
8. Mon ami Michel (sortir) à huit heures du matin. 9. Cet homme (partir) pour Paris chaque mois. 10. Nos amis (partir) pour Kiev. XIV. Ecrivez le féminin des adjectifs suivants: Masculins Féminins 1. un quartier ancien une ville… 2. un nouveau livre une… ville 3. le premier élève la… élève 4. le centre social la condition… 5. le vieux domaine la… maison 6. un document précieux une pierre… 7. un sentier tortueux une rue… 8. le domain voisin la chambre… 9. le beau parc une… rue 10. le pauvre homme la… femme 11. un pays industriel une ville… XV. Traduisez en français les propositions suivantes: 1. Íàñåëåíèå Ôðàíöèè íàñ÷èòûâàåò îêîëî øåñòèäåñÿòè ìèëëèîíîâ ÷åëîâåê. 2.  Çàïàäíîé Åâðîïå Ôðàíöèÿ ÿâëÿåòñÿ ñàìîé áîëüøîé ñòðàíîé. 3. Ïðîöåíò ãîðîäñêîãî íàñåëåíèÿ ïî îòíîøåíèþ êî âñåìó íàñåëåíèþ ðàâåí 70. 4.  ïðîìûøëåííîñòè çàíÿòî äâå ïÿòûõ àêòèâíîãî íàñåëåíèÿ ñòðàíû. 5.  ãåîãðàôè÷åñêîì ïëàíå ïðîìûøëåííîñòü Ôðàíöèè ñêîíöåíòðèðîâàíà â íåñêîëüêèõ ðàéîíàõ. 6.  ïðîèçâîäèòåëüíîì ïëàíå ïðîìûøëåííîñòü õàðàêòåðèçóåòñÿ ðàçíîîáðàçèåì. 7. Ãëàâíûì èñòî÷íèêîì ýíåðãèè Ôðàíöèè ÿâëÿåòñÿ ÿäåðíàÿ, äîïîëíÿåìàÿ íåôòüþ, ãàçîì è äðóãèìè èñòî÷íèêàìè ýíåðãèè. 8. ×åðíàÿ ìåòàëëóðãèÿ ñíàáæàåò ïåðåðàáàòûâàþùóþ ïðîìûøëåííîñòü è àâòîìîáèëåñòðîåíèå. 9. Ðîñò ñòðîèòåëüíîé ïðîìûøëåííîñòè ñâÿçàí ñ äåìîãðàôè÷åñêèì ðîñòîì. 10. Òåêñòèëüíàÿ ïðîìûøëåííîñòü ñîõðàíÿåò ñâîå çíà÷åíèå áëàãîäàðÿ ðàçðàáîòêå ñèíòåòè÷åñêèõ âîëîêîí. 11.  ñåëüñêîì õîçÿéñòâå äîìèíèðóåò îáðàáîòêà çåìëè ñàìèì âëàäåëüöåì. "
12. Ôðàíöèÿ ÿâëÿåòñÿ êðóïíûì ïðîèçâîäèòåëåì çåðíîâûõ êóëüòóð. 13. Äëÿ ïîëó÷åíèÿ ìîëî÷íûõ ïðîäóêòîâ è ìÿñà â ñåëüñêîì õîçÿéñòâå ðàçâîäÿò êðóïíûé ðîãàòûé ñêîò. 14. Ìíîãî ïðîáëåì âîçíèêàåò â ðåçóëüòàòå èíòåãðàöèè Ôðàíöèè â Åâðîïåéñêîå ýêîíîìè÷åñêîå ñîîáùåñòâî. 15. Ïîðòîâîå è æåëåçíîäîðîæíîå îáîðóäîâàíèå íàõîäèòñÿ â óäîâëåòâîðèòåëüíîì ñîñòîÿíèè. 16. Ñåòü âíóòðåííèõ àâèàöèîííûõ ñîîáùåíèé íàõîäèòñÿ â õîðîøåì ñîñòîÿíèè. XVI. Traduisez le texte suivant: Texte
AUTORITÉS ADMINISTRATIVES CENTRALES ET LOCALES (Öåíòðàëüíûå è ìåñòíûå àäìèíèñòðàòèâíûå îðãàíû) Selon la nouvelle Constitution, préparée par le gouvernement du général de Gaulle et renforcée par un référendum en 1962, le Président de la République est le chef de l’État. Il est élu pour sept ans au suffrage universel direct. Le président nomme le Premier ministre et, sur la proposition de celui-ci, les membres du gouvernement. Il promulgue les lois et peut soumettre au réferendum tout projet de loi portant sur l’organisation des pouvoirs publiques, ou tendant à autoriser la ratification d’un traité qui, sans être contraire à la Constitution, aurait des incidences sur le fonctionnement des institutions. Il peut, après la consultation du Premier ministre et des présidents des Assemblées, prononcer la dissolution de l’Assemblée nationale. Dans certains cas graves, le Président prend les mesures exigées par les circonstances, après la consultation du Premier ministre, des présidents des Assemblées et du Conseil constitutionnel. Le gouvernement est responsable devant l’Assemblée nationale. Les fonctions de membre du gouvernement sont incompatibles avec l’exercice de tout mandat parlementaire, de toute fonction de représentation professionnelle à caractère national et de tout emploi publique ou de toute activité professionnelle. Le Parlement comprend deux chambres — l’Assemblée nationale (élue pour 5 ans au souffrage direct) et le Senat (élu pour 9 ans — avec renouvellement triennal — au souffrage indirect). Le Parlement possède le pouvoir législatif. La Constitution définit en outre la composition et les pouvoirs du Conseil constitutionnel, du Conseil supérieur de la magistrature, de la Haute court de justice et du Conseil économique et social. #
Le territoire de la France est divisé en 21 circonscriptions entre lesquelles sont réparties les 95 départements (dont la ville de Paris est le 75me). La république compte également 4 départements d’outre-mer (Guadeloupe, Martinique, Réunion, Guyane) et divers territoirs d’outre-mer. Dans la France métropolitaine, chaque département, qui a à sa tête un préfet, est divisé en arrondissements, subdivisés en cantons et en communes. Le préfet est assisté d’un conseil général, élu au suffrage universel. Le préfet joue un important rôle de coordination en matières administratives et économiques. L’administration de chaque commune est confiée à un maire, assisté d’un conseil municipal. En France il existe 313 arrondisements, 3 052 cantons et 37 962 communes.
Vocabulaire actif référendum m — ðåôåðåíäóì élire èçáèðàòü; âûáèðàòü suffrage m universel direct âñåîáùèå ïðÿìûå âûáîðû nommer íàçíà÷àòü (íà äîëæíîñòü) promulguer èçäàâàòü (çàêîí) pouvoir m âëàñòü; ïîëíîìî÷èÿ autoriser ðàçðåøàòü; ïîçâîëÿòü incidence f sur qch îòðàçèòüñÿ, ñêàçàòüñÿ íà ÷åì-ë. contraire à qch ïðîòèâîðå÷èòü ÷åìó-ë.; íàõîäèòüñÿ â ïðîòèâîðå÷èè ñ ÷åì-ë. prononcer la dissolution f îáúÿâèòü î ðîñïóñêå Assemblé nationale f Íàöèîíàëüíîå ñîáðàíèå Conseil m constitutionnel Êîíñòèòóöèîííûé ñîâåò gouvernement m ïðàâèòåëüñòâî l’exercice m de tout mandat parlementaire âûïîëíåíèå ëþáûõ ïàðëàìåíòñêèõ ïîëíîìî÷èé $
emploi m — çä. ïîëèòè÷åñêàÿ äîëæíîñòü Parlement m ïàðëàìåíò chambre f — ïàëàòà renouvellement m triennal — îáíîâëåíèå íà îäíó òðåòü pouvoir m législatif çàêîíîäàòåëüíàÿ âëàñòü Conseil m supérieur de la magistrature — Âûñøèé ñóäåáíûé ñîâåò circonscription f — âûáîðíûé îêðóã département m äåïàðòàìåíò d’outre-mer çàìîðñêèé préfet m ïðåôåêò arrondissement m àäìèíèñòðàòèâíûé îêðóã; ãîðîäñêîé ðàéîí canton m êàíòîí commune f êîììóíà conseil m général îáùèé ñîâåò matière f çä. äåëî maire m ìýð
XVII. Répondez aux questions suivantes d’après le texte: 1. Qui est la tête de l’état selon la Constitution française? 2. La Constitution, quand a-t-elle été adoptée? 3. Pour combien d’ans est élu le Président de la République? 4. Qui nomme le Premier ministre et les membres du gouvernement? 5. Quelles sont les principales fonctions du Président? 6. Qu’est-ce que le President peut faire dans certains cas? 7. Avec quoi sont incompatibles les fonctions du membre de gouvernement? 8. Combien de chambres comprend le Parlement? 9. Quel pouvoir posséde le Parlement? 10. Qu’est-ce qui définit en outre la Constitution? 11. En combien de circonscriptions et départements le territoire de la France est-il divisé? 12. Quels sont les départements d’outre-mer? 13. En quoi se divise chaque département? 14. Le préfet, comment est-il élu? 15. À qui est confiée l’administration de chaque commune? XVIII. Traduisez le texte suivant:
Certaines Fonctions des Autorités Locales Texte
Préfecture (Ïðåôåêòóðà) Dans le plan administratif et municipal, la préfecture, qui a à sa tête le préfet, s’occupe des questions suivantes: — la circulation et la police générale; — les voies publique (permis de conduire, étrangers, passeports, ponts et chaussées, etc); — l’agriculture, les eaux et forêts; — l’aide sociale à l’enfance et aux vieux; — la santé publique, les aliénés et les hôpitaux psychiatriques; — le marché du travail et la main-d’oeuvre; — les transports; — les établissements dangereux ou insalubres; — la construction d’immeubles; — l’instruction publique, l’équipement sportif et culturel; %
— les rapatriés; — l’enseignement privé. Cependant des services municipaux fonctionnent dans les villes importantes pour la voirie, l’hygiène, le logement, l’instruction publique et les colonies de vacances, les loisirs des jeunes, l’aide aux mères, le tourisme, etc. Les demandes adressées au préfet (permis des conduire, passeport, carte d’identité, etc) doivent, dans les villes, être déposées au commissariat de police (y demander les formules à remplir).
Mairie (Ìýðèÿ) La mairie, dont la tête et le maire, s’occupe des affaires suivantes: — l’état civil: actes de naissance, de mariage, de décés (bulletins et fiches); — la voirie et la police municipale (chemins vicinaux, foires et marchés, débits de boissons), etc. — l’alignement et le plan d’urbanisme (s’il y en a); — le cadastre; — le placement des travailleurs; — les écoles primaires; — l’instruction sur les listes électorales; — le nettoiement; — le logement. D’après toutes ces questions on s’adresse au service approprié de la mairie.
Vocabulaire actif préfecture f ïðåôåêòóðà circulation f äîðîæíîå äâèæåíèå; óëè÷íîå äâèæåíèå voies publiques f îáùåñòâåííûå äîðîãè permis m de conduire — âîäèòåëüñêèå ïðàâà vieux m ñòàðèê; ïðåñòàðåëûé aliéné m äóøåâíîáîëüíîé marché m du travail — ðûíîê ðàáî÷åé ñèëû insalubre — âðåäíûé äëÿ çäîðîâüÿ &
rapatrié m ðåïàòðèèðîâàííûé voirie f äîðîæíîå äåëî; íàäçîð çà ïóòÿìè ñîîáùåíèÿ hygiène f ãèãèåíà loisirs m des jeunes äîñóã ìîëîäåæè carte f d’identité óäîñòîâåðåíèå ëè÷íîñòè formule f à remplir àíêåòà äëÿ çàïîëíåíèÿ mairie f ìýðèÿ maire m ìýð
état m civil ãðàæäàíñêîå ñîñòîÿíèå chemins m vicinal ïðîñåëî÷íàÿ äîðîãà
débit m de boisson (s) ïèòåéíîå çàâåäåíèå alignement m çä. óñòðîéñòâî
XIX. Ecrivez au passé composé, à l’imparfait et au future simple les phrases suivantes: 1. Nous arrivons à la frontière belge. 2. Nous descendons du train. 3. Nous allons à la douane. 4. Nous ouvrons nos valises. 5. Le train s’arrête. 6. Les voyageurs descendent. 7. Ils se dirigent vers la sortie. 8. Le conducteur leur retire les billets. XX. Remplacez les points par un verbe à l’infinitif précédé de la préposition à: 1. J’ai un devoir… 2. Nous disons au douanier: «Nous n’avons rien…» 3. Vous avez une lettre… 4. J’ai un supplément… pour mes colis. 5. Ils ont une dépeche… 6. Les voyageurs ont… des droit de douane. 7. J’ai une question… à mon professeur. 8. Le professeur nous a donné une composition… 9. Nous avons une dépeche… 10. Ils ont fait tous leurs devoirs. Ils n’ont rien… 11. Il n’y a rien… 12. J’ai quelque chose… vous… XXI. Remplacez les points par les prépositions convenables: 1. J’aime… me promener sur les boulevards de Paris. 2. Ils aiment… aller… bateau. 3. Nous aimons… voyager… avion. 4. Nous voilà… Paris. 5. Nous venons… Paris. 6. Nous venons… rentrer. 7. Cette ville est située… les deux rives… l’Ukraine. '
8. Nous nous promenons… les boulevards… magasins étincelants. 9. Voilà des automobiles lancées… toute vitesse. 10. Nous nous empressons… répondre… vos lettres. 11. Je paye ma chambre 100 francs… jour. 12. Ma chambre donne… le boulevard Saint-Michel. 13. Cette jolie maisonnette se trouve… fond… jardin. 14. Nous partons… Paris. Nous allons… France. XXII. Traduisez les phrases suivantes: 1. Íîâàÿ êîíñòèòóöèÿ Ôðàíöèè áûëà ïîäãîòîâëåíà ïðàâèòåëüñòâîì ãåíåðàëà äå Ãîëëÿ. 2. Ñîãëàñíî êîíñòèòóöèè, ãëàâîé ãîñóäàðñòâà ÿâëÿåòñÿ ïðåçèäåíò, èçáèðàåìûé íà ñåìü ëåò. 3. Ïðåçèäåíò íàçíà÷àåò ïðåìüåð-ìèíèñòðà è, ñ åãî ñîãëàñèÿ, ÷ëåíîâ ïðàâèòåëüñòâà. 4. Ïðàâèòåëüñòâî íåñåò îòâåòñòâåííîñòü ïåðåä Íàöèîíàëüíûì ñîáðàíèåì. 5. Ïàðëàìåíò ñîñòîèò èç äâóõ ïàëàò Íàöèîíàëüíîãî ñîáðàíèÿ è Ñåíàòà. 6. Ïàðëàìåíò îáëàäàåò çàêîíîäàòåëüíîé âëàñòüþ. 7. Òåððèòîðèÿ Ôðàíöèè äåëèòñÿ íà 21 âûáîðíûé îêðóã. 8. Âî Ôðàíöèè 95 äåïàðòàìåíòîâ, èç êîòîðûõ 75-ì ÿâëÿåòñÿ Ïàðèæ. 9. Âî ãëàâå êàæäîãî äåïàðòàìåíòà ñòîèò ïðåôåêò, êîòîðîìó îêàçûâàåò ïîìîùü îáùèé ñîâåò. 10. Äåïàðòàìåíòû äåëÿòñÿ íà êàíòîíû è êîììóíû. 11. Âî ãëàâå êîììóíû ñòîèò ìýð, êîòîðîìó îêàçûâàåò ïîìîùü ìóíèöèïàëüíûé ñîâåò. 12. Ìåñòíàÿ àäìèíèñòðàöèÿ çàíèìàåòñÿ ðåøåíèåì ìíîãèõ àäìèíèñòðàòèâíûõ âîïðîñîâ, ñâÿçàííûõ ñ æèçíüþ äåïàðòàìåíòîâ, êàíòîíîâ è êîììóí.
DEUXIÈME LEÇON
Texte
LA CORRESPONDANCE DAFFAIRES (Äåëîâàÿ ïåðåïèñêà) La correspondance d’affaires obèit à des régles particulières, plus formelles qui celles qui régissent la correspondance ordinaire. Il y a les lois générales de cette correspondance qui sont la rapidité, l’exactitude et la prudence. Le maximum de service dans le minimum de temps, telle est la formule qui s’impose à toute correspondance d’affaires et de caractère commercial, en particulier. La concurrence économique et industrielle exige de chacun un effort croissant pour lutter de vitesse. Cet effort ne s’exerce pas seulement au stage de la production, mais il doit également être assuré à celui de distribution. Le télégraphe, le téléphone, les différentes machines de bureau (à écrire, à calculer, etc), le téléimprimeur, le dictophone et les plus récentes inventions sont tous nés du même besoin: gagner du temps, aller plus vite que le rival, arriver le premier. Les lois générales de la correspondance d’affairres sont la rapidité, l’exactitute et la prudence Îáùèå çàêîíû äåëîâîé ïåðåïèñêè: áûñòðîòà, òî÷íîñòü è îñòîðîæíîñòü
Nous ne parlons pas ici de la rapidité mécanique avec laquelle la lettre est expediée, mais la façon même dont elle est conçue et rédigée. Elle doit contenir tout l’essentiel. Chaque alinéa, chaque phrase, chaque mot doit apporter sa pièrre à l’édifice et justifier sa présence. L’exactitude est la seconde loi, non moins essentielle. Elle enjoint au correspondancier de ne jamais rien écrire d’inexact ni même d’imprécis. Un attachement rigoureux à la verité est une nécessité absolue: la moindre inexactitude entraine des corrections, des réclamations, des retards, peut faire manquer une affaire et même éloigner un client. A notre époque, où les nouvelles marchent si vite, perdre la confiance d’un seul client, c’est s’exposer à perdre toute une clientèle. Un autre aspect de l’exactitude est la précision. Il faut non seulement dire la verité, mais encore la serrer d’aussi près que possible. La troisième loi de la correspondance d’affaires est la prudence. C’est une loi dont on reconnait moins volontiers la nécessité, c’est celle qui défend de faire le jeu de l’adversaire, qui cet adversaire soi: le concurrent, le correspondant même, client ou fournisseur. Le bon correspondancier ne se contentera donc pas de se mettre au courant de la partie téchnique, mais il étudiera à fond le côté juridique des questions qu’il aura à traiter. On n’a pas toujours affaires à des gens d’une honéteté scrupuleuse. Le correspondancier doit en toute occasion faire preuve de bon sense et de tact. Il doit se mettre, et se tenir, au courant des habitudes de la Maison, étudier soigneusement le dossier d’affaire au sujet de laquelle il écrit, se rendre un compte exact et de la position de le Maison et de celle de la Maison ou de la personne à laquelle il s’adresse.
Vocabulaire actif correspondance f d’affaires — äåëîâàÿ êîððåñïîíäåíöèÿ régir îïðåäåëÿòü rapidité f ñêîðîñòü; áûñòðîòà exactitude f òî÷íîñòü prudence f — îñòîðîæíîñòü; ïðåäóñìîòðèòåëüíîñòü s’imposer à qch îòíîñèòüñÿ ê ÷åìó-ë. effor m óñèëèå s’exercer — èñïîëíÿòüñÿ; âåñòèñü; îñóùåñòâëÿòüñÿ
stage m ñòàäèÿ, ýòàï gagner du temps âûèãðàòü âðåìÿ expedier îòñûëàòü, îòïðàâëÿòü alinéa m àáçàö; êðàñíàÿ ñòðîêà concevoir çä. çàäóìûâàòü apporter sa pièrre à l’édifice çä. âíîñèòü ñâîé âêëàä â äåëî essentiel m ñóùíîñòü; ãëàâíîå
correspondancier m 1) êîððåñïîíäåíò; 2) âåäàþùèé êîððåñïîíäåíöèåé imprécis íåòî÷íûé attachement m à qch ñêëîííîñòü ê ÷åìó-ë. confiance f äîâåðèå clientèle f êëèåíòóðà défendre çä. çàïðåùàòü faire le jeu de qn çä. âîäèòü çà íîñ êîãî-ë. adversaire m ñîïåðíèê qui cet adversaire soit êòî áû ýòîò ñîïåðíèê íè áûë fournisseur m ïîñòàâùèê
se contanter de qch óäîâëåòâîðÿòüñÿ ÷åì-ë. côté m juridique þðèäè÷åñêàÿ ñòîðîíà faire preuve de qch ïðåäîñòàâèòü äîêàçàòåëüñòâà ÷åãî-ë.; äîêàçàòü ÷òî-ë. habitude f ïðèâû÷êà; íàâûê; ïîâàäêè Maison f ôèðìà; êîìïàíèÿ se rendre un compte de qch îòäàâàòü ñåáå îò÷¸ò â ÷åì-ë. s’adresser à qn — îáðàùàòüñÿ ê êîìó-ë.; àäðåñîâàòü êîìó-ë.
I. Répondez aux questions d’après le texte: 1. À quelles régles obéit la correspondance d’affaires? 2. Qu’elles sont les lois générales de la correspondance d’affaires? 3. Qu’est-ce que la rapidité de la correspondance d’affaires? 4. Comment comprenez-vous la rapidité dans la correspondance? 5. Qu’est-ce que la prudence de la correspondance d’affaires? 6. Qu’est-ce que l’exactitude dans la correspondance? 7. Quelle est la formule qui s’impose à toute correspondance d’affaires et de caractère commercial? 8. Qu’est-ce qu’exige de chacun la concurrence économique et industrielle? 9. Quelles sont les machines de bureau? 10. De quel besoin sont nées les inventions récentes? 11. Quelle est une nécessité absolue dans la correspondance d’affaires? 12. Qu’est-ce que le correspondancier doit faire en toute occasion? II. Traduisez les phrases suivantes: 1. Il est essentiel de soigner la présentation de la lettre de commerce. 2. Une lettre souillée de bavures, de ratures, mal équilibrée indique une incurie, une négligence des détails. 3. Pour les communications très courtes on emploi quelquefois la cartelettre, mais il est préférable de ne l’employer que pour les notes peu importantes. !
4. La carte postale a l’avantage d’être économique et l’inconvénient d’être livrée à toutes les indiscrétions. On n’en fera donc qu’un usage très prudent. 5. Il est indispensable de dater completement toute lettre d’affaires ou de commerce. 6. On écrit en majuscules la première lettre, du nom, du mois dans la date, mais non dans le corps de la lettre. 7. On laisse d’ordinaire une marge d’un peu plus du cinquième de la largeur de la page. 8. Une marge étroite est incomode pour le correspondant qui a besoin d’espace pour ses annotations. III. Traduisez le texte suivant: Texte
Fonctionnement dun service de correspondance (Ñëóæáà äîñòàâêè êîððåñïîíäåíöèè) Le courier est remis à la personne chargée de sa réception et de son enregistrement. Celle-ci ouvre elle-même toutes les lettres et en prend connaissance rapidement. Au fur et à mesure qu’elle les décachette, elle inscrit sur le registre (ou répertoire) de correspondance: 1. Le nom du correspondant; 2. La date d’envoi de la lettre indiquée par le correspondant; 3. La mention des pièces jointes, s’il y a lieu; 4. En quelques mots l’objet de la lettre. Elle s’assure que toutes les pièces indiquées comme jointes se trouvent dans l’enveloppe et met à part tous les papiers de valeur, tels que chèques, traites, lettres de change ou contrats. Un employé appose sur la lettre ou le document, autant que possible audessous de la date d’envoi, c’est-à-dire en haut et à droite, un timbre indiquant la date d’arrivée, en général sous la forme suivante: Reçu le
19 – VI – 99
Répondu le
"
Certaines Maisons trouvent avantage à employer un horodateur (óñòðîéñòâî äëÿ ïðîñòàâëåíèÿ äàòû è âðåìåíè íà äîêóìåíòàõ), qui précise l’heure même de l’arrivée. Le courrier est ensuite trié (êîððåñïîíäåíöèþ/ïî÷òó çàòåì ñîðòèðóþò) et remis au chef d’entreprise. Celui-ci se réserve de répondre lui-même à toutes les lettre importantes, et donne ses instructions pour que le courrier courant soit remis, pour étude et réponse, aux services compétents de l’entreprise. IV. Remplacez les points par les articles convenables: 1. Il y a… lois générales en ce qui concerne… correspondance d’affaires. 2. C’est… lettre. … lettre est très longue. 3. … phrases d… lettre d’affaires doivent être courtes,… mots doivent être le plus possible exacts. 4. … lettre de recommandation (ou d’introduction) concerne… demande faite à… ami,… correspondant ou… représentant de recevoir aimablement… porteur de… lettre. 5. Nous vous remercions de… offre. Vous vous êtes certenement exagéré… valeur de… marchandise. 6. En reponce à… lettre du 15 courant, nous vous informons avec… plaisir que nous avons reçu… marchandises envoyées par vous. V. Mettez au passé composé et au futur simple les phrases suivantes: 1. Je fais mes adieux à mes amis. 2. Je m’empresse de vous raconter cette aventure. 3. On me laisse passer. 4. Les douaniers font la visite des bagages des voyageurs. 5. Je fais des promenades sur les rues de Kiev. 6. Je loue une chambre dans le Quartier Latin. 7. Nous arrivons à la frontière française. 8. J’envoie mes lettres à mes correspondants. 9. Nous trions le courrier chaque jour. 10. On écrie le nom du correspondant sur l’enveloppe. VI. Écrivez au féminin les adjectifs suivants: Masculin un bon voyage un correspondant un jeune écrivain le confort moderne
Féminin une… impression … correspondance d’affaires une… étudiante la maison… #
le beau quai le bain chaud les boulevards courts
la… rivière l’eau… les rues…
VII. Traduisez les phrases suivantes: 1. Ñóùåñòâóþò îáùèå ïðèíöèïû äåëîâîé ïåðåïèñêè. 2. Îñíîâíîé ïðèíöèï êîììåð÷åñêîé ïåðåïèñêè ñîñòîèò â îêàçàíèè ìàêñèìàëüíûõ óñëóã â ìèíèìàëüíî êîðîòêîå âðåìÿ. 3. Íàèáîëåå èçâåñòíûìè îôèñíûìè àïïàðàòàìè ÿâëÿþòñÿ òåëåôîí, òåëåôàêñ, ïèøóùèå ìàøèíêè è êîìïüþòåðû. 4. Çäåñü ìû íå ãîâîðèì î ìåõàíè÷åñêîé ñêîðîñòè, ñ êîòîðîé îòïðàâëÿåòñÿ ïèñüìî. 5. Êàæäàÿ ôðàçà, êàæäîå ñëîâî äîëæíû áûòü òî÷íûìè. 6. Êàæäûé äåíü ìû ñîðòèðóåì ïî÷òó. 7. Âòîðûì çàêîíîì äåëîâîé ïåðåïèñêè ÿâëÿåòñÿ òî÷íîñòü. 8. Âàæíûì ôàêòîðîì äåëîâîé ïåðåïèñêè ÿâëÿåòñÿ îñòîðîæíîñòü. 9. Íåêîòîðûå ôèðìû èñïîëüçóþò óñòðîéñòâî äëÿ ïðîñòàâëåíèÿ äàòû è âðåìåíè. 10. Òåêóùóþ ïî÷òó ñîðòèðóþò è ïåðåäàþò ðóêîâîäèòåëþ ïðåäïðèÿòèÿ.
$
TROISIÈME LEÇON
Texte
CONSEILS POUR ÉCRIRE UNE LETTRE DAFFAIREs (Êàê íàïèñàòü äåëîâîå ïèñüìî) La lettre est un prologement de la personnalité, la mesure de la culture et du goût. Il semble qu’on écrive de moins en moins. On télégraphie. On téléphone, surtout. On arrive, plus vite que la poste, en automobile ou en avion. La lettre se meurt. Mais la lettre, cependant, n’est pas encore morte. Il y a beaucoup de circonstances où il nous est indispensable de savoir écrire. Il faut remercier, compatir, féliciter, offrir des vœus, des services, établir des contacts commerciaux, etc. Il reste les lettres les plus difficiles à rédiger, celles où la fantasie n’a plus de place, où il faut peser chaque mot et suivre rigoureusement les règles de la correction et de la courtoisie.
Monsieur M. MM. Madame Mme Mmes Mademoiselle Mlle Mlles
La lettre est un prolongement de la personalité, la mesure de la culture et du gout Ïèñüìî ÿâëÿåòñÿ ïðîäîëæåíèåì ëè÷íîñòè, ìåðèëîì êóëüòóðû è âêóñà
%
Ci-dessous on vous donne quelques conseils à suivre pour écrire une lettre d’une manière correcte et courtoise. Le papier à lettre. If faut employer un papier blanc, ou légèrment teinté, portant votre adresse, votre numéro de téléphone. Le format doit être non plié, timbré en haut et à droit. Il doit être ni trop grand, ni trop petit. Le format dit «commercial» est actuellement le plus employé. La lettre dactylographiée. Tapée soigneusement à la machine, la lettre, surtout si elle est interlignée, bien disposée, avec une marge suffisante, est plus propre, plus lisible, que la meilleur caligraphie. Quant aux scripteurs il faut écrire des lettres d’une manière lisible. Toutes les lettres d’affaires doivent être tapées à la machine à écrire. Disposition matérielle de la lettre: la marge. Une marge spacieuse donne à la lettre un «ton» de soin et de respect. Une marge trop étroite rend la lecture de chaque ligne plus pénible. Une marge d’un centimètre et demi est une bonne moyenne. Si vous ajoutez plusieur feuillets, il sera bon de les numéroter. La ponctuation. On trouvera dans toutes les bonnes grammaires les règles de la ponctuation. If faut toujours veiller à ce que la ponctuation soit correcte. Une lettre bien ponctuée est plus facile à lire, et une virgule mal placée peut mener à un malentendu. Les abréviations. «Monsieur», «Madame», «Mademoiselle» et leurs pluriels s’écrivent en abrégés (M., Mme, Mlle, MM., Mmes, Mlles) devant un nom propre. Il faut éviter toutes les abréviations peu usuelles. Les adresses. Il est d’usage de faire graver son numéro de téléphone en haut et à gauche sur la première page de la lettre, en haut et à droite, de préférence, sur la feuille non pliée (pour machine à écrire). Si l’on n’a pas de papier avec l’adresse (ou du moins imprimée), il faut toujours rappeler son adresse sur sa lettre, même lorsqu’on écrit aux amis les plus intimes. La date. N’omettez jamais de dater vos lettres, soit au commencement, soit à la fin. La date au commencement est préférable pour lettres d’affaires. Il vaut mieux indiquer le mois par son nom que par un chiffre. L’en-tête et la salutation finale. Dès le premier mot, vous risquer le faire une faute, et d’être mal jugé. Quant à la formule de politesse qui précéde la signature, c’est pour beaucoup de gens la partie la plus difficile de la lettre. Dans la correspondance d’affaires, usuellement, on commençe la lettre par: «Monsieur» ou «Cher Monsieur» et on la finit par: «Recevez, Monsieur, l’assurance de mes sentiments distingués». La signature. Il est pratique, dans la vie moderne, d’avoir une signature très lisible, qui permette à votre correspondant d’abord d’épeler votre nom, puis de l’écrire sans l’écorcher. &
Vocabulaire actif lettre f d’affaire äåëîâîå ïèñüìî goût m âêóñ savoir écrire óìåòü ïèñàòü féliciter ïîçäðàâëÿòü offrir des vœus ïåðåäàâàòü ïîçäðàâëåíèÿ (ïîæåëàíèÿ) établir des contacts commerciaux óñòàíàâëèâàòü òîðãîâûå ñâÿçè peser chaque mot âçâåøèâàòü êàæäîå ñëîâî papier m à lettre áóìàãà äëÿ ïèñåì plier èçãèáàòü; ñêëàäûâàòü ïîïîëàì lettre f timbrée ïèñüìî ñ ìàðêîé lettre f dactylographiée ïèñüìî, îòïå÷àòàííîå íà ïèøóùåé ìàøèíêå lettre m interlignée ïèñüìî ñ íàïèñàíèåì ìåæäó ëèíèÿìè ñòðîêàìè marge f ïîëå (çä. ïèñüìà)
lisible ëåãêî ÷èòàåìûé spacieux, -se ïðîñòîðíûé ligne f ñòðîêà feuillet f ëèñòîê (áóìàãè) numéroter íóìåðîâàòü ponctuation f ïóíêòóàöèÿ abréviation f ñîêðàùåíèå abrégé m ñëîâî â ñîêðàùåííîì âèäå omettre îïóñêàòü; ïðîïóñêàòü en-tête m çàãîëîâîê salutation f finale îêîí÷àíèå ïèñüìà ñ èñïîëüçîâàíèåì âûðàæåíèé âåæëèâîñòè, óâàæåíèÿ politesse f âåæëèâîñòü usuellement îáû÷íî signature f ïîäïèñü correspondant m — êîððåñïîíäåíò épeler — ÷åòêî ÷èòàòü; ÷èòàòü ïî ñëîãàì écorcher ñáèòüñÿ; íåïðàâèëüíî ïðî÷èòàòü ÷òî-ëèáî
I. Répondez aux questions suivantes d’après le texte: 1. Quel conseil pour écrire une lettre d’affaires trouvez-vous comme le plus important? 2. Dans quels cas préfére-t-on écrire des lettres? 3. Qu’est-ce qu’on écrit sur le papier à lettre? 4. Quelles sont les exigences de la ponctuation d’une lettre d’affaires? 5. Quelles abréviations faut-il éviter dans les lettres d’affaires? 6. Où écrit-on les adresse dans les lettres? 7. Pourquoi dit-on que la lettre est un prolongement de la personnalité qui l’écrit? '
8. Quelles sont les circonstances où il nous faut écrire les lettres? 9. Quelles sont les lettres les plus difficiles à rédiger? 10. Quelle est la lettre dactylographiée? 11. Quelle est la disposition matérielle de la lettre? II. Traduisez le texte suivant: Texte
LENVELOPPE (Êîíâåðò) La coutume tend à se généraliser d’employer des enveloppes dites «à fenêtre», qui permettent de n’écrire l’adresse qu’une seule fois, en pliant la lettre de telle sorte que la vedette vienne exactement s’encadrer sous une partie transparente de l’enveloppe. L’économie de temps qui en résultat n’est pas très importante, mais on a la certitude absolue de ne jamais se tromper d’enveloppe. Beaucoup de Maisons joignent à leur correspondance une enveloppe à leur propre adresse et timbrée d’avance, surtout pour les offres de service. C’est un des nombreux procédés imaginés pour éliminer les moindres obstacles qui pourraient empêcher ou retarder le déclenchement de la commande. L’adresse. Le livre d’adresses doit être soigneusement tenu à jour au fur et à mesure des changements de nom, de raison sociale, de rue ou de numéro. Certaines Maisons, surtout celles qui envoient beaucoup de circulaires et d’imprimés sous bande, emploient l’adressographe, qui imprime d’un seul mouvement l’adresse entière des clients habituels. Les clichés doivent être tenus à jour avec le même soin que le livre d’adresses. III. Remplacez les mots soulignés par le participe présent ou le gérondif: 1. Un député qui rentrait de l’étranger arriva à la frontière. 2. J’ai vu à la bibliothèque mon ami Michel qui lisait un journal. 3. Nous regardions nos troupes qui défilaient sur la rue. 4. Il me parlait et me regardait en même temps. 5. Comme il ne voulait pas payer les droits de douane, il mit une partie des cigares dans ses poches. 6. Les étudiants entrèrent dans la classe et saluèrent leur professeur. 7. Il me parlait et me regardait en face. 8. Je l’ai vu, quand il sortait de la maison. 9. Je l’ai vu, quand je sortais de la maison. !
10. Il constata (êîíñòàòèðîâàë) qu’il était tard et se leva bien vite. 11. Quand je partais, je rencontrai à la gare mon ami qui rentrait de l’étranger. IV. Remplacez les points par les pronoms relatifs: qui, que, à et la conjonction que: 1. Le grand homme ne pouvait pas saluer la foule à cause de ses fusils… le gênaient. 2. Il regarda ses brouettes… se trouvaient près de la maison. 3. Le chemin… il suivait devant l’amener à la gare. 4. Il vit bien… tout était prêt. 5. Le chef de gare,… était un vieil Africain, l’attendait à l’embarcadère. 6. Tartarin et son état-major… attandaient l’arrivée de l’express Paris— Marseille entrèrent dans la salle d’attente. 7. Les chasseurs… il promettat d’envoyer des peaux l’écoutaient avec attention. 8. Il monta dans un wagon plein de Parisiennes,… pensèrent mourir de peur en voyant arriver cet homme étrange. 9. L’homme… est entré est son vieil ami. 10. Le journal… vous cherchez se trouve dans notre salle de lecture. 11. Le rapport… il a fait est très instructif. V. Traduisez les phrases suivantes: 1. Lorsque la lettre est tapée à la machine, on peut dactylographier les nom et prénoms au-dessous de la signature. 2. La plupart des hommes signent de leur nom précédé de l’initiale de leur prénom. 3. Les femmes font précéder de l’initiale de leur prénom le nom de leur mari. 4. La suscription de l’enveloppe doit contenir le nom et le prénom du destinataire, sa qualité ou profession et son domicile: rue et numéro, avec indication de l’arrondissement pour certaines villes. 5. Pour les pays étrangers, il faut se conformer aux indications données par le correspondant et toujours mentionner l’État. VI. Traduisez les phrases en français: 1. Ñóùåñòâóþò íåñêîëüêî îáÿçàòåëüíûõ ïðàâèë íàïèñàíèÿ äåëîâûõ ïèñåì. 2. Áóìàãà äëÿ äåëîâîãî ïèñüìà äîëæíà áûòü õîðîøåé. !
3. Äåëîâûå ïèñüìà íåîáõîäèìî ïå÷àòàòü íà ïèøóùåé ìàøèíêå. 4. Ïðàâèëà ïóíêòóàöèè ìîæíî íàéòè â ó÷åáíèêàõ ïî ãðàììàòèêå ôðàíöóçñêîãî ÿçûêà. 5. Äàòó íåîáõîäèìî óêàçûâàòü â íà÷àëå äåëîâîãî ïèñüìà. 6. Ïîäïèñü â êîíöå ïèñüìà äîëæíà áûòü ðàçáîð÷èâîé. 7. Íåîáõîäèìî óêàçûâàòü â äåëîâîì ïèñüìå íîìåð òåëåôîíà. 8. Íå çàáûâàéòå óêàçûâàòü äàòó â äåëîâûõ ïèñüìàõ. 9. Ïèñüìî ÿâëÿåòñÿ ïðîäîëæåíèåì ëè÷íîñòè, ìåðèëîì åå êóëüòóðû è âêóñà.
!
QUATRIÈME LEÇON
Texte
DAUTRES MOYENS DE CORRESPONDANCE DAFFAIRES (Äðóãèå ñïîñîáû äåëîâîé ïåðåïèñêè) Sauf les lettres d’affaires qu’on utilise souvant, il existe d’autres moyens qu’on peut employer dans la correspondance d’affaires. Ces moyens sont les suivants. La carte-correspondance. Ce petit carton est commode lorsqu’on n’a que quelques mots à dire. Cependent, on ne s’en servira qu’avec des amis assez intimes. La carte-lettre. La carte-lettre est encore moins cérémonieuse, surtout si l’on emploie le modèle vendu par les bureaux de poste. La carte postale. Non illustrée, elle témoigne moins d’égards que la carte-lettre. Il faut donc ne s’en servir que pour passer une commande à un fournisseur habituel. Illustrée, c’est moyen commode de donner de brèves nouvelles à ses amis pendant un voyage. Les salutations et compliments, sur les cartes postales, pour écourtér qu’ils soient par nécessité, ne doivent jamais être entièrement omis. Sauf les lettres d’affaires, il existe d’autres moyens qu’on peut employer dans la correspondance d’affaires Ïîìèìî äåëîâûõ ïèñåì, ñóùåñòâóþò äðóãèå ñïîñîáû, êîòîðûå ìîæíî èñïîëüçîâàòü â äåëîâîé ïåðåïèñêå !!
Le message téléphoné. On se renseignera sur les bureaux de poste auxquels on peut faire envoyer des messages téléphonés. Ce message contien, pour un prix inferieur à celui d’un télégramme, un bien plus grand nombre de mots. Il n’exige donc pas la même concision, mais ne peut être un message que dans une périphérie assez restrainte. Le télégramme. Pour rédiger un télégramme on s’applique, par économie, non seulement à supprimer les mots inutiles, mais à rechercher toutes les expressions qui emploient le minimum de mots sans rendre le sens obscur ni le laisser incomplet. Il est facile de condenser les dix mots de: «Nous serons chez vous demain à dix heures du matîn» en «arriverons demain matin dix heures». Mais ceux qui ont l’habitude du style télégraphique acquièrent une habilité ingénieuse, pesant d’or. Quant aux compliments, nul ne devrait se formaliser de les voir réduits au minimum, c’est-à-dire à un mot. Ce sera, selon le cas: compliments, hommages, amitiés, tendresses, ou tel autre «mot de la salutation». La carte de visite. On trouvera chez tous les imprimeurs un choix de caractères pour carte de visite. La carte gravée est plus élégante que la carte imprimée. Les caractères de fantaisie sont vulgaires. Le nom doit toujours se placer au milien de la ligne.
Docteur Jean BERNARD Chef clinique à l’Hôpital Laneque
Tél. Opera 445-59–37 9, rue Scribe, PARIS Les personnes qui reçoivent beaucoup peuvent avoir des cartes de visite dont le nom est inscrit en haut, de manière à laisser la place pour la correspondance, avec l’adresse en bas à droite.
Vocabulaire actif moyen m ñðåäñòâî; ñïîñîá carte f -correspondance îòêðûòêà äëÿ ñîîáùåíèÿ, óâåäîìëåíèÿ commode óäîáíûé !"
carte-lettre f çàêðûòàÿ ïî÷òîâàÿ êàðòî÷êà carte postale f ïî÷òîâàÿ îòêðûòêà commande f — çàêàç
fournisseur m ïîñòàâùèê écourter óêîðà÷èâàòü; ñîêðàùàòü message m téléphoné ñîîáùåíèå, ïåðåäàííîå ïî òåëåôîíó; òåëåôîííîå ñîîáùåíèå bureaux m de poste ïî÷òîâîå îòäåëåíèå concision f ëàêîíè÷íîñòü; ñæàòîñòü; êðàòêîñòü périphérie f ïåðèôåðèÿ condenser çä. ñæàòü; êðàòêî èçëîæèòü òåêñò
carte f de visite âèçèòíàÿ êàðòî÷êà imprimeur m ïå÷àòíèê caractère m áóêâà; ëèòåðà; øðèôò imprimer ïå÷àòàòü fantaisie f ôàíòàçèÿ, âûäóìêà, çä. âû÷óðíîñòü laisser la place pour qch îñòàâèòü ìåñòî äëÿ ÷åãî-ë. inscrire çàïèñûâàòü; âïèñûâàòü; äåëàòü íàäïèñü en haut ââåðõó à droite ñïðàâà
I. Répondez aux questions suivantes d’après le texte: 1. Quels sont d’autres moyens de correspondance d’affaires? 2. Quand emploie-t-on les cartes-correspondance? 3. Qu’est-ce que la carte-lettre? 4. Quand emploie-t-on les cartes postales? 5. Qu’est-ce que c’est que le message téléphoné? 6. Que signifie le télégramme? 7. Que faut-il faire pour écrire un télégramme? 8. Pourquoi peut-on considerer les cartes de visite comme un moyen de correspondance? 9. Quelle est la forme de la carte de visite? 10. Quelle doit être la carte de visite des personnes qui reçoivent beaucoup? II. Remplacez les points par les prépositions convenables à, en, dans, de: 1. Jean et Pierre vont… l’étranger. 2. Nous avons encore vingt minutes… notre disposition. 3. Montons… wagon. 4. Mets ta valise… le filet. 5. Tout est… régle. 6. Toutes ces formalités ont pris beaucoup… temps. 7. Après-demain nous serons… Italie,… Rome. 8. J’ai peur… manquer notre train. 9. Ils vont… France… Paris. 10. J’ai oublié… prendre mes papiers. !#
11. Nous voici… la maison! 12. Nous voici… route. 13. Nous sommes arrivés… la frontière. 14. Nous serons… Paris… trois jours. 15. Ils sont allés… Angleterre. 16. Qui est… retard? 17. Nous sommes entrés… la chambre. III. Traduisez le texte suivant: Texte
Le début de la lettre daffaires (Íà÷àëî äåëîâîãî ïèñüìà) La plupart des lettres d’affaires et de commerce peuvent se ramener, en ce qui concerne le début de la lettre, à un petit nombre de formules. Celles-ci varient selon l’objet de la lettre et la qualité du correspondant. Voici les principales:
Lettre pour entamer un affaire ou offrir ses services (Ïèñüìî î íà÷àëå ñäåëêè èëè ïðåäëîæåíèè óñëóã) Nous avons l’honneur de vous informer… Nous prenons la liberté de vous informer… Sous les auspices de M…, j’ai l’honneur de vous… J’ai le plaisir de vous faire connaître… Je suis dans l’obligation de…
Demande de renseignements (Íàâåäåíèå ñïðàâîê) Je vous prie de me dire, autant que possible par retour du courrier… Nous vous serions obligés de nous faire connaître… Vous m’obligerez en me donnant des renseignements sur…
Pour passer une commande (Îôîðìëåíèå çàêàçà) Veuillez, je vous prie, m’expédier le plustôt possible… Au reçu de cette lettre,veuillez nous adresser… Je vous prie de prendre note que… Prière de nous adresser immediatement… !$
Pour répondre à une demande de renseignement ou à une commande (Îòâåò íà ïðîñüáó î íàâåäåíèè ñïðàâîê èëè î çàêàçå) J’ai bien reçu votre lettre du 8 octobre m’exprimant votre désir de… En réponse à votre carte postale de ce matin, j’ai le regret de… Je m’empresse de vous informer que… Suivant la demande que vous nous avez faite par votre lettre du 5 courant, nous vous adressons, par le présent courrier… IV. Remplacez les points par les adjectif indéfinis tout, toute, tous, toutes, ou par les pronoms indéfinis. 1. Ils sont accourus… au-devant de moi. 2. Nous nous levons… les matins à sept heures. 3. Ce matin j’ai rencontré dans la rue… groupe d’étudiants. 4. Racontez-moi… ce qui s’est passé. 5. … citoyen de l’Ukraine doit défendre sa patrie. 6. Je comprends… ce que vous dites. 7. C’est… ce que nous pouvons vous raconter. 8. Connaissez-vous… les œvres de cet auteur? 9. … les passagers dormaient quand le «Normandie» quitta le port de Marseille. 10. Le navire avançait à… vapeur. 11. En un instant… coururent sur le pont (ïàëóáó). V. Mettez les verbes entre parenthèses au présent, à l’imparfait, au passé composé, au futur simple: 1. Une brume (couvrir) la mer. 2. Le brouillard (s’épaissir). 3. Tout à coup une noirceur (surgir). 4. Le navire (courir) droit sur le «Normandie». 5. Le capitaine (crier): «Silence tous!» 6. Le capitaine Harvey (faire) son trajet habituel. 7. L’obscurité (être) absolue. 8. On (distinguer) à peine la pointe des mâts. 9. Il me (manquer) 5 jours pour faire ce travail. 10. Les soldats (avancer) lentement vers la ville.
!%
VI. Traduisez les phrases suivantes en français: 1. Êðîìå äåëîâûõ ïèñåì, ñóùåñòâóþò òàêæå äðóãèå ñïîñîáû äåëîâîé ïåðåïèñêè. 2. Ïî÷òîâàÿ îòêðûòêà ÿâëÿåòñÿ îäíèì èç íàèáîëåå èñïîëüçóåìûõ ñðåäñòâ äåëîâîé ïåðåïèñêè. 3. Ïî÷òîâûå êàðòî÷êè ìîãóò áûòü èëëþñòðèðîâàííûìè è íåèëëþñòðèðîâàííûìè. 4. Êðîìå ïèñåì, òåëåãðàììà ÿâëÿåòñÿ íàèáîëåå ðàñïðîñòðàíåííûì ñðåäñòâîì ïåðåïèñêè. 5.  òåëåãðàììå ïîëíûé òåêñò ñæàò äî ïðåäåëà. 6.  âèçèòíîé êàðòî÷êå äàåòñÿ êðàòêàÿ èíôîðìàöèÿ î ÷åëîâåêå. 7. Ëþäè, êîòîðûå ìíîãî çàðàáàòûâàþò, ìîãóò èìåòü âèçèòíûå êàðòî÷êè, íàçâàíèå êîòîðûõ íàïèñàíî ñâåðõó òàê, ÷òîáû îñòàëîñü ìåñòî äëÿ ïèñüìà. 8. Êàêèå ñóùåñòâóþò ñïîñîáû äåëîâîé ïåðåïèñêè? 9. Êàêèå ñîêðàùåíèÿ íàèáîëåå ÷àñòî èñïîëüçóþòñÿ â äåëîâîé ïåðåïèñêå? 10. Íèêîãäà íå çàáûâàéòå ñòàâèòü â ñâîèõ ïèñüìàõ äàòó.
!&
CINQUIÈME LEÇON
Texte
CLASSEMENT DES DOCUMENTS DAFFAIRES (Êëàññèôèêàöèÿ äåëîâûõ äîêóìåíòîâ) La pierre de touche d’un bon classement des documents est la rapidité avec laquelle on classe et retrouve n’importe quel document. Il faut donc trouver une combinaison où chaque document n’ait qu’une seule place. Le plus simple est le classement par date, et pour les documents d’une même date le classement alphabétique. C’est le mode de classement généralement adopté pour la correspondance envoyée. Pour les lettres reçues, on préfère le classement par clients, ce qui permet d’avoir aussitôt en main tous les documents relatifs à une affaire. On a alors un dossier par client, chaque dossier portant un numéro d’ordre qui peut correspondre au numéro du compte du client. La façon la plus pratique de numéroter ces dossiers, dans les Maisons qui gardent longtemps les mêmes clients, est de donner à chacun ce numéro dans l’ordre où ils sont entrés en relations avec la firm, le premier client en date portant et gardant le numéro 1, le second le numéro 2, et ainsi de suite.
On doit tenir deux registres différents pour les lettres reçues et les lettres envoyées Ñëåäóåò èìåòü äâå êíèãè çàïèñåé: äëÿ âõîäÿùèõ è èñõîäÿùèõ ïèñåì !'
Un des principes élémentaires pour tout «archiviste» est de ne jamais autoriser qui que ce soit à retirer un document de ses archives. Lui seul peut le faire, et il a soin, s’il remet un document, de le remplacer par une fiche indiquant à qui le document a été remis et à quelle date. Un autre principe est de ne jamais laisser s’accumuler les documents à classer. La même besogne qui semble légère à la fin de chaque journée devient écrasante si on la néglige pendant une semaine. Quant à la disposition même des dossiers, le succès croissant du classement dit «vertical» tend à prouver que c’est le meilleur système inventé jusqu’à ce jour; c’est, en effet, celui avec lequel il est la plus facile de placer et d’enlever les documents sans déranger les autres dossiers ou pièces du même dossier. En ce qui concerne la correspondance intérieure, dans les Maisons très soigneusement organisées, bien que les différents services reliés par téléphone, on prend soin de confirmer par écrit toutes les communications de quelque importance. Un employé passe à intervalles réguliers dans les differents services pour y prendre ou y déposer les documents. On évite ainsi bien des négligences et on repère facilement le service où quelque étourderie a été commise. Nul ne peut objecter qu’il n’a pas entendu ou qu’il a mal compris les instructions données. On doit tenir deux registres différents pour les lettres reçues et les lettres envoyées. Le registre «départ» sera tenu selon les principes exposés au sujet du registre «arrivée». Il peut être utile, dans une entreprise où le courrier est abondant, d’affecter chaque lettre reçue ou envoyée d’un numéro de classement. Le Code de commerce (livre 1-er, titre deuxième, article 8) après avoir formulé l’obligation pour tout commerçant de tenir un livre-journal, ajoute: «Il est tenu de mettre en liasse les lettres missives qu’il reçoit, et de copier sur un registre celles qu’il envoie. L’emploi généralisé de la machine à écrire a supprimé l’usage de l’ancienne presse à copier, mais la machine ne permet pas la reproduction des indications manuscrites, notamment de la signature. Aussi l’usage tend-il à se généraliser, pour les documents importants ou les manuscrits, de la reproduction photographique dite «photocopie». Le procédé permet de réduire ou d’agrandir le format des documents. L’autre procédé, qui est le plus moderne, est la xérocopie qui permet de copier les documents d’une manière commode et très vite».
"
Vocabulaire actif classement m — ñîðòèðîâêà; ðàñïðåäåëåíèå ïî ðàçðÿäàì; êëàññèôèêàöèÿ retrouver ñíîâà íàõîäèòü; îòûñêèâàòü combinaison f êîìáèíàöèÿ; ñî÷åòàíèå dossier m äîñüå; äåëî numéro m d’ordre ïîðÿäêîâûé íîìåð numéro m du compte íîìåð ñ÷åòà numéroter íóìåðîâàòü Maison f ôèðìà; êîìïàíèÿ archiviste m àðõèâèñò; ðàáîòíèê àðõèâà autoriser ðàçðåøàòü; ïîçâîëÿòü retirer âûíèìàòü; èçâëåêàòü remplacer qch par qch çàìåíÿòü ÷òî-ë. ÷åì-ë. négliger ïðåíåáðåãàòü; îòíîñèòüñÿ íåáðåæíî déranger íàðóøàòü; ïðèâîäèòü â áåñïîðÿäîê confirmer ïîäòâåðæäàòü employé m ñëóæàùèé; ðàáîòíèê
déposer ïîìåùàòü íà õðàíåíèå éviter èçáåãàòü étourderie f îïëîøíîñòü objecter âîçðàæàòü registre m ðååñòð; êíèãà çàïèñåé; óêàçàòåëü; ñïèñîê òåêóùèõ äåë entreprise f ïðåäïðèÿòèå Code m de commerce êîììåð÷åñêèé êîäåêñ formuler ôîðìóëèðîâàòü; ñîñòàâëÿòü obligation f îáÿçàòåëüñòâî mettre en liasse qch ñëîæèòü ÷òî-ë. â ïà÷êó (êèïó); ñäåëàòü ñâÿçêó presse f à copier êîïèðîâàëüíûé ïðåññ reproduction f âîñïðîèçâåäåíèå; êîïèðîâàíèå manuscrit m — 1) ðóêîïèñü; çä. ðóêîïèñíûé ýêçåìïëÿð; 2) ðóêîïèñíûé xérocopie f êñåðîêîïèÿ; êñåðîêîïèðîâàíèå
I. Répondez aux questions suivantes d’après le texte: 1. Qu’est-ce que la pierre de touche d’un bon classement des documents d’affaires? 2. Qu’est-ce que le classement des documents? 3. Quel classement est le plus simple? 4. Qu’est-ce qu’on préfère pour les lettres reçues? 5. Qu’est-ce que c’est que le dossier des documents? 6. Quelle est la façon la plus pratique de numéroter les dossiers? "
7. Qu’est-ce qu’un des principes élémentaires pour tout archiviste? 8. Qu’est-ce qu’un autre principe de ce travail? 9. Quelle est la disposition des documents? 10. Qu’est-ce qu’on fait avec la correspondance intérieure dans les Maisons bien organisées? 11. Combien de registres doit-on tenir et quels sont ces registres? 12. Qu’est-ce que la reproduction des documents d’affaires et quels sont les procédés modernes de la reproduction? II. Remplacez les points par les pronoms ou les adjectifs indéfinis chaque, chacun, personne, même, moi-même, certain: 1. … année mon ami va en France ou en Italie. 2. Je fais toujours ce travail… 3. Nous savons que… étudiants de ce groupe ont déjà commencé à écrire leurs rapports. 4. … de nous a pris part à la discussion de cette question. 5. … saison a ses plaisirs. 6. … de nous doit lire… jour les journaux pour être au courant des événements politiques. 7. C’est lui… qui a proposé de faire ce travail. 8. Il n’y a encore… dans la chambre. 9. … de ces femmes voulait me parler. 10. Il a fait les… fautes que son ami. 11. Ce texte n’est pas difficil, traduisez-le vous… . III. Traduisez le texte suivant: Texte
Dictée de la lettre (Ïèñüìî ïîä äèêòîâêó) Il n’est plus d’usage de rédiger les lettres courantes que la secrétaire se bornait à recopier sur sa machine. Seul un correspondancier débutant et malhabile a recours à cette méthode. Lorsqu’il s’agit d’une lettre longue et difficile à concevoir, il est utile de noter, avant la dictée, son plan, les éléments essentiels de son argumentation, les références invoquées, afin d’étayer la dictée proprement dite sur un schéma général, ce qui laissera plus de liberté pour le choix des expressions. Mais un bon correspondancier, qui a bien étudié son dossier, doit être capable de dicter. Cela fait gagner du temps. "
La secrétaire note le texte qui lui est dicté soit à la main (sténographie), soit à l’aide d’une machine (sténotypie). Les deux méthodes permettent une notation à un rythme extremement rapide, allant jusqu’à celui d’une conversation courante. Le dictaphone ou le magnétophone enregistrent les paroles prononcées. Avec ces appareils il est permis de dicter du courrier en l’absence d’une secrétaire. Il suffit à celle-ci, à son retour, de remettre l’appareil en marche pour entendre distinctement les paroles enregistrées. IV. Traduisez les expressions suivantes et former des phrases en vous servant de ses expressions: 1. Passer la rue. 2. Passer le temps. 3. Le temps passé. 4. Passer des troupes en revue. 5. Passer son chemin. 6. Passer un contrat. 7. Passer la main sur son front, sur ses cheveux. 8. Passer sous silence. 9. Passer un mot, une lettre. 10. Passez-moi le mot. 11. Passer le sel à son voisin. 12. Se passer de quelque chose. 13. Laissez passer. V. Mettez les verbes entre parenthèses aux temps passés qui conviennent: 1. Ils nous (raconter) la nouvelle qu’ils (entendre). 2. Elle (avoir) mal au pied, parce qu’elle (tomber) dans la rue. 3. Nous (avoir) faim, parce que nous ne (manger) rien depuis le matin. 4. La terre (être mouillé), parce qu’il (pleuvoir) pendant toute la nuit. 5. Le navire «Mary» (venir) au secours de ce naufrage qu’il (faire). 6. Je (lire) le livre que je (prendre) à la bibliothèque. 7. Nous (être) très fatigués, parce que nous ne (dormir) pas de toute la nuit. 8. Le navire «Mary» qui (courir) droit sur le navire «Normandie» ne (pouvoir) pas éviter l’abordage. V. Traduisez les phrases suivantes en français: 1. Êðàåóãîëüíûì êàìíåì õîðîøåé ñîðòèðîâêè äåëîâûõ äîêóìåíòîâ ÿâëÿåòñÿ ñêîðîñòü, ñ êîòîðîé îíà ïðîèçâîäèòñÿ. 2. Êàæäûé äîêóìåíò äîëæåí èìåòü ñâîå ìåñòî. "!
3. Ëó÷øå âñåãî ñîðòèðîâàòü äîêóìåíòû ïî èõ äàòå. 4. Íåîáõîäèìî èìåòü âñå äîêóìåíòû ïîä ðóêîé. 5. Âõîäÿùèå ïèñüìà ïðåäïî÷òèòåëüíî ñîðòèðîâàòü ïî êëèåíòàì. 6. Êàæäîå äîñüå èìååò ñâîé ïîðÿäêîâûé íîìåð, êîòîðûé ìîæåò ñîîòâåòñòâîâàòü íîìåðó ñ÷åòà êëèåíòà. 7. ×òî êàñàåòñÿ ðàñïîëîæåíèÿ äîñüå êëèåíòîâ, òî ëó÷øå, ÷òîáû îíî áûëî âåðòèêàëüíûì. 8. ×òî êàñàåòñÿ âíóòðåííåé ïåðåïèñêè â ôèðìå, òî íåîáõîäèìî ïîäòâåðæäàòü ïèñüìåííî ïîëó÷åíèå ëþáîãî, èìåþùåãî êàêîåëèáî çíà÷åíèå, äîêóìåíòà. 9. Íåîáõîäèìî èìåòü äâà ðååñòðà: äëÿ âõîäÿùèõ è èñõîäÿùèõ äîêóìåíòîâ è ïèñåì. 10.  ðàáîòå ñ äåëîâûìè ïèñüìàìè è áóìàãàìè âñå ôèðìû Ôðàíöèè èñïîëüçóþò Êîììåð÷åñêèé êîäåêñ.
""
SIXIÈME LEÇON
Texte
LA CIRCULAIRE (Öèðêóëÿð) La circulaire est une lettre type par laquelle une entreprise transmet à un grand nombre de coresspondants une communication identique. Bien qu’on cherche souvent, pour flatter les destinataires, à lui donner l’allure personnelle, elle est le plus souvent imprimée. De même la signature est rarement manuscrite, sauf lorsqu’il s’agit précisément, en annonçant la fondation d’une Maison, l’entrée d’un nouvel assosié ou la nomination d’un fondé de pouvoir, de donner aux clients le modèle des signatures qui engagent la responsabilité de la Maison. La date est souvent imprimée, parfois remplacée par ces mots entre parenthèses (date de la poste). On s’adresse au client par la majuscule M., complétée ou non, selon le cas, par les autres lettres de Monsieur, Madame, Messieurs ou Mesdames. On peut donner à la circulaire un certain ton de bonhomie en imprimant: Monsieur et Cher Client. Voici les principaux cas où l’on envoie une circulaire: 1. Fondation ou transformation d’une Maison ou d’une succursale; 2. Changement d’adresse ou de raison sociale; agrandissement ou ouverture de nouveaux rayons; La circulaire est une lettre type par laquelle une entreprise transmet à un grand nombre de coresspondants une communication identique Öèðêóëÿð âèä äîêóìåíòà, îäèíàêîâîå ñîäåðæàíèå êîòîðîãî ïðåäïðèÿòèå ïåðåäàåò áîëüøîìó ÷èñëó ñâîèõ êîððåñïîíäåíòîâ "#
3. 4. 5. 6.
Avis de passage d’un voyageur; Circulaires de saison; Avis et rapports divers (convocation d’actionnaires, annonce d’emission); Offres de services, annonce de soldes.
Vocabulaire actif circulaire f öèðêóëÿðíîå ïèñüìî, äîêóìåíò transmettre ïåðåäàâàòü; ïîñûëàòü; íàïðàâëÿòü communication f ñîîáùåíèå flatter ëüñòèòü; óãîæäàòü destinataire m ïîëó÷àòåëü; àäðåñàò allure f õîä; òåìï; ñêîðîñòü annoncer îáúÿâëÿòü fondation f îñíîâàíèå, ó÷ðåæäåíèå ÷åãî-ë. entrée f çä. ïîñòóïëåíèå; ïðèõîä; íà÷àëî ðàáîòû â ôèðìå nomination f íàçíà÷åíèå íà äîëæíîñòü fondé de pouvoir m óïîëíîìî÷åííûé; äîâåðåííûé
modèle m de signature îáðàçåö ïîäïèñè majuscule f áîëüøàÿ áóêâà bonhomie f äîáðîäóøèå; ïðîñòîäóøèå transformation f ïðåîáðàçîâàíèå succursale f ôèëèàë; îòäåëåíèå (ôèðìû, êîìïàíèè) ouverture f îòêðûòèå rayon m îòäåëåíèå; îòäåë avis m — çä. óâåäîìëåíèå; èçâåùåíèå; ñîîáùåíèå passage m çä. ïåðåõîä; ïåðååçä emission f çä. ýìèññèÿ, âûïóñê (äåíåã, öåííûõ áóìàã, àêöèé) solde m ðàñïðîäàæà óöåíåííûõ òîâàðîâ
I. Répondez aux questions suivantes d’après le texte: 1. Qu’est-ce que la circulaire? 2. Qu’est-ce qu’on cherche souvent à faire en envoyant une circulaire? 3. À qui s’adresse la circulaire? 4. Dans quels cas la signature, n’est-elle pas manuscrite? 5. De quelle manière écrit-on la date dans la circulaire? 6. Comment s’adresse-t-on au client? 7. Si l’on peut donner à la circulaire un ton de bonhomie, qu’est-ce qu’on fait? 8. Quels sont les cas principaux où l’on envoie une circulaire? II. Complétez les phrases suivantes: 1. Si j’avais faim, je… "$
2. Si j’avais soif, je… 3. Je voudrais me reposer, si… 4. Je vous donnerais ce livre, si… 5. Seriez-vous content, si… 6. Si j’avais une enveloppe, je… 7. Si j’étais libre ce jour, je… 8. Nous nous reposerions bien, si… 9. Je ne resterais pas à la maison, s’il... beau temps. III. Traduisez le texte suivant: Texte
Avis détablissement dune succursale (Óâåäîìëåíèå îá ó÷ðåæäåíèè ôèëèàëà) Madame, Nous avons l’honneur de vous informer qu’en raison de l’insuffisance de nos locaux et de l’impossibilité matérielle de les agrandir, nous venons d’établir une succursale de Rome, à proximité de la gare Saint-Lazare. Nos clients de la rive droite et ceux de la banlieue ouest de Paris gagneront ainsi un temps appréciable en faisant leurs achats dans ces nouveaux magasins, où ils trouveront aux même prix avantageux les articles irréprochables qui font le succès de notre Maison. En vous remerciant de la confiance que vous avez bien voulu nous témoigner jusqu’ici, nous vous prions d’agréer, Madame, nos respectueuses salutations. IV. Remplacez les points par le prenom en ou y: 1. Nous aimons le lait, nous… buvons beaucoup. 2. Il n’est jamais en retard, j… suis sûr. 3. Combien de lettre avez-vous écrites? J’… ai écrit trois. 4. Avez-vous besoin de ce journal? Qui, j’… ai besoin. 5. Avez-vous acheté du sel? Qui, j’… ai acheté. 6. Est-il content de son travail? Non, il n’… est pas content. 7. Pensez-vous à votre examen? Qui, j’… pense. 8. Vous préparez-vous à ce voyage? Qui, nous nous… préparons. 9. Veux-tu prendre part à cette excursion? Sans doute, je veux… prendre part. 10. Lis cette lettre et réponds… . 11. Vous intéressez-vous à ce problème? Non, je ne m’… intéresse pas. "%
V. Mettez les verbes entre parenthèses aux temps et aux modes qui conviennent: 1. Si je ne pas (être) malade, je (venir) vous voir ce soir. 2. Si je (avoir) soif, je (prendre) un verre de limonade. 3. Vous (être) plus fort si vous (faire) du sport. 4. Le malade (souffrir) moins s’il (suivre) les conseils du médecin. 5. S’il (faire) beau demain, nous (aller) nous promener dans la forêt. 6. Si vous (prendre) froid, vous (avoir) mal à la gorge. 7. Si vous (fumer) moins, vous (se porter) mieux. 8. Si je vous (rencontrer) hier, je (apprendre) cette nouvelle. 9. Si vous ne me (téléphoner) pas hier, je ne (venir) pas à cette réunion. 10. Si elle ne (recevoir) pas votre télégramme, elle (rester) à Kiev. 11. Si nous ne (attendre) pas le tram, nous (rentrer) beaucoup plus tôt. 12. S’il ne (pleuvoir) pas hier, je (aller) à la campagne. VI. Traduisez les phrases suivantes: 1. ×òî òàêîå öèðêóëÿðíîå ïèñüìî? 2. Öèðêóëÿðíûå ïèñüìà ïîñûëàþò áîëüøîìó ÷èñëó êîððåñïîíäåíòîâ. 3. ×àñòî öèðêóëÿðíûå ïèñüìà ïå÷àòàþò íà ïèøóùåé ìàøèíêå. 4. Ïîäïèñü îò ðóêè ñòàâÿò òîãäà, êîãäà ðå÷ü èäåò îá îñíîâàíèè íîâîé ôèðìû. 5. Îáðàçåö ïîäïèñè îòñûëàåòñÿ âñåì êëèåíòàì. 6.  êàêèõ ñëó÷àÿõ ïîñûëàþò öèðêóëÿðíûå ïèñüìà? 7.  ñëó÷àå îñíîâàíèÿ èëè ïðåîáðàçîâàíèÿ ôèðìû êëèåíòàì ïîñûëàþò öèðêóëÿðíûå ïèñüìà. 8. Èíîãäà, ÷òîáû ïðèäàòü ïèñüìó äîáðîæåëàòåëüíûé òîí, ê êëèåíòó îáðàùàþòñÿ òàê: Ãîñïîäèí è óâàæàåìûé êëèåíò. 9. Ñåçîííûå öèðêóëÿðíûå ïèñüìà ïîñûëàþò â íà÷àëå êàæäîãî âðåìåíè ãîäà. 10. Íåêîòîðûå ôèðìû óâåäîìèëè êëèåíòîâ öèðêóëÿðíûìè ïèñüìàìè î ñâîåì çàêðûòèè.
"&
SEPTIÈME LEÇON
Texte
LOFFRE DE SERVICE (Ïðåäëîæåíèå óñëóã) Beaucoup d’offres de service, lorsqu’elles s’adressent à un grand nombre de clients, sont de veritables circulaires, auxquelles les procédés modernes d’impression permettent de donner l’allure de lettres personnelles. En principe, celui qui rédige une offre de service espère recevoir une réponse qui lui sera directement adressée. Il ne manquera pas de préciser: 1. À quel titre et avec quelles références il écrit au destinataire; 2. Quelle marchandise il se déclare prêt à fournir, ou quel genre du travail il peut effectuer; 3. Quels avantages il est à même d’offrir. Il insistera en particulier sur les points qu’il juge le plus propres à décider le destinataire à accepter ses propositions. Il s’efforcera aussi de prévoir toutes les objections possibles et de les réfuter d’avance. D’une manière générale, il essaiera de se mettre à la place de celui auquel il écrit, afin de mieux saisir les arguments à invoquer. Toute une organisation de vente par correspondance a été élaborée sous le nom anglais de «follow up system», que l’on peut traduir en français comme «le système de surveillance». Celui qui rédige une offre de service espère reçevoir une résponse qui lui sera directment adressée Òîò, êòî ñîñòàâëÿåò äåëîâîå ïðåäëîæåíèå, íàäååòñÿ ïîëó÷èòü îòâåò, êîòîðûé áóäåò àäðåñîâàí ëè÷íî åìó "'
Dans ce système, qui est presque automatique, le pivot est le correspondancier ou archiviste qui assure l’ordonance des lettres à envoyer. Mais l’élément initial du succès est la qualité de la rédaction des lettres types, destinées à être reprodiutes à un très grand nombre d’exemplaires, et dont dépendra la décision du client. Car l’idée maîtresse de cette méthode est de donner à chaque client l’illusion que chacune des lettres qu’il reçoit a été composée tout spécialement pour lui. On a, en effet, inventé des machines qui donnent l’illusion parfaite de la dactylographie: mêmes caractères, même encre. Il n’y a plus qu’à ajouter l’adresse du client à la machine à écrire et à signer à la main.
Vocabulaire actif offre f ïðåäëîæåíèå; äåëîâîå ïðåäëîæåíèå offre f de service ïðåäëîæåíèå óñëóã (â òîì ÷èñëå â ïîèñêå ðàáîòû) procédé m ïðèåì; ñïîñîá; ìåòîä; ïîäõîä donner l’allure — çä. ïðèäàòü âèä; ñäåëàòü âèä rédiger une offre — ñîñòàâèòü äåëîâîå ïðåäëîæåíèå réponse f îòâåò à quel titre m íà êàêîì îñíîâàíèè référence f — ñïðàâêà, ññûëêà; îòíîøåíèå; ðåêîìåíäàöèÿ marchandise f òîâàð fournir ïîñòàâëÿòü effectuer le travail âûïîëíÿòü ðàáîòó; ðàáîòàòü avantage m ïðåèìóùåñòâî proposition f ïðåäëîæåíèå (ðàáîòû)
#
prévoir ïðåäóñìàòðèâàòü réfuter îòáðàñûâàòü; èñêëþ÷àòü d’avance çàðàíåå se mettre à la place de qn ïîñòàâèòü ñåáÿ íà ìåñòî êîãî-ë. invoquer ññûëàòüñÿ íà ÷òî-ë. vente f par correspondance òîðãîâûå ñäåëêè, ñîâåðøàåìûå ïóòåì ïåðåïèñêè «follow up system» (système de surveillance) ñëåäÿùàÿ ñèñòåìà (àíãë. òåõ.) pivot m îñíîâà; îïîðà; ãëàâíûé äâèãàòåëü; äâèæóùàÿ ñèëà rédaction f ðåäàêòèðîâàíèå; ðåäàêöèÿ décision f ðåøåíèå idée f maîtresse — ãëàâíàÿ, îñíîâíàÿ èäåÿ inventer èçîáðåòàòü
I. Répondez aux questions suivantes d’après le texte: 1. Qu’est-ce que l’offre de service? 2. À qui s’adressent les offres de service? 3. Qu’est-ce qui permet de faire les procédés modernes d’impression? 4. Qu’est-ce qu’espère recevoir celui qui rédige une offre de service? 5. Que faut-il préciser en composant une offre de service? 6. Qu’est-ce que la vente par correspondance? 7. Comment fonctionne le système de surveillance? 8. Qui est le pivot du système de surveillance? 9. Qu’est-ce que l’élément initial de ce système? 10. De quoi dependera la decision du client dans ce système? 11. Qu’est-ce qu’on a inventé qui donne l’illusion de la dactylographie? II. Mettez au futur simple les verbes entre parenthèses. Préciser la valeur du futur simple: 1. Demain nous (écrire) une lettre à notre chef. 2. Dès qu’elle (arriver) à Paris, elle vous (envoyer) un télégramme. 3. Aussitôt que je (lire) cet article, je vous (passer) le journal. 4. Tu (pouvoir) reprendre ton travail, après que tu (se reposer). 5. Dès que vous (rentrer), vous me (téléphoner). 6. Vous (venir) demain à deux heures et vous me (apporter) mon dictionnaire. 7. Tu (prendre) ce médicament après les repas. 8. Je sais qu’il (venir) demain. 9. Quand il (faire) chaud, nous (aller) nous bagner dans la rivière… 10. Il (tenir) sa parole. III. Traduisez le texte suivant: Texte
Traits principaux du système de surveillance (La suite du texte principal) (Îñíîâíûå îñîáåííîñòè ñëåäÿùåé ñèñòåìû) 1. On se procure, le plus souvent au moyen d’annonces dans les journaux, mais aussi en consultant les divers annuaires et une liste d’adresses de clients éventuels; 2. On en dresse un répertoire sur fiches, qui seront consultées et complétées à intervalles réguliers; #
3. On écrit (à des intervalles calculés de manière à interesser de plus en plus le client sans l’importuner) des lettres qui insistent sur les divers avantages des articles à placer; 4. On abandonne les clients récalcitrants après un nombre donné de vaines tentatives (quatre ou cinq); 5. On tient en haleine la clientèle acquise par une correspondance régulière et l’envoi de catalogues et de prix courants; 6. On soumet chaque nouveau client à toute la série du traitement, que l’on adapte aux circonstances qui se présentent et d’après les expériences faites.
Mots et expressions se procurer — äîñòàòü ñåáå, ðàçäîáûòü; îáåñïå÷èòü ñåáÿ au moyen d’annonces ñ ïîìîùüþ îáúÿâëåíèé annuaire m ñïðàâî÷íèê; åæåãîäíèê répertoire m ïåðå÷åíü; ñïèñîê fiche f çä. êàðòî÷êà; ëèñò importuner äîêó÷àòü; íàäîåäàòü; áåñïîêîèòü abandonner ïîêèäàòü; îñòàâëÿòü
récalcitrant óïðÿìûé; ñòðîïòèâûé; íîðîâèñòûé vaine f tentative áåñïîëåçíàÿ ïîïûòêà en haleine â ðàáî÷åì ñîñòîÿíèè clientèle f êëèåíòóðà acquérir ïðèîáðåòàòü traitement m îáðàáîòêà; îáõîæäåíèå faire l’expérience — èñïûòûâàòü; óçíàâàòü ÷òî-ë. íà îïûòå
IV. Remplacez les points par les pronoms relatifs et traduisez les phrases suivantes: 1. Notre Maison se trouve dans une rue… est très large. 2. Nous sommes entrés dans la salle au fond… se trouvait une tribune. 3. Dans la salle à manger il y avait plusieurs buffets sur… étaient des carafes, des pilles d’assiettes en porcelaine. 4. Cette chambre était occupée par un jeune étudiant… la famille habitait Marseille. 5. La rivière au bord ... se trouve cette maison de repos est très large et très profonde. 6. Le dictionnaire… vous vous servez pour vos traductions est très bon. 7. L’auteur… nous avons lu quelques oeuvres est très connu. #
8. Voilà quelques beaux arbres à l’ombre… nous nous reposerons. 9. Le pays… nous avons visité possède d’immenses richesses. 10. L’homme… je n’ai pas reconnu le visage s’approcha de moi. 11. Les machines… nous attendons ne sont pas encore arrivées de la France. 12. Nous avons lu l’histoire de la ville… la population avait beaucoup souffert pendant la deuxième guerre mondiale. V. Donnez la traduction des experssions suivantes et composez les phrases en les utilisant: faire son droit faire du sport faire ses études faire du ski faire la guerre faire faire de la bicyclette faire la grève faire attention à faire son chemin faire semblant de faire sa chambre faire le métier de VI. Traduisez les phrases suivantes en français: 1. Ìíîãèå ïðåäëîæåíèÿ óñëóã ïîõîæè íà íàñòîÿùèå öèðêóëÿðíûå ïèñüìà. 2. Òîò, êòî ñîñòàâëÿåò äåëîâîå ïðåäëîæåíèå, íàäååòñÿ ïîëó÷èòü îòâåò, êîòîðûé áóäåò àäðåñîâàí ëè÷íî åìó. 3. Íåîáõîäèìî óòî÷íèòü, íà êàêîì îñíîâàíèè âû ïèøåòå ïèñüìî àäðåñàòó. 4. Âû äîëæíû íàïèñàòü, êàêîé òîâàð âû ãîòîâû ïîñòàâèòü. 5. Êàêèå ïóíêòû âû ðåøèëè ïðèíÿòü â åãî ïðåäëîæåíèè? 6. Íåîáõîäèìî ïðåäóñìîòðåòü çàðàíåå âñå âîçìîæíûå âîçðàæåíèÿ. 7. Ïîñòàâüòå ñåáÿ íà åãî ìåñòî è âû âñå ïîéìåòå. 8. Îðãàíèçàöèÿ ïðîäàæè ïóòåì ïåðåïèñêè íàçûâàåòñÿ ñëåäÿùåé ñèñòåìîé. 9. Ãëàâíûå ýëåìåíòû óñïåõà ýòî êà÷åñòâî è ðåäàêòèðîâàíèå ïèñåì, êîòîðûå âû îòñûëàåòå êëèåíòàì. 10. Ãëàâíàÿ èäåÿ ìåòîäà ñîñòîèò â òîì, ÷òîáû ñîçäàòü èëëþçèþ, ÷òî êàæäîå ïèñüìî ñîñòàâëåíî ñïåöèàëüíî äëÿ êîíêðåòíîãî êëèåíòà.
#!
HUITIÈME LEÇON
Texte
DEMANDES DEMPLOI (Ïðîñüáû î ïðåäîñòàâëåíèè ðàáîòû) Les demandes d’emploi entrent dans la catégorie des offres de service. Leur composition est, pour l’auteur, de la plus haute importance. Beaucoup d’acceptions et de refus ont été décidés à la simple lecture d’une lettre bien ou, au contraire, mal tournée. Voici les points principaux à développer: 1. Comment on a appris qu’une place se trouvait vacante; 2. Quelles aptitudes particulières on possede pour cette situation. Etudes. Apprentissage. Occupations antérieures. Qualités. Age. Situation de famille. 3. Quelles références on peut fournir et quels certificats ou copies de certificats on joint à la lettre que l’on offre d’envoyer. Le point le plus délicat est le second, car il faut naviguer entre deux écueils: a) On ne doit pas dire assez de bien de soi-même, au risque de faire pencher la décision du patron vers un autre candidat moins modeste qui aura mieux su se faire valoir; b) On dire trop de bien de soi-même et donner une impression fâcheuse de vantardise. On ne doit pas dire assez de bien de soi-même, au risque de faire pencher la décision du patron vers un autre candidat moins modeste qui aura mieux su se faire valoir Íå ñëåäóåò î÷åíü ñåáÿ ðàñõâàëèâàòü, ðèñêóÿ òåì, ÷òî íà÷àëüíèê ìîæåò ñêëîíèòüñÿ ê ïðèíÿòèþ ðåøåíèÿ â ïîëüçó äðóãîãî êàíäèäàòà, ìåíåå ñêðîìíîãî, îäíàêî óìåþùåãî äàòü ñåáå îöåíêó #"
En général, on restera autant que possible dans le domaine des faits et des chiffres (durée des services, appointements antérieurs, preuves matérielles des services rendus) et on ajoutera le minimum d’appréciations personnelles sur soi-même.
Vocabulaire actif demande f d’emploi ïðîñüáà î ïðåäîñòàâëåíèè óñëóã, ðàáîòû, ìåñòà, äîëæíîñòè è ò. ï. acceptation f ñîãëàñèå; ïðèíÿòèå ïðåäëîæåíèÿ refus m îòêàç au contraire íàîáîðîò mal tourné çä. ïëîõî íàïèñàííûé; ïëîõî ñîñòàâëåííûé; íåóìåëî ñäåëàííûé place f vacante âàêàíòíîå ìåñòî aptitude f — ñïîñîáíîñòü; ñêëîííîñòü; ïðèãîäíîñòü étude f ó÷åáà apprentissage m ó÷åíè÷åñòâî; ðàáîòà â êà÷åñòâå ó÷åíèêà; îáó÷åíèå (ðåìåñëó) qualité f çä. òèòóë; çâàíèå; äàííûå situation f de famille ñåìåéíîå ïîëîæåíèå
certificat m — óäîñòîâåðåíèå; äîêóìåíò naviguer entre deux écueils ïëûòü ìåæäó äâóìÿ ðèôàìè de soi-même î ñåáå faire pencher qn vers qch ñêëîíÿòü êîãî-ë. ê ÷åìó-ë. modeste ñêðîìíûé; óìåðåííûé se faire valoir îöåíèâàòü ñåáÿ; äàòü ñåáå îöåíêó facheux, -se íåïðèÿòíûé; äîñàäíûé vantardise f áàõâàëüñòâî; õâàñòîâñòâî domaine m îáëàñòü; ñôåðà fait m — ôàêò; äåÿíèå; äåëî appointement m íàçíà÷åíèå íà äîëæíîñòü preuve f äîêàçàòåëüñòâî rendre services îêàçûâàòü óñëóãè appréciation f îöåíêà
I. Répondez aux questions suivantes d’après le texte: 1. Dans quelle catégorie des documents entrent les demandes d’emploi? 2. Les acceptations et les refuses, quand ont-ils eté décidés? 3. Quels sont les points principaux à developper en demandant d’emploi? 4. Comment comprenez-vous «la demande d’emploi»? 5. Qu’est-ce que c’est que «l’emploi» dans le texte à-dessus? 6. Quel sera le résultat pour l’auteur si la lettre est mal tournée ou, au contraire, bien tournée? 7. Quel est le point le plus delicat quand vous composez une demande d’emploi? ##
8. Pourquoi ne faut-il pas dire assez de bien de soi-même? 9. Pourquoi ne faut-il pas dire trop de bien de soi-même en demandant d’emploi? 10. Dans quel domaine faut-il rester en demandant d’emploi? II. Mettez les verbes entre parenthèses aux temps qui conviennent: 1. On m’a dit qu’il (venir) hier. 2. Il savait que son ami (partir) hier. 3. Elle m’a écrit que son père (arriver) bientôt. 4. Il m’a dit que sa soeur (vouloir) me voir. 5. Savez-vous qu’on (vendre) ces revues dans notre kiosque ? 6. Il a décidé qu’il (passer) son examen en automne. 7. Elle lui a demandé comment il (s’appeler). 8. Il leur a raconté comment il (sauver) son ami. 9. Il a compris qu’il (terminer) l’Université de Kiev, qu’il (travailler) à la rédaction d’une revue. 10. Il a répondu que ses amis français (arriver) bientôt. 11. Elle m’a demandé si je (être) à l’academie demain. 12. Ils croyaient que nous (partir) le lendemain. 13. Les jeunes gens savaient qui (être) cet homme. 14. Nous les avons prévenus qu’ils (devoir) être prêts à tout. III. Traduisez le texte suivant: Texte
Demande demploi (La suite du texte principal) (Ïðîñüáà î ïðåäîñòàâëåíèè ðàáîòû) Monsieur, J’ai relevé dans le numero du 27 décembre du journal l’annonce par laquelle vous demandiez un employé au courant de votre genre d’affaires, sténo-dactylographe parfait, pouvant se charger de la comptabilité en partie double et de la correspondance étrangère. Je crois remplir les conditions exigées et me permets de solliciter cette place. Je suis âgé de trente-cinq ans, marié; j’ai suivi les cours de l’École de commerce de Dijon et acquis à Madrid et à Londres la connaissance approfondie des langues étrangères. J’ai travaillé huit ans chez MM. Blévin et Cie de Lyon, passant par tous les services de magasin et de bureau. Je suis #$
actuallement chef comptable et correspondant français, anglais et espagnol chez MM. Mullet, Gorpet Cie de notre ville. Mes appointements annuels sont de… francs. Je joins copies de certificats qui vous permetront de juger de mes aptitudes et de mon caractère et, si vous accueillez favorablement ma demande, je puis vous assurer que je m’efforcerai toujours de justifier votre confiance. Dans l’espoir de votre réponse et sollicitant une entrevue, je vous prie d’agréer, Monsieur, l’hommage de ma haute consideration.
Mots et expressions être au courant des affaires áûòü â êóðñå äåë; çä. áûòü ñïåöèàëèñòîì â ÷åì-òî sténo-dactylographe m ñòåíîãðàô-ìàøèíèñòêà se charger de qch áðàòü íà ñåáÿ îáÿçàííîñòü; çàíèìàòüñÿ ÷åì-ë. en partie double — çä. îäíîâðåìåííî; â òî æå âðåìÿ solliciter une place äîáèâàòüñÿ ìåñòà (ðàáîòû) connaissance f approfondie des langues étrangères ãëóáîêîå çíàíèå èíîñòðàííûõ ÿçûêîâ bureau m — êîíòîðà; áþðî
chef comptable m ñòàðøèé áóõãàëòåð; ñ÷åòîâîä correspondant m français, anglais et espagnol çä. ëèöî, çàíèìàþùååñÿ ïåðåïèñêîé íà ôðàíöóçñêîì, àíãëèéñêîì è èñïàíñêîì ÿçûêàõ si vous accueillez favorablement ma demande… åñëè âû îòíåñåòåñü áëàãîñêëîííî ê ìîåé ïðîñüáå
justifier la confiance îïðàâäàòü äîâåðèå entrevue f ñâèäàíèå, âñòðå÷à hommage m ïî÷òåíèå
IV. Ecrivez correctement les mots entre parenthèses. Souligner le participe présent: 1. Ce sont des livres (intéressant) de beaucoup de nos étudiants. 2. J’ai lu beaucoup de livres très (intéressant). 3. Dans la salle de lecture j’ai vu Lucie (lisant) un journal. 4. J’ai vu mes amis (sortant) de l’Académie. 5. C’est une personne ne (sachant) rien. 6. Il m’a tendu sa main (tremblant). 7. Elle m’a raconté une nouvelle (étonnant). 8. La mère pleurait, ne (sachant) que faire. 9. Dans ma parc on peut toujours voir des enfants (jouant) à la balle. 10. Maintenant je sens mon cœur (battant). #%
V. Remplacez les points par les prépositions qui conviennent ou écrivez les verbes sans prépositions: 1. Il décida… se marier avant… reprendre la mer. 2. Il chercha… s’évader dans ces conditions. 3. J’ai des amis… récompanser et des ennemis… punir. 4. Quel est le moyen… sortir d’ici maintenant? 5. Il jura… se venger… ses ennemis pour ça. 6. Il avait hâte… aller voir et… embrasser sa fiancée. 7. Cet homme désespéré voulut… se suicider. 8. Nous avons commencé… faire ce travail. 9. Mes certificats vous permettront… juger de mes aptitudes. 10. Je m’efforcerai toujours… justifier votre confiance. 11. Nous avons l’avantage… vous informer que nous acceptons votre offre. VI. Traduisez les questions suivantes en français: 1. Ïðîñüáû î ïðåäîñòàâëåíèè ðàáîòû âõîäÿò â êàòåãîðèþ ïèñåì î ïðåäëîæåíèè óñëóã. 2. Ìíîãèå ïðîñüáû î ïðåäîñòàâëåíèè ðàáîòû ñîñòàâëåíû íåóäà÷íî, ïîýòîìó ëþäè ïîëó÷àþò îòêàçû. 3. ß õîòåë áû çíàòü, âàêàíòíî ëè ýòî ìåñòî. 4. Êàêèìè ñïîñîáíîñòÿìè îáëàäàåò ÷åëîâåê, êîòîðûé îáðàùàåòñÿ ñ ïðîñüáîé ïðåäîñòàâèòü åìó âàêàíòíîå ìåñòî? 5.  ñâîåì ïèñüìå íåîáõîäèìî óêàçàòü ó÷åáó, ðàáîòó â êà÷åñòâå ó÷åíèêà, çâàíèå, âîçðàñò è ñåìåéíîå ïîëîæåíèå. 6. Ñàìûé äåëèêàòíûé âîïðîñ ýòî, ÷òîáû íå ñîçäàòü íåïðèÿòíîãî âïå÷àòëåíèÿ, íå ãîâîðèòü ñëèøêîì õîðîøî î ñåáå. 7. Íåîáõîäèìî ïðèäåðæèâàòüñÿ ïîëíîñòüþ ôàêòîâ è öèôð è êàê ìîæíî ìåíüøå ïðèáåãàòü ê ñàìîîöåíêàì. 8. Êîìó âû ïîñëàëè ñâîþ ïðîñüáó î ïðåäîñòàâëåíèè ðàáîòû? 9.  ãàçåòå îò 27 èþëÿ ÿ ïðî÷åë îáúÿâëåíèå î òîì, ÷òî âû èùåòå ðàáîòíèêà íà äîëæíîñòü ñòàðøåãî áóõãàëòåðà. 10. Ìíå òðèäöàòü ëåò, æåíàò. Çàêîí÷èë êóðñ îáó÷åíèÿ â êîììåð÷åñêîé øêîëå. 11.  íàñòîÿùåå âðåìÿ ðàáîòàþ ñëóæàùèì â ôèðìå Áëàíê è Êî â ã. Ëèîíå.
#&
NEUVIÈME LEÇON
Texte
LA COMMANDE ET SON EXECUTION (Çàêàç è åãî âûïîëíåíèå) La lettre par laquelle on passe une commande doit être claire, concise et complète. Autant que possible, on traitera dans une lettre à part toute question qui n’a pas de rapport avec la commande proprement dite. Si l’on passe plusieur commandes le même jour, on prend soin de les numéroter, puisque la date ne suffirait pas à un classement précis. Il est souvent utile de donner des numéros de classement aux commandes envoyées à la même Maison. Beaucoup de Maisons font imprimer à l’usage de leurs clients des bulletins de commande, qui donnent toutes les instructions nécessaires sur l’emballage, l’expédition, les conditions et le mode de paiement. Il faut accuser réception de toute commande reçue, et assurer le client que ses commandes seront l’objet de soins diligents et attentifs. Si la commande ne peut être exécutée immédiatement ou dans les délais demandés, il faut le dire avec franchise, afin d’éviter au client une surprise fâcheuse au moment attendu pour la livraison.
Veuillez agréer, Monsieur, l’assurance de mes sentiments distingués Ïðèìèòå, ìåñüå, óâåðåíèå â èñêðåííåì ê Âàì ïî÷òåíèè #'
Texte
Exemple de commande de produits agricoles (Çàêàç íà ñåëüñêîõîçÿéñòâåííûå ïðîäóêòû) Monsieur, Désireux de posséder dans ma basse-cour des volailles de la race X, je viens vous prier de m’envoyer six douzaines d’oeufs de cette race, prêts à être couvés. J’espère que vous ne me fournirez que des oeufs sélectionnés et que je n’aurai aucun déchet à l’éclosion. Je vous couvrirai de vos frais dès réception du colis, auquel je vous prie de joindre la facture. Veuillez agréer, Monsieur, l’assurance de mes sentiments distingués. Demande de renouvellement d’abonnement Paris, le 29 juin 1999. Messieurs, Notre abonnement à votre publication «Paris Match» venant à expiration fin courant, nous vous prions de bien vouloir le renouveler et vous remettrons à cet effet notre chèque no 0.042.845 sur la Banque Martin, Lenoir et Cie , à Paris, de F 25 000, pour la nouvelle période du 1er juillet 1999 à fin juin 2000. Nous vous prions pour la bonne règle de bien vouloir nous en accuser réception en nous donnant votre accord. Veuillez agréer, Messieurs, nos salutations distinguées. Inclus: 1 chèque
Vocabulaire actif commande f çàêàç passer une commande ñäåëàòü çàêàç consis ñæàòûé; êðàòêèé avoir rapport avec qn, qch èìåòü îòíîøåíèå ê êîìó-ë., ÷åìó-ë. proprement dite ñîáñòâåííî ãîâîðÿ emballage m óïàêîâêà; óêëàäêà $
expédition f îòïðàâêà; îòñûëêà mode m de paiement ñïîñîá îïëàòû accuser reception — çä. ïîäòâåðäèòü ïîëó÷åíèå assurer çàâåðÿòü êîãî-ë. diligent ñòàðàòåëüíûé; ïðèëåæíûé; òùàòåëüíûé exécuter une commande âûïîëíèòü çàêàç
délai m ïåðèîä âðåìåíè; ïðîìåæóòîê âðåìåíè livraison f ïîñòàâêà (òîâàðîâ) produits m agricoles ñåëüñêîõîçÿéñòâåííûå ïðîäóêòû posseder èìåòü; îáëàäàòü basse-cour f ïòè÷èé äâîð; äâîð volaille f äîìàøíÿÿ ïòèöà race f çä. ïîðîäà (êóð, óòîê è ò. ï.) prier ïðîñèòü douzaine f äþæèíà oeuf m ÿéöî couver âûâîäèòü öûïëÿò déchet m — áðàê; äåôåêò
éclosion f âûëóïëèâàíèå (ïòåíöà) èç ÿéöà couvrir des frais ïîêðûòü, îïëàòèòü ðàñõîäû colis m ïîñûëêà facture f ñ÷åò abonnement m ïîäïèñêà; àáîíåìåíò venant à expiration fin courant çä. çàêàí÷èâàåòñÿ â êîíöå òåêóùåãî ìåñÿöà renouveler âîçîáíîâèòü chéque m ÷åê accord m ñîãëàñèå
I. Répondez aux questions suivantes d’après le texte: 1. De quelle manière passe-t-on une commande? 2. Quelle doit être la commande? 3. Qu’est-ce qu’on fait si l’on passe plusieurs commandes le même jour? 4. Qu’est-ce qu’il est souvent utile de faire si l’on envoye les commandes à la même Maison? 5. Que font beaucoup de Maisons à l’usage de leurs clients? 6. Que donnent les bulletins de commandes des Maisons? 7. Qu’est-ce qu’on fait en ce qui concerne la réception de toute commande? 8. Qu’est-ce qu’on fait si la commande ne peut être exécutée? 9. De quoi s’agit-il dans le premier exemple? 10. Quel est le but de l’auteur de la deuxième commande? II. Remplacez les points par les mots parce que, puisque, si, encore: 1. Il réussit à gagner la côte… qu’il était un bon nageur. 2. Il a accusé la réception du colis… il était un bon client. 3. Vous viendrez me dire adieu… partez en vacances. 4. Est-ce que vous n’avez pas lu ce roman?… je l’ai lu. 5. Il n’a jamais rien vu de… beau. 6. Vous n’allez pas à l’Académie ...? J’y vais. 7. Je pourrai venir vous voir… vous voulez. $
8. … il est malade, il ne pourra pas prendre part à cette réunion. 9. Nous marcherons… vite que nous arriverons à temps. III. Remplacez les verbes soulignés par le participe présent ou le gérondif: 1. Nous entrâmes dans la salle d’études et nous saluâmes notre professeur. 2. Les spectateurs applaudirent cet artiste et battirent des mains. 3. Le train repartit, il courait à la frontière italienne. 4. Ce soldat ne répondit rien, il obéissait aux ordres de son chef. 5. Cet homme fit ses adieux à ses amis et s’éloigna. 6. Comme je sortais de l’hôtel, j’aperçus un inconnu qui s’approchait de notre maison. 7. C’est jeune homme qui possède quelques langues étrangères. 8. À la gare il y avait beaucoup de voyageurs qui portaient leurs valises. 9. Il a passé deux commandes à la Maison et il a pris soin de les numéroter. 10. Car la commande ne pouvait pas être exécutée, mon chef a informé le client de ce fait. IV. Mettez les verbes entre parenthèses aux temps qui conviennent: 1. On m’a dit que la marchandise (arriver) hier. 2. Il savait que son chef (partir) hier. 3. Elle m’a écrit que son père (arriver) bientôt. 4. Il m’a dit que sa soeur (vouloir) me voir. 5. Savez-vous qu’on (vendre) ces revues dans notre kiosque? 6. Il a décidé qu’il (passer) sa commande à la fin du mois. 7. Mon client m’a demandé comment (s’appeler) notre Maison. 8. Il faut assurer le client que ses commandes (être) l’objet de soins diligents et attentifs. 9. Beaucoup de Maisons (faire) imprimer des bulletins de commande. 10. Les bulletins de commande (donner) toutes les instructions nécessaires sur l’emballage et l’expédition des marchandises. 11. Je savais qu’il (terminer) l’Université Nationale de T. Chevtchenko à Kiev. 12. Elle m’a demandé si je (être) à l’Académie. V. Mettez au style direct: 1. L’hôte demande aux voyageurs d’où ils venaient, où ils allaient, qu’ils étaient. 2. Dites-moi si vous avez besoin de ce journal. 3. Pouvez-vous me dire l’heure qu’il est. $
4. Dites-moi ce qu’il vous faut. 5. Demandez à votre ami s’il a reçu le journal d’aujourd’hui. 6. Dit-lui d’apporter son passeport. 7. Mon ami me demanda si j’avais l’intention d’aller voir ce film. 8. L’étudiant répondit qu’il lisait les nouvelles de Maupassant. 9. Je voulais demander à mon ami pourquoi il a manqué tant de cours. 10. Demandez à cette personne si elle est contente de son voyage en Crimée. VI. Traduisez les phrases suivantes: 1. Ïèñüìî, â êîòîðîì äåëàåòñÿ çàêàç, äîëæíî áûòü ÷åòêèì è ëàêîíè÷íûì. 2. Íå ñëåäóåò äîêàçûâàòü â ïèñüìå òî, ÷òî íå èìååò îòíîøåíèÿ ê çàêàçó. 3. Åñëè äåëàåòñÿ íåñêîëüêî çàêàçîâ â îäèí äåíü, íåîáõîäèìî èõ íóìåðîâàòü. 4. Íåîáõîäèìî íóìåðîâàòü çàêàçû, òàê êàê äàòà íå ÿâëÿåòñÿ äîñòàòî÷íûì îñíîâàíèåì äëÿ ñîðòèðîâêè çàêàçîâ. 5. Ìíîãèå ôèðìû ïå÷àòàþò áþëëåòåíè çàêàçîâ äëÿ ñâîèõ êëèåíòîâ. 6.  áþëëåòåíÿõ äàþòñÿ âñå èíñòðóêöèè îòíîñèòåëüíî óïàêîâêè è îòïðàâêè òîâàðîâ. 7. Íåîáõîäèìî ïîäòâåðæäàòü ïîëó÷åíèå ëþáîãî çàêàçà. 8. Íåîáõîäèìî çàâåðèòü êëèåíòà, ÷òî åãî çàêàç áóäåò îáúåêòîì òùàòåëüíîãî è âíèìàòåëüíîãî ðàññìîòðåíèÿ. 9. Åñëè çàêàç íå ìîæåò áûòü âûïîëíåí â òðåáóåìûé ñðîê, íåîáõîäèìî îá ýòîì îòêðîâåííî ñêàçàòü. 10. Íåîáõîäèìî ñîîáùèòü êëèåíòó âñå ñâåäåíèÿ îòíîñèòåëüíî óïàêîâêè è îòïðàâêè òîâàðîâ, à òàêæå î ñïîñîáå èõ îïëàòû. 11. Æåëàÿ èìåòü â ìîåé áèáëèîòåêå ýòó êíèãó, ïðîøó âàñ âûñëàòü åå ìíå. 12. ß ïîêðîþ âñå âàøè ðàñõîäû, êàê òîëüêî ïîëó÷ó âàøó ïîñûëêó ñ êíèãîé.
$!
DIXIÈME LEÇON
Texte
RÉCLAMATION (Ðåêëàìàöèÿ) Les réclamations sont parmi les plus difficiles à rédiger. Elles ne sont jamais agréables à recevoir. Tout en disant ce qu’il faut dire, on doit s’efforcer de ne jamais montrer de mauvaise humeur ni surtout d’impolitesse. On peut exprimer les choses les plus énergiques avec la plus parfaite courtoisie. Il faut rappeler la nature de la commande, sa date et ses conditions d’exécution, renvoyer le fournisseur aux engagements qu’il a pris et constater qu’il n’a pas su ou pu les tenir. Sauf s’il s’agit d’une récidive, la menace d’une rupture des relations commerciales ou d’une instance judiciaire doit être déconseillé. Il est préférable d’exiger simplement, mais avec fermeté, l’exécution du contrat en se referant à la surprise que cause ce manquement de la part d’une Maison bien considérée sur la place. Les remarques précédents s’appliquent à la réponse à une réclamation. Autant que possible, on tâchera de donner satisfaction à cette demande et on exprimera des excuses, s’il y a lieu, pour l’erreur commise. Il vaut mieux porter une petite somme au compte profits et pertes que de perdre un client. Les réclamations sont parmi les plus dificiles à rediger Òÿæåëåå âñåãî ñîñòàâëÿòü ðåêëàìàöèþ $"
Il y a cependant des cas où l’on est obligé de refuser. Il faut alors le faire avec tous les ménagements possibles, donner clairement les raison du refus et exprimer les plus vifs regrets. Toutes les fois qu’on le pourra, on offrira quelque sorte de compensation pour bien montrer sa bonne volonté.
Vocabulaire actif réclamation f ðåêëàìàöèÿ; æàëîáà s’efforcer de faire qch ïðèëàãàòü óñèëèÿ, ÷òîáû ñäåëàòü ÷òî-òî mauvaise humeur f ïëîõîå íàñòðîåíèå impolitesse f íåâåæëèâîñòü; ãðóáîñòü courtoisie f âåæëèâîñòü; ó÷òèâîñòü; ëþáåçíîñòü fournisseur m ïîñòàâùèê engagement m îáÿçàòåëüñòâî tenir les engagements âûïîëíÿòü îáÿçàòåëüñòâà prendre les engagements âçÿòü íà ñåáÿ îáÿçàòåëüñòâà récidive f ïîâòîðåíèå; ðåöèäèâ menace f óãðîçà instance f judiciaire çä. ïåðåäà÷à äåëà â ñóä déconseiller çä. îòâîäèòü fermeté f òâåðäîñòü
contrat m êîíòðàêò manquement m îòñóòñòâèå; íåäîñòàòîê; îïëîøíîñòü; íàðóøåíèå tâcher de faire qch ñòàðàòüñÿ ñäåëàòü ÷òî-ë. exprimer des excuses çä. èçâèíÿòüñÿ çà ÷òî-ë. erreur f commise ñîâåðøåííàÿ îøèáêà; îïëîøíîñòü somme f ñóììà compte m profits et pertes ñ÷åò ïðèáûëåé è óáûòêîâ refuser îòêàçàòü ménagement m îñòîðîæíîñòü; ïðåäîñòîðîæíîñòü raison f ïðè÷èíà regret m ñîæàëåíèå compensation f êîìïåíñàöèÿ montrer sa bonne volonté ïðîÿâèòü ñâîþ äîáðóþ âîëþ rupture f des relations commerciales ðàçðûâ êîììåð÷åñêèõ ñâÿçåé (îòíîøåíèé)
I. Répondez aux questions suivantes d’après le texte: 1. Qu’est-ce qu’on doit faire en écrivant une lettre de réclamation? 2. Qu’est-ce qu’on peut exprimer dans la réclamation? 3. Que faut-il rappeler en écrivant une lettre de réclamation? 4. Quelle ménace doit être déconseillée, sauf s’il s’agit d’une récidive? 5. Qu’est-ce qu’il est préférable de faire en écrivant une réclamation? 6. Que s’appliquent les remarques précédentes? $#
7. Qu’est-ce qu’il vaut mieux faire pour ne pas perdre un client? 8. Qu’est-ce qu’on fait si l’on est obligé de refuser? 9. Pourquoi offre-t-on quelque sorte de compensation? 10. Dans quels cas écrit-on les lettres de réclamation? II. Mettez les verbes entre parenthèses aux temps qui conviennent: 1. Je viendrai voir mon fournisseur si ne (être) pas malade. 2. Nous irons promener demain s’il (faire) beau temps. 3. Si je (avoir) un billet, j’irais avec plaisir à ce concert. 4. S’ils ne (recevoir) par votre télégramme, ils ne seraient pas venus vous attendre à la gare. 5. Si elle me (donner) son numéro de téléphone, je lui aurais téléphoné encore hier. 6. Nous serons très content si vous (venir) nous voir ce soir. 7. Si tu (être) plus attentif, tu ne feras pas de faute. 8. Si vous me (donner) votre manuel aujourd’hui, je vous le rendrai demain. 9. Si vous (écrire) une lettre de réclamation tout de suite, vous (recevoir) la réponse dans deux ou trois jours. 10. Si vous ne (être) pas content de cette marchandise, vous (pouvoir) écrire une lettre de réclamation à la Maison. III. Traduisez le texte suivant: Texte
Réclamation: marchandise non conforme à léchantillon 15 tonnes de copal V par s/s Congo du 29/8/99 (Ðåêëàìàöèÿ: íå ñîîòâåòñòâóþùèé îáðàçöó òîâàð 15 òîíí êîïàëîâîé ñìîëû V, äîñòàâëåííîé íà ïàðîõîäå Êîíãî 29/8/99) Messieurs, Nous recevons votre lettre du 25 courant. Nous sommes très étonnés que vous puissiez trouver satisfaisant l’échantillon prélevé par nos amis sur l’embarquement précité. En effet, les premiers échantillons que vous nous avez remis sont tout à fait differents de ces derniers. Nous allons, de nouveau, vous adresser deux envois séparés: l’un contenant les premiers échantillons que vous nous aviez remis et l’autre les échantillons prélevés sur l’embarquement du “Congo”. Leur examen, même très succinct, vous démontrera qu’il s’agit de deux copals de qualité différente. $$
Nous comptons que vous voudrez bien reconnaître le bien-fondé de notre réclamation, et nous regrettons vivement qu’un désaccord dans cette affaire altère les relations que nous avons toujours eues avec votre Société. Veuillez agréer, Messieurs, l’expression de nos sentiments distingués.
Mots et expressions copal m — êîïàë (ðàñòèòåëüíàÿ ñìîëà) s/s “Congo” steamship (àíãë.) ïàðîõîä Êîíãî être étonné ïîðàçèòüñÿ; áûòü óäèâëåííûì échantillon m îáðàçåö prélever áðàòü íàïåðåä; èçûìàòü; âû÷èòàòü; áðàòü íà àíàëèç embarquement m îòãðóçêà (òîâàðîâ äëÿ ìîðñêîãî òðàíñïîðòà); ïîãðóçêà
précité, -e âûøåóïîìÿíóòûé remettre ïåðåäàâàòü; äîñòàâëÿòü envoi m ïîñûëêà; îòïðàâêà succinct, e êðàòêèé; ñæàòûé bien-fondé m îáîñíîâàííîñòü désaccord m íåñîãëàñèå; ðàçíîãëàñèå; ðàçëàä altérer óõóäøàòü; ïîðòèòü; îìðà÷àòü
IV. Remplacez les points par les articles et les prépositions qui manquent: 1. Nous avons visité… grand nombre… usines. 2. Ils peuvent en profiter… leur guise. 3. Que pensez-vous… la lutte… la paix? 4. Les travailleurs n’ont aucune envie… la guerre. 5. Je lutterai pour donner… peuple de France le bonheur que l’on connaît ici. 6. J’entendis au-dessous… moi notre hôte et sa femme parler et je distinguai parfaitement… propres mots… mari. 7. Au bout… quart… heure j’entendis quelqu’un monter. 8. Il saisit… jambon… coupe… tranche et se retira comme il était venu. 9. Dès que… jour parut… famille… grand bruit vint nous réveiller. 10. Permettez-moi… vous présenter… porteur… cette lettre, M.Sanier, de Rouen, représentant… la Maison Pierre et Cie … cette même ville.
%$ V. Mettez les verbes entre parenthèses au subjonctif présent ou au subjonctif passé suivant le sens. Justifiez l’emploi du subjonctif: 1. Ils sont très étonnés que vous (partir) si vite. 2. Je regrette que tu (apprendre) cette nouvelle trop tard. 3. Nous sommes heureux que vous (recevoir) cette permission. 4. Il est étonnant qu’elle ne (être) pas là. 5. Je crains qu’il ne (apprendre) la verité. 6. Je voudrais que tu (lire) cet article. 7. Il défend que nous (entrer) dans sa chambre. 8. Le professeur exige que nous (faire) régulièrement tous nos devoirs. 9. Dites-lui qu’il (venir) demain. 10. Il faut que vous (répondre) à cette lettre. 11. Je doute qu’il (comprendre) cette explication. 12. Il ne croit pas que je (pouvoir) faire cette traduction sans dictionnaire. 13. Il est douteux qu’il (écrire) cette dictée sans fautes. 14. Croyez-vous qu’il (savoir) cette nouvelle? VI. Traduisez les phrases suivantes en français: 1. Î÷åíü òÿæåëî ñîñòàâëÿòü ðåêëàìàöèè. 2. Ïîëó÷àòü ðåêëàìàöèè âñåãäà íåïðèÿòíî. 3. Ñîñòàâëÿÿ ðåêëàìàöèþ, íåîáõîäèìî ñäåðæèâàòü ïûë è ïðîÿâëÿòü âåæëèâîñòü. 4. Ìîæíî âûðàçèòü ìûñëè ðåçêî, îäíàêî â âåæëèâîé ôîðìå. 5. Íåîáõîäèìî íàïîìíèòü ïîñòàâùèêó ñóòü, äàòó è óñëîâèÿ âûïîëíåíèÿ çàêàçà, íàïîìíèòü î âçÿòûõ èì íà ñåáÿ îáÿçàòåëüñòâàõ è ñêàçàòü, ÷òî îí èõ íå âûïîëíèë. 6. Ñëåäóåò îòâåñòè óãðîçó ðàçðûâà òîðãîâûõ îòíîøåíèé. 7. Íóæíî òâåðäî ïîòðåáîâàòü âûïîëíåíèÿ êîíòðàêòà. 8. Ëó÷øå âíåñòè íåáîëüøóþ ñóììó â ñ÷åò äîõîäîâ è ïîòåðü, ÷åì ïîòåðÿòü êëèåíòà. 9. Áûâàþò ñëó÷àè, êîãäà íåîáõîäèìî îòêàçàòü. 10.  ñëó÷àå îòêàçà íåîáõîäèìî êàê ìîæíî îñòîðîæíåå, íî ÷åòêî îáúÿñíèòü ïðè÷èíó îòêàçà è âûðàçèòü ñâîè ñîæàëåíèÿ.
$&
ONZIÈME LEÇON
Texte
LA CONSIGNATION (Ïðîäàæà òîâàðîâ ÷åðåç ïîñðåäíèêà) La consignaition et, en général, la vente à la commission constituent une des branches les plus importantes des affaires modernes. Les types de documents relatifs à la vente par consignation se ramènent à cinq: 1. l’offre d’envoi de marchandise par le commettant; 2. l’acception (ou le refus) par le consignataire; 3. l’annonce d’un premier envoi ou envoi d’essai; 4. l’accusé de réception des marchandises; 5. le compte de vente. Les documents 1 et 2 ne forment souvent qu’un seul document, le commettant annonçant l’envoi des marchandises en même temps qu’il demande au consignataire de les vendre et lui donne tous les renseignements relatifs à la qualité et à la quantité des marchandises, au moyen de transport choisi, au prix minimum de vente et aux conditions générales auxquelles est faite cette consignation. Le consignataire déduit du montant de la vente, sur le compte de vente, ses frais divers, sa commission (y compris, le cas échéant, le ducroire, c’est-à-dire la
La consignaition et, en général, la vente à la commission constituent une des branches les plus importantes des affaires modernes Ïðîäàæà òîâàðîâ ÷åðåç ïîñðåäíèêà, èëè, âîîáùå, êîìèññèîííàÿ òîðãîâëÿ, ÿâëÿåòñÿ îäíîé èç âàæíåéøèõ ôîðì ñîâðåìåííûõ äåëîâûõ îòíîøåíèé $'
commission supplémentaire accordée en échange de la garantie de la créance) et les sommes qu’il a pu avancer au commettant sur les marchandises. Le commissionnaire, en effet, est parfois chargé de payer les dettes de son commettant sur la place ou dans la région où il habite. Il peut aussi être chargé de faire des achats et, dans ce cas, bien entendu, il ajoute ses frais et sa commission au montant de la facture.
Texte
LES LETTRES DE CRÉDIT (Àêêðåäèòèâû) La lettre de crédit est une lettre d’introduction généralement envoyée par une banque à une autre banque ou à ses propres agences en demandant de mettre à la disposition du porteur, appelé l’accrédité; une somme ne dépassant pas un chiffre donné. Il est rare que cette somme ne soit pas limitée. On portera donc sur la lettre de crédit: 1. Les noms et signature de l’accrédité (cette signature est souvent donnée sur un fiche ou carte séparée afin d’empêcher, en cas de perte ou de vol, qu’on puisse imiter la signature); 2. Le montant du crédit accordé; 3. Des instructions précisant si les divers frais et la commission du banquier payeur doivent, ou non, être déduits du montant à verser; 4. La demande d’établissement de reçus en double et de l’envoi d’un double à l’accréditeur après chaque versement; 5. L’autorisation pour la banque chargée du paiement de se couvrir du montant par des traites sur l’accréditeur, soit à vue, soit à terme; 6. Les délais pendant lesquels les crédits restent valables; 7. Le désir exprimé par l’accréditeur que l’accrédité soit reçu avec bienveillance; 8. L’espoir de pouvoir rendre les mêmes services à l’occasion et les remerciements anticipés pour l’obligeance témoignée à l’accrédité. Une lettre circulaire de crédit est adressée en même temps à plusieurs banquiers ou à plusieurs agences d’une même banque dans différentes villes. Elle comprend la lettre proprement dite avec des colonnes pour indiquer les versements au fur et à mesure qu’ils sont effectués. %
Vocabulaire actif consignation f êîíñèãíàöèÿ (ôîðìà êîìèññèîííîé ïðîäàæè òîâàðîâ, ïðè êîòîðîé èõ âëàäåëåö êîíñèãíàíò îòïðàâëÿåò ñâîåìó êîìèññèîíåðó êîíñèãíàòîðó ïàðòèè òîâàðà äëÿ èõ ðåàëèçàöèè) vente f ïðîäàæà; ñáûò constituer ñîñòàâëÿòü branche f âåòâü; âåòêà; îòðàñëü se ramener à qch ñâîäèòüñÿ ê ÷åìó-ë. commettant m êîìèòåíò; äîâåðèòåëü consignataire m êîíñèãíàòîð; ïîñðåäíèê annonce f îáúÿâëåíèå; èçâåùåíèå envoi m d’essai ïðîáíàÿ ïîñûëêà accusé m de réception ðàñïèñêà â ïîëó÷åíèè compte m de vente ñ÷åò ïî ïðîäàæå vendre ïðîäàâàòü renseignement m ñâåäåíèå; ñïðàâêà; îñâåäîìëåíèå relatif à qch îòíîñÿùèéñÿ ê ÷åìó-ë. qualité f êà÷åñòâî quantité f êîëè÷åñòâî au moyen de qch ñ ïîìîùüþ; ïóòåì; çà ñ÷åò ÷åãî-ë. déduire âû÷èòàòü montant m èòîã; ñóììà; ñòîèìîñòü montant m des frais îáùàÿ ñóììà ðàñõîäîâ frais m pl ðàñõîäû
commission f çä. êîìèññèîííîå âîçíàãðàæäåíèå; êîìèññèîííûå le cas m échéant ïðè ñëó÷àå; â ñëó÷àå íåîáõîäèìîñòè ducroire m ïîðó÷èòåëüñòâî; ãàðàíòèÿ en échange de… â îáìåí íà
créance f äîâåðèå; äîâåðåííîñòü; âåðà; ïîðó÷åíèå avancer àâàíñèðîâàòü; ññóæàòü; ïðîäâèãàòü; ïðîäâèãàòüñÿ; ïëàòèòü âïåðåä payer les dettes îïëàòèòü äîëãè dette f äîëã faire des achats äåëàòü ïîêóïêè facture f ôàêòóðà; íàêëàäíàÿ; ñ÷åò lettre de crédit m àêêðåäèòèâ lettre f d’introduction ðåêîìåíäàòåëüíîå ïèñüìî banque f áàíê porteur m íîñèòåëü; îáëàäàòåëü accrédité m àêêðåäèòîâàííîå ëèöî somme f ñóììà dépasser ïðåâûøàòü empêcher ìåøàòü; ïðîòèâîäåéñòâîâàòü perte f ïîòåðÿ; óòðàòà vol m êðàæà imiter ïîäðàæàòü; êîïèðîâàòü; èìèòèðîâàòü (çä. ïîääåëûâàòü) accorder ñîãëàñîâûâàòü; äîãîâàðèâàòüñÿ %
montant m à verser âíîñèìàÿ ñóììà; âíîñèìûé âçíîñ reçu m êâèòàíöèÿ; ðàñïèñêà â ïîëó÷åíèè accréditeur m ïîðó÷èòåëü autorisation f ðàçðåøåíèå traite f ïåðåâîäíûé âåêñåëü; òðàòòà valable ãîäíûé; ïðèãîäíûé; äåéñòâèòåëüíûé
avec bienveillance ïî äîáðîé âîëå remerciement m áëàãîäàðíîñòü obligeance f îáÿçàòåëüñòâî témoigner óäîñòîâåðÿòü; ñâèäåòåëüñòâîâàòü versement m âçíîñ; ïëàòåæ au fur et à mesure ïî ìåðå òîãî, êàê
I. Répondez aux questions suivantes d’après le texte: 1. Qu’est-ce que c’est que la consignation? 2. Quels sont les documents relatifs à la vente par consignation? 3. Quels documents ne forment souvent qu’un seul document? 4. Qu’est-ce que déduit du montant de la vente le consignataire? 5. Qu’est-ce que c’est que la commission? 6. Qu’est-ce que c’est que le ducroir? 7. De quoi le commissionaire est-il chargé parfois? 8. Dans quel cas le commissionaire ajoute-t-il ses frais? 9. Qu’est-ce que c’est que la lettre de crédit? 10. Qui est appelé l’accrédité? 11. Qu’est-ce que portera-t-on sur la lettre de crédit? 12. Qu’est-ce que c’est que la lettre circulaire de crédit? II. Mettez les verbes entre parenthèses au présent du subjonctif, au passé du subjonctif, au présent ou au futur simple de l’indicatif: 1. Je suis ravi que vous déjà (revenir) de l’étranger. 2. Nous pensons qu’il déjà (finir) son travail. 3. Croyez-vous que nous (pouvoir) arriver à temps à cette exposition? 4. Quoique (õîòÿ) l’orateur (finir) son discours, il faut qu’il (répondre) encore à nos questions. 5. Demain nous irons à la campagne pourvu qu’il (faire) beau temps. 6. Je suis sûr que ces étudiants (répondre) toujours bien à l’examen. 7. Le professeur exige que les étudiants (travailler) beaucoup. 8. Voulez-vous que je vous (reconduire) à la gare? 9. J’espére que vous (venir) souvent me voir. 10. Il faut que vous nous (attendre) encore quelque temps. 11. Nous croyons que nous (passer) bien nos vacances d’été. %
12. Je suis désolé que vous ne (traduire) pas encore ce texte économique. 13. Nous vous écrivons cette lettre afin que vous (apprendre) de quoi il s’agit. 14. Est-ce possible que vous ne (recevoir) pas encore cette lettre? 15. Nous sommes étonnés qu’ils déjà (finir) leur travail. III. Traduisez le texte suivant: Texte
Lettre dintroduction et de crédit
(Ðåêîìåíäàòåëüíîå ïèñüìî è àêêðåäèòèâ) Messieurs, M. C. Jimenez, qui entreprend en France un voyage d’affaire, vous remettra lui-même cette lettre. Vous confirmant notre lettre du 10 courant par laquelle nous vous avions remis divers documents et photographies, nous recommandons M.Jimenez à votre meilleur accuei et lui ouvrons sur votre caisse un crédit de F: 2 000 000 (nous disons: deux millions de francs), valable pour deux mois. Contre reçu, dont vous nous enverrez le double immédiatement, et après avoir endossé cette lettre au verso, vous voudrez bien lui verser toute somme dont il aura besoin jusqu’à concurrence de la somme indiquée à son crédit. En règlement, vous disposerez à vue sur notre caisse en ajoutant vos frais et commission. Nous comptons sur votre bienveillance habituelle pour faciliter en tout point la tâche de M. C. Jimenez et vous prions d’agréer, Messieurs, l’assurance de notre haute considération.
Mots et expressions entreprendre un voyage ïðåäïðèíÿòü ïóòåøåñòâèå vous confirmant notre lettre… ïîäòâåðæäàÿ íàøå ïèñüìî ... eccueil m ïðèåì ouvrir un crédit îòêðûòü êðåäèò caisse f êàññà contre reçu çä. ïî ïðåäúÿâëåíèè ðàñïèñêè, êâèòàíöèè double m êîïèÿ; äóáëèêàò
endosser äåëàòü ïåðåäàòî÷íóþ íàäïèñü (íà âåêñåëå, äîêóìåíòå) au verso íà îáîðîòå; íà îáðàòíîé ñòîðîíå ñòðàíèöû, ëèñòà jusqu’à concurrence de äî ñóììû
; íå ñâûøå; äî ðàçìåðà vous disposerez à vue sur notre caisse çä. ñìîæåòå ðàññ÷èòûâàòü íà ïëàòåæè â íàøåé êàññå tâche f çàäà÷à %!
IV. Remplacez les points par les prépositions: 1. Ce ministre s’occupait surtout… affaires extérieures. 2. Les bourgeois comptaient… le roi pour les protéger… la révolution sociale. 3. Cet homme ne goûtait nulle joie… monde. 4. Il n’y a que cela… faire. 5. Les médecins prescrivirent au malade… commun accord une vie sévère et de l’exercice… plein air. 6. Il s’agit… se procurer une quantité suffisante des atomes… joie et… les introduire… l’organisme. 7. Il fut convenu qu’ils gardaient un secret absolut… l’objet… leurs recherches. 8. En réponse… votre lettre du 6 courant, nous vous informons que nous ne nous occupons pas… l’importation… ces articles. 9. Je suis âgé… trente ans; marié; j’ai suivi les cours… l’École… commerce… Dijon et acquis… Madrid et… Londres la connaissance… langues étrangères. 10. Je vous informe que mes expéditions de cette marchandise touchent… leur fin et j’ai décidé… changer le mode… expédition. V. Remplacez les points par l’article qui convient; traduisez les phrases: 1. Durant… trajet ils rencontraient souvent… petit homme qui logeait dans… grand platane creux. 2. Il vivait… forêt et… étang. 3. Il leur offrait… rayons de miel,… fraises de bois. 4. Il grimpait aux arbres comme… chat. 5. Nous te procurerons… or,… palais,… sabots neufs, tout ce que tu voudras. 6. Sa bonne figure exprima non… regret et… déception, mais… grande surprise. 7. Pierre s’engouffra dans… métro.… cœur de ce jeune garçon, presque… enfant, était plein de… obscur désespoir. 8. Il ne vit d’elle que… délicat profil, sous… ombre du chapeau,… boucle blonde sur… joue,… ligne fine du nez et de… lèvre retrousée. 9. … mêre ouvre avec précaution… porte de… salle. 10. A cet instant,… homme affolé, qui se couvrait… visage de ses mains, descendait… escalier de… station et vint rouler en bas.
%"
VI. Traduisez les phrases suivantes en français: 1. Êîíñèãíàöèÿ ýòî âèä êîìèññèîííîé ïðîäàæè òîâàðîâ. 2. Âëàäåëåö òîâàðîâ, èëè êîíñèãíàíò, îòïðàâëÿåò òîâàðû ñâîåìó êîìèññèîíåðó, èëè êîíñèãíàòîðó. 3. Êîíñèãíàòîð îáû÷íî æèâåò çà ãðàíèöåé. 4. Çà ïðîäàæó òîâàðîâ êîíñèãíàòîð ïîëó÷àåò êîìèññèîííûå. 5. Äîâåðèòåëü îáúÿâëÿåò îá îòïðàâêå òîâàðîâ è ïðîñèò êîíñèãíàòîðà ïðîäàòü èõ è äàòü åìó âñå ñâåäåíèÿ, îòíîñÿùèåñÿ ê ïðîäàæå. 6. Èíîãäà êîìèññèîíåðó ïîðó÷àþò îïëàòèòü âñå äîëãè äîâåðèòåëÿ. 7. Àêêðåäèòèâ ìîæåò áûòü ðåêîìåíäàòåëüíûì ïèñüìîì, êîòîðîå îäèí áàíê ïîñûëàåò äðóãîìó. 8.  àêêðåäèòèâå óêàçûâàåòñÿ îïðåäåëåííàÿ ñóììà äåíåã, êîòîðóþ ïðåäúÿâèòåëü ïèñüìà ìîæåò ïîëó÷èòü â áàíêå. 9. Î÷åíü ðåäêî ñóììà ÿâëÿåòñÿ íåîãðàíè÷åííîé. 10. Öèðêóëÿðíûé àêêðåäèòèâ îòïðàâëÿåòñÿ îäíîâðåìåííî â íåñêîëüêî áàíêîâ. 11. Öèðêóëÿðíûé àêêðåäèòèâ âêëþ÷àåò â ñåáÿ ñîáñòâåííî ïèñüìî è óêàçàíèå ñóìì, êîòîðûìè ìîæíî ïîëüçîâàòüñÿ. 12. Ïîëó÷åíèå òîâàðîâ äîëæíî áûòü ïîäòâåðæäåíî ïîëó÷àòåëåì.
%#
DOUZIÈME LEÇON
Texte
DEMANDES DE RENSEIGNEMENTS (Íàâåäåíèå ñïðàâîê) La demande de renseignements constitue souvent une entrée en relations d’affaires. Dans ce cas, il faut donner des références et plus de précisions que s’il s’agissait d’une Maison avec laquelle on est en correspondance suivie. La demande de renseignements peut aussi être une réponse à une offre de service: il faut alors veiller à rédiger la lettre de manière qu’elle ne puisse pas être interprétée comme une commande ferme. Ce peut être aussi une demande de renseignements sur les qualités d’un employé qui a offert ses services, ou encore sur l’honorabilité et le crédit d’une Maison. Dans ce dernier cas surtout, il est d’usage de porter le nom et l’adresse de la Maison sur une fiche que l’on joint à la demande, et, dans le corps de la lettre, on évite soigneusement tout ce qui permettrait d’identifier cette Maison: on ce contente de parler de «la Maison indiquée dans la fiche ci-inclue». Les principales parties de la demande de renseignements sont: 1. Le nom et l’adresse du demandeur, avec l’indication des références s’il y a lieu; La demande de renseignements peut être une résponse à une offre de service Íàâåäåíèå ñïðàâîê ìîæåò áûòü ïðåäïðèíÿòî â ðåçóëüòàòå ïðåäëîæåíèÿ óñëóã %$
2. L’indication précise des renseignements à obtenir, en les numérotant s’il y en a plusieurs; 3. La raison pour laquelle on demande ces renseignements ou la destination exacte des marchandises au sujet desquelles on se renseigne; 4. Des remerciements anticipés pour le service qu’on demande (surtout lorsqu’il s’agit de renseignements sur une Maison ou une personne, auquel cas on donnera l’assurance qu’on traitera la réponse comme rigoureusement confidentielle) et l’engagement de rendre les mêmes services si l’ocasion s’en présente. D’une manière générale, il faut se mettre à la place du destinataire et s’assurer que l’on a clairement indiqué tour les détails nécessaires pour lui permettre d’y faire une réponse satisfaisante et que l’on a dûment insisté sur les points essentiels.
Vocabulaire actif demande f de renseignements íàâåäåíèå ñïðàâîê; îáðàùåíèå çà ñïðàâêàìè renseignements m pl ñïðàâêè; ñâåäåíèÿ références f pl ññûëêè; äàííûå; ñïðàâêè veiller à qch çàáîòèòüñÿ î ÷åì-ë.; ñëåäèòü çà òåì, ÷òîáû interpréter òîëêîâàòü; èíòåðïðåòèðîâàòü honorabilité f ïî÷òåííîñòü; çä. ðåïóòàöèÿ être d’usage áûòü îáû÷íûì; îáû÷íî; ïðèâû÷íî joindre à qch çä. ïðèëàãàòü ê ÷åìó-ë.; ïðèñîåäèíÿòü ê ÷åìó-ë. éviter èçáåãàòü identifier èäåíòèôèöèðîâàòü; óñòàíîâèòü; îïðåäåëèòü indication f óêàçàíèå obtenir ïîëó÷àòü numéroter íóìåðîâàòü destinaion f ìåñòî íàçíà÷åíèÿ; ïóíêò íàçíà÷åíèÿ
se renseigner ñïðàâëÿòüñÿ; ñïðàøèâàòü; èíòåðåñîâàòüñÿ anticiper ïðåäâàðÿòü; ïðåäâîñõèùàòü; îïåðåæàòü traiter çä. âîñïðèíèìàòü; ïîíèìàòü; îòíîñèòüñÿ ê ÷åìó-ë. rigoureusement ñòðîãî confidentiel êîíôèäåíöèàëüíûé; ñåêðåòíûé si l’occasion s’en présente åñëè ïðåäñòàâèòñÿ ñëó÷àé se mettre à la place de qn ïîñòàâèòü ñåáÿ íà ìåñòî êîãî-ë. destinataire m àäðåñàò; ïîëó÷àòåëü détail m äåòàëü; ïîäðîáíîñòü dûment íàäëåæàùèì îáðàçîì, êàê ñëåäóåò insister sur qch íàñòàèâàòü íà ÷åì-ë. essentiel ñóùåñòâåííûé; âàæíûé %%
I. Répondez aux questions d’après le texte: 1. Qu’est-ce qui constitue la demande de renseignements? 2. Dans quel cas faut-il donner des références et plus de précision? 3. Que faut-il veiller, si la demande de renseignements est une réponse à une offre de service? 4. Sur quoi aussi peut être la demande de renseignements? 5. Si la demande de renseignements est sur l’honorabilité et le crédit d’une Maison, qu’est-ce qu’il est d’usage de faire? 6. Qu’est-ce qu’on évite soigneusement en demandant de renseignements sur une Maison? 7. Qu’est-ce qu’on se contente de parler s’il s’agit d’une Maison? 8. Quelles sont les principales parties de la demande de renseignement? 9. Pourquoi faut-il se mettre à la place du destinataire? 10. Qu’est-ce que c’est que le destinataire d’après le texte ci-dessus? II. Complétez les phrases en employant les prépositions pour ou par: 1. Ces voyageurs sont arrivés… chemin de fer. 2. Il a traduit ce texte mot… mot. 3. Envoyez-nous ces documents… retour du courier. 4. Le roman «Bel ami» est écrit… Guy de Maupassant. 5. Le soir j’aime à me promener… les rues de cette ville. 6. Il m’a promis d’écrire son rapport… aujourd’hui. 7. Il veut se faire passer… un commerçant respectable. 8. Cet été nous irons aux Carpathes… deux mois… une bel matinée d’été ils se rencontrèrent dans ce grand parc. 9. Nous ne serions intéressés que… les articles que vous pourrier livrer immédiatement. 10. … écrire une demande de renseignements il faut suivre les règles suivantes. III. Traduisez les textes suivants: Texte
Demande de renseignements sur lhonorabilité dune Maison (Íàâåäåíèå ñïðàâîê î ðåïóòàöèè ôèðìû) La Maison que nous désignons sur la fiche inclue vient de nous remettre un ordre de 2 500 000 F environ. %&
N’étant pas en relation avec elle, nous nous permettons d’avoir recours à votre obligeance habituelle et vous serions reconnaissants de nous communiquer aussitôt que possible tous renseignements sur son crédit et son honorabilité. Soyez persuadés que nous considérons votre réponse comme strictement confidentielle et sans responsabilité de votre part. Espérant bientôt pouvoir vous être utiles à notre tour, nous vous prions d’agréer, Messieurs, avec nos remerciements anticipés, nos bien sincères salutations. Texte
Demande de renseignements sur un représentant (Íàâåäåíèå ñïðàâîê î ïðåäñòàâèòåëå ôèðìû) Nous avons l’intention de confier notre représentation sur votre place à M. Jean Fournier, 47, Rue de Vaugirard. Il nous a indiqué votre Maison comme référence. Avant d’établir le contact, nous vous serions reconnaissants de nous donner quelques renseignements sur la réputation, le crédit, et même le caractère de cet agent, car nous avons affaire à une clientèle difficile et parfois pointilleuse. Vous assurant de notre entière discrétion et nous mettant à votre disposition pour vous rendre éventuellement le même service, nous vous prions d’agréer, Monsieur, avec nos meilleurs souvenirs, l’expression de notre considération distinguée. IV. Mettez les verbes entre parenthèses aux temps qui conviennent: 1. L’homme à la robe noir (tendre) le poing jusque sous le nez du bambin. 2. «Je ne veux pas que vous (apprendre) des mensonges à ces enfants». 3. Le garçon qui (retenir) ce qu’on lui (dire) se leva. 4. Je défends que vous (dire) des mensonges à ces enfants, que vous (préndre) que les hommes égaux. 5. Le curé (faire) deux grandes enjambées. 6. C’est ainsi que (mourir) en l’année 1980 dans un grand pays, un maître d’école. 7. L’employée dont vous (trouver) le nom (monter) à mes bureaux pour obtenir un poste de caissier. 8. Je (être) toujours très heureux de vous rendre le même service. 9. Je vous (être) obligé de me faire savoir si je (avoire) des chances de trouver une clientèle pour mes marchandises. 10. Nous (recevoir) votre lettre du 29 mars, et nous vous (remercier) des renseignements que vous avez bien voulu nous y donner. %'
V. Remplacez l’infinitif entre parenthèses par la forme convenable du participe passé composé: 1. (Lire) la lettre, elle l’a jetée sur la table. 2. (Terminer) ses études secondaires, il a décidé d’entrer à l’Académie. 3. (Remercier) le docteur, j’ai pris congé de lui. 4. (Rentrer) à la maison, j’ai posé ma valise dans l’antichambre. 5. (Rester) seul, la fillette a pleuré. 6. (S’installer) dans le compartiment, nous nous sommes mis à causer. 7. (S’habiller) vite, elle est sortie dans la rue. 8. (S’approcher) du gamin, l’homme l’a regardé fixement. 9. (Recevoir) la reponse à sa demande de renseignements, il a donné ce poste au représentant de cette Maison. VI. Traduisez les phrases suivantes en français: 1. ×àñòî îáðàùåíèå çà ñïðàâêàìè îçíà÷àåò âñòóïëåíèå â äåëîâûå îòíîøåíèÿ. 2. Åñëè ðå÷ü èäåò î ôèðìå, íåîáõîäèìî ñäåëàòü áîëüøå óòî÷íåíèé. 3. Íàâåäåíèå ñïðàâîê ìîæåò áûòü òàêæå îòâåòîì íà ïðåäëîæåíèå óñëóã. 4. Ñïðàâêè ìîãóò íàâîäèòüñÿ îòíîñèòåëüíî ÷åëîâåêà, êîòîðûé ïðåäëîæèë ñâîè óñëóãè. 5. Ñïðàâêè ìîãóò íàâîäèòüñÿ îòíîñèòåëüíî ðåïóòàöèè ôèðìû è åå êðåäèòîñïîñîáíîñòè. 6. Íàçâàíèå ôèðìû ìîæåò óêàçûâàòüñÿ íà êàðòî÷êå, ïðèëàãàåìîé ê ïèñüìó. 7. Ïðè íàâåäåíèè ñïðàâîê íåîáõîäèìî óêàçûâàòü ñâîþ ôàìèëèþ è àäðåñ. 8. Íåîáõîäèìî òî÷íî ñôîðìóëèðîâàòü, êàêèå ñïðàâêè âû õîòèòå ïîëó÷èòü. 9. Íåîáõîäèìî âñåãäà óêàçûâàòü ïðè÷èíó, ïî êîòîðîé âû íàâîäèòå ñïðàâêè. 10.  ëþáîì ñëó÷àå, îáðàùàÿñü çà ñïðàâêàìè, íåîáõîäèìî ïîñòàâèòü ñåáÿ íà ìåñòî òîãî, ê êîìó îáðàùàåòåñü, è çàðàíåå ïîáëàãîäàðèòü åãî çà îêàçàííûå óñëóãè.
&
ÃÐÀÌÌÀÒÈ×ÅÑÊÈÉ ÑÏÐÀÂÎ×ÍÈÊ ÌÎÐÔÎËÎÃÈß (LA MORPHOLOGIE)
ÈÌß ÑÓÙÅÑÒÂÈÒÅËÜÍÎÅ (LE NOM ou SUBSTANTIF) Âî ôðàíöóçñêîì ÿçûêå äâà ðîäà: ìóæñêîé masculin è æåíñêèé féminin.
Îáðàçîâàíèå æåíñêîãî ðîäà ñóùåñòâèòåëüíûõ 1. Äëÿ îáðàçîâàíèÿ æåíñêîãî ðîäà ê ñóùåñòâèòåëüíûì ìóæñêîãî ðîäà ïðèáàâëÿåòñÿ îêîí÷àíèå -e, ïðè÷åì ïîñëåäíÿÿ ñîãëàñíàÿ, íå ïðîèçíîñèìàÿ â ìóæñêîì ðîäå, â æåíñêîì ðîäå ïðîèçíîñèòñÿ: un étudiant un voisin un ami
ñòóäåíò; ñîñåä; äðóã;
une étudiante ñòóäåíòêà; une voisine ñîñåäêà; une amie ïîäðóãà.
2. Ñóùåñòâèòåëüíûå ñ îêîí÷àíèåì -å â æåíñêîì ðîäå îáû÷íî íå èçìåíÿþòñÿ: un artiste un élève un camarade
õóäîæíèê; àðòèñò; une artiste õóäîæíèöà; àðòèñòêà; ó÷åíèê; une élève ó÷åíèöà; òîâàðèù; une camarade òîâàðèù (æåíùèíà).
3. Ê ñóùåñòâèòåëüíûì, îêàí÷èâàþùèìñÿ íà -er, -ier â æåíñêîì ðîäå ïðèáàâëÿåòñÿ îêîí÷àíèå -e, ïðè÷åì å ïðåäïîñëåäíåãî ñëîãà ïðèíèìàåò accent grave ( ` ) è ñòàíîâèòñÿ îòêðûòûì: un fermier un berger
ôåðìåð; ïàñòóõ;
une fermière une bergère
ôåðìåðøà; ïàñòóøêà.
4.  ñóùåñòâèòåëüíûõ ñ îêîí÷àíèåì -on, -en, -ien, -at ïîñëåäíÿÿ ñîãëàñíàÿ â æåíñêîì ðîäå óäâàèâàåòñÿ, ñóùåñòâèòåëüíîå ïðèíèìàåò îêîí÷àíèå -å, ïðè÷åì íîñîâîé çâóê èñ÷åçàåò: &
un Breton un musicien un Coréen un chat
áðåòîíåö; ìóçûêàíò; êîðååö; êîò;
áðåòîíêà; ìóçûêàíò; êîðåÿíêà; êîøêà.
une Bretonne une musicienne une Coréenne une chatte
5. Ñóùåñòâèòåëüíûå ñ îêîí÷àíèåì -eur îáû÷íî èçìåíÿþò â æåíñêîì ðîäå -eur íà -euse: un acheteur un vendeur
ïîêóïàòåëü; ïðîäàâåö;
ïîêóïàòåëüíèöà; ïðîäàâùèöà.
une acheteuse une vendeuse
6. Íåêîòîðûå ñóùåñòâèòåëüíûå ñ îêîí÷àíèåì -teur èçìåíÿþò â æåíñêîì ðîäå -teur íà -trice: un acteur un directeur
àêòåð; äèðåêòîð;
àêòðèñà; äèðåêòðèñà.
une actrice une directrice
7. Íåêîòîðûå ñóùåñòâèòåëüíûå íå èìåþò æåíñêîãî ðîäà: le soldat l’ingénieur le docteur le professeur
ñîëäàò; èíæåíåð; äîêòîð; ó÷èòåëü, ïðåïîäàâàòåëü;
l’écrivain le compositeur le philosophe le médecin
ïèñàòåëü; êîìïîçèòîð; ôèëîñîô; âðà÷; äîêòîð.
Îáðàçîâàíèå ìíîæåñòâåííîãî ÷èñëà ñóùåñòâèòåëüíûõ 1. Ìíîæåñòâåííîå ÷èñëî ñóùåñòâèòåëüíûõ îáðàçóåòñÿ ïðèáàâëåíèåì ê åäèíñòâåííîìó ÷èñëó áóêâû s: le livre la table
êíèãà ñòîë
les livres les tables
êíèãè; ñòîëû.
2. Ñóùåñòâèòåëüíûå, îêàí÷èâàþùèåñÿ â åäèíñòâåííîì ÷èñëå íà -s, -x, -z, âî ìíîæåñòâåííîì ÷èñëå íå èçìåíÿþòñÿ: le fils le prix le gaz
ñûí; ìàëü÷èê öåíà; íàãðàäà ãàç
les fils les prix les gaz
ñûíîâüÿ; ìàëü÷èêè; öåíû; íàãðàäû; ãàçû.
3. Ê ñóùåñòâèòåëüíûì, îêàí÷èâàþùèìñÿ â åäèíñòâåííîì ÷èñëå íà -au, -eau, -eu, âî ìíîæåñòâåííîì ÷èñëå ïðèáàâëÿåòñÿ îêîí÷àíèå x: le noyau le drapeau le cheveu
ÿäðî çíàìÿ âîëîñ
les noyaux les drapeaux les cheveux
ÿäðà; çíàìåíà; âîëîñû.
4. Ê èìåíàì ñóùåñòâèòåëüíûì, îêàí÷èâàþùèìñÿ â åäèíñòâåííîì ÷èñëå íà -ou, âî ìíîæåñòâåííîì ÷èñëå ïðèáàâëÿåòñÿ íåïðîèçíîñèìîå îêîí÷àíèå s: le clou le cou &
ãâîçäü øåÿ
les clous les cous
ãâîçäè; øåè.
Òîëüêî ê ñåìè ñóùåñòâèòåëüíûì íà -ou âî ìíîæåñòâåííîì ÷èñëå ïðèáàâëÿåòñÿ îêîí÷àíèå x, à íå s: le bijou le caillou le genou le hibou le joujou le pou
äðàãîöåííîñòü áóëûæíèê êîëåíî ñîâà èãðóøêà âîøü
les bijoux les cailloux les genoux les hiboux les joujoux les poux
äðàãîöåííîñòè; áóëûæíèêè; êîëåíè; ñîâû; èãðóøêè; âøè.
5. Áîëüøèíñòâî ñóùåñòâèòåëüíûõ, îêàí÷èâàþùèõñÿ íà -al, îáðàçóåò ìíîæåñòâåííîå ÷èñëî, ìåíÿÿ -al íà -aux: le cheval le journal
ëîøàäü; êîíü ãàçåòà
les chevaux les journaux
ëîøàäè; êîíè; ãàçåòû.
Òîëüêî íåñêîëüêî ñóùåñòâèòåëüíûõ íà -al îáðàçóþò ìíîæåñòâåííîå ÷èñëî ïðèáàâëåíèåì ê ôîðìå åäèíñòâåííîãî ÷èñëà áóêâû s: le bal le chacal le carnaval
áàë øàêàë êàðíàâàë
les bals les chacals les carnavals
áàëû; øàêàëû; êàðíàâàëû.
6. Ñóùåñòâèòåëüíûå ñ îêîí÷àíèåì íà -ail âî ìíîæåñòâåííîì ÷èñëå îáû÷íî ïðèíèìàþò îêîí÷àíèå â âèäå íåïðîèçíîñèìîãî s: le détail le rail
äåòàëü ðåëüñ
les détails les rails
äåòàëè; ðåëüñû.
Òîëüêî íåñêîëüêî ñóùåñòâèòåëüíûõ íà -ail èìåþò âî ìíîæåñòâåííîì ÷èñëå îêîí÷àíèå -aux: le travail le corail l’émail le soupirail
ðàáîòà; òðóä êîðàëë ýìàëü îòäóøèíà
les travaux les coraux les émaux les soupirêaux
ðàáîòû; òðóäû; êîðàëëû; ýìàëè; îòäóøèíû.
Ñëîæíûå ñóùåñòâèòåëüíûå (Les noms composés) Ñëîæíûå ñóùåñòâèòåëüíûå îáðàçóþòñÿ: 1) èç äâóõ ñóùåñòâèòåëüíûõ l’oiseau-mouche le chou-fleur
êîëèáðè; öâåòíàÿ êàïóñòà;
2) èç ñóùåñòâèòåëüíîãî è ïðèëàãàòåëüíîãî le grand-père le coffre-fort
äåäóøêà; íåñãîðàåìûé øêàô; &!
3) èç äâóõ ñóùåñòâèòåëüíûõ, ñîåäèíåííûõ ïðåäëîãîì l’arc-en-ciel le chef-d’oeuvre
4) èç ãëàãîëà è ñóùåñòâèòåëüíîãî le pince-nez l’abat-jour
ðàäóãà; øåäåâð;
ïåíñíå; àáàæóð;
5) èç íàðå÷èÿ èëè ïðåäëîãà è ãëàãîëà èëè ñóùåñòâèòåëüíîãî le passe-partout l’avant-garde
îòìû÷êà; àâàíãàðä.
Ìíîæåñòâåííîå ÷èñëî ñëîæíûõ ñóùåñòâèòåëüíûõ 1. Åñëè ñëîæíîå ñóùåñòâèòåëüíîå ñîñòîèò èç äâóõ ñóùåñòâèòåëüíûõ èëè ïðèëàãàòåëüíîãî è ñóùåñòâèòåëüíîãî, òî îáà ñëîâà ïðèíèìàþò îêîí÷àíèå ìíîæåñòâåííîãî ÷èñëà: l’oiseau-mouche le chou-fleur le coffre-fort
les oiseaux-mouches les choux-fleurs les coffres-forts
êîëèáðè; öâåòíàÿ êàïóñòà; íåñãîðàåìûå øêàôû.
2. Åñëè ñëîæíîå ñóùåñòâèòåëüíîå ñîñòîèò èç äâóõ ñóùåñòâèòåëüíûõ, ñîåäèíåííûõ ïðåäëîãîì, òî îáû÷íî òîëüêî ïåðâîå èç íèõ ïðèíèìàåò îêîí÷àíèå ìíîæåñòâåííîãî ÷èñëà: le chef-d’oeuvre øåäåâð
les chefs-d’oeuvre øåäåâðû.
3. Åñëè ñëîæíîå ñóùåñòâèòåëüíîå ñîñòîèò èç ñóùåñòâèòåëüíîãî è ãëàãîëà èëè ñóùåñòâèòåëüíîãî è íåèçìåíÿåìîé ÷àñòè ðå÷è, òî ëèøü ñóùåñòâèòåëüíîå ïðèíèìàåò îêîí÷àíèå ìíîæåñòâåííîãî ÷èñëà: le tire-bouchon øòîïîð l’avant-poste àâàíïîñò
les tire-bouchons øòîïîðû; les avant-postes àâàíïîñòû.
Îáðàçîâàíèå ìíîæåñòâåííîãî ÷èñëà ñëîæíûõ ñóùåñòâèòåëüíûõ ïðåäñòàâëÿåò èíîãäà íåêîòîðûå òðóäíîñòè, òàê êàê çíàê ìíîæåñòâåííîãî ÷èñëà ñòàâèòñÿ èëè íå ñòàâèòñÿ â çàâèñèìîñòè îò ëîãè÷åñêîé ñâÿçè ìåæäó ñîñòàâíûìè ýëåìåíòàìè ñëîæíîãî ñóùåñòâèòåëüíîãî. Íàïðèìåð, ñëîæíûå ñóùåñòâèòåëüíûå le tête-à-tête è l’abat-jour âî ìíîæåñòâåííîì ÷èñëå íå èçìåíÿþòñÿ: le tête-à-tête l’abat-jour
ñâèäàíèå àáàæóð
les tête-à-tête les abat-jour
ñâèäàíèÿ; àáàæóðû.
Èíîãäà îäíà èç ñîñòàâíûõ ñëîæíîãî ñóùåñòâèòåëüíîãî â åäèíñòâåííîì ÷èñëå èìååò îðôîãðàôè÷åñêîå îêîí÷àíèå s: le porte-allumettes le porte-cigares &"
ñïè÷å÷íèöà; ïîðòñèãàð.
Ñóùåñòâèòåëüíûå â ïðåäëîæåíèè Âî ôðàíöóçñêîì ÿçûêå ñóùåñòâèòåëüíîå ìîæåò áûòü: 1) ïîäëåæàùèì Kiev est la capitale de l’Ukraine
2) èìåííîé ÷àñòüþ ñêàçóåìîãî Mon ami Serge est professeur
Êèåâ ñòîëèöà Óêðàèíû
Ìîé äðóã Ñåðãåé ïðåïîäàâàòåëü
3) ïðÿìûì äîïîëíåíèåì ãëàãîëà
Îí ÷èòàåò èíòåðåñíóþ êíèãó
Il lit un livre interessant
4) êîñâåííûì äîïîëíåíèåì ãëàãîëà, îáû÷íî ñ ïðåäøåñòâóþùèì ïðåäëîãîì ß ïèøó ïèñüìî ñâîèì äðóçüÿì
J’écris une lettre à mes amis
5) äîïîëíåíèåì ñóùåñòâèòåëüíîãî La composition du M. Paul est bien écrite
Ñî÷èíåíèå ã-íà Ïîëÿ íàïèñàíî õîðîøî
6) îáñòîÿòåëüñòâîì, ãäå ñóùåñòâèòåëüíîå ëèáî ñîïðîâîæäàåòñÿ, ëèáî íå ñîïðîâîæäàåòñÿ ïðåäëîãîì Ýòèì ëåòîì ÿ åäó â Ïàðèæ
Cet été j’irai à Paris
7) îïðåäåëåíèåì
Ýòî ìðàìîðíûé ñòîë
C’est une table de marbre
8) ïðèëîæåíèåì
Ýòó êíèãó íàïèñàë Èâàí Ôðàíêî, âåëèêèé óêðàèíñêèé ïèñàòåëü
Ivan Franco, grand écrivain ukranien, a écrit ce livre
9) îáðàùåíèåì Enfants, ne faites pas tant de bruit!
Äåòè, íå íàäî òàê øóìåòü!
Îïðåäåëèòåëè ñóùåñòâèòåëüíûõ Âî ôðàíöóçñêîì ÿçûêå ïåðåä ñóùåñòâèòåëüíûìè îáû÷íî ñòîÿò îïðåäåëÿþùèå èõ ñëîâà. Îíè ñîãëàñóþòñÿ â ðîäå è ÷èñëå ñ îïðåäåëÿåìûì ñóùåñòâèòåëüíûì. Íàëè÷èå îäíîãî èç îïðåäåëèòåëåé èñêëþ÷àåò âîçìîæíîñòü óïîòðåáëåíèÿ äðóãîãî. Îïðåäåëèòåëÿìè ñóùåñòâèòåëüíûõ ìîãóò áûòü: 1) îïðåäåëåííûé àðòèêëü l’article défini le, la, les Le livre est sur la table La porte est blanche
Êíèãà íà ñòîëå Äâåðü áåëàÿ
Ðåáåíîê ñèäèò Äåòè èãðàþò
L’enfant est assis Les enfants jouent
2) íåîïðåäåëåííûé àðòèêëü l’article indéfini un, une, des ß âèæó êíèãó Ìû îòêðûâàåì äâåðü Âû ïîêóïàåòå êíèãè
Je vois un livre Nous ouvrons une porte Vous achetez des livres
3) óêàçàòåëüíîå ïðèëàãàòåëüíîå l’adjectif démonstratif ce, cet ýòîò; cette ýòà; ces ýòè Ýòà êíèãà èíòåðåñíàÿ Ýòîò ðåáåíîê áîëåí Ýòîò äîì áîëüøîé Ýòè êíèãè íà ñòîëå
Ce livre est interessant Cet enfant est malade Cette maison est grande Ces livres sont sur la table
(Cet óïîòðåáëÿåòñÿ â ìóæñêîì ðîäå ïåðåä ñëîâàìè, íà÷èíàþùèìèñÿ ñ ãëàñíîé áóêâû èëè ñ íåìîãî h). 4) ïðèòÿæàòåëüíîå ïðèëàãàòåëüíîå l’adjectif possessif: Åäèíåñòâåííîå ÷èñëî (Le singulier) Ìóæñêîé ðîä (Le Masculin) mon ton son notre votre leur
ìîé òâîé åå, åãî, ñâîé íàø âàø èõ
Mon frère est ouvrier Sa soeur est ouvrière Chacun pense à sa mère
Æåíñêèé ðîä (Le Féminin) ma ta sa notre votre leur
ìîÿ òâîÿ åãî, åå, ñâîÿ íàøà âàøà èõ
Ìíîæåñòâåííîå ÷èñëî (Le Pluriel) Äâà ðîäà (Les deux genres) mes tes ses nos vos leurs
ìîè òâîè åãî, åå, ñâîè íàøè âàøè èõ
Ìîé áðàò ðàáî÷èé Åãî (åå) ñåñòðà ðàáî÷àÿ Êàæäûé äóìàåò î ñâîåé ìàòåðè
5) íåêîòîðûå âîïðîñèòåëüíûå ìåñòîèìåíèÿ les adjectifs interrogatifs è íåîïðåäåëåííûå ïðèëàãàòåëüíûå les adjectifs indéfinis quel êàêîé; chaque êàæäûé, êàæäàÿ; quelle êàêàÿ; aucun íèêàêîé; quels, quelles êàêèå; aucune íèêàêàÿ. &$
Quel temps fait-il? Quelle heure est-il? Quels livres lisez-vous? Chaque matin je vais à l’Académie Je ne vois aucun homme Je ne vois aucune femme
Êàêàÿ (ñåé÷àñ) ïîãîäà? Êîòîðûé ÷àñ? Êàêèå êíèãè âû ÷èòàåòå? Êàæäîå óòðî ÿ èäó â Àêàäåìèþ ß íå âèæó íèêàêîãî ìóæ÷èíû Íå âèæó íèêàêîé æåíùèíû
6) êîëè÷åñòâåííûå ÷èñëèòåëüíûå les adjectifs numéraux cardinaux Il y a trois livres sur la table
Ïðèìå÷àíèå:
Íà ñòîëå òðè êíèãè.
Îäíàêî ïðè íàëè÷èè êîëè÷åñòâåííîãî ÷èñëèòåëüíîãî èíîãäà óïîòðåáëÿåòñÿ è îïðåäåëåííûé àðòèêëü: 1) êîãäà ãîâîðÿò îáî âñåõ äàííûõ ïðåäìåòàõ Les trois fenêtres de ma chambre donnent sur la rue Âñå òðè îêíà ìîåé êîìíàòû âûõîäÿò íà óëèöó
2) â âûðàæåíèè l’un et l’autre (îäèí è äðóãîé, òîò è äðóãîé) Mes amis Claude et Jean, l’un et l’autre, sont les meilleurs étutdiants de notre université Ìîè äðóçüÿ Êëîä è Æàí, òîò è äðóãîé, ÿâëÿþòñÿ íàèëó÷øèìè ñòóäåíòàìè íàøåãî óíèâåðñèòåòà.
&%
ÀÐÒÈÊËÜ (L’ARTICLE) Àðòèêëü ñëóæåáíîå ñëîâî, êîòîðîå îïðåäåëÿåò ñóùåñòâèòåëüíîå êàê òàêîâîå è óêàçûâàåò åãî ðîä è ÷èñëî. Ñóùåñòâóþò òðè âèäà àðòèêëÿ: 1. Îïðåäåëåííûé àðòèêëü. 2. Íåîïðåäåëåííûé àðòèêëü. 3. ×àñòè÷íûé àðòèêëü.
ÂÈÄÛ ÀÐÒÈÊËß Îïðåäåëåííûé àðòèêëü (L’article défini) Åäèíñòâåííîå ÷èñëî (Le singulier) Ìóæñêîé ðîä (Le masculin) le pays ñòðàíà du (de le) pays ñòðàíû, î ñòðàíå è ò. ä. au (à le) pays â ñòðàíó, â ñòðàíå è ò. ä. l’enfant ðåáåíîê de l’enfant ðåá¸íêà (ðîä. ïàä.) à l’enfant ðåá¸íêó (äàò. ïàä.)
Æåíñêèé ðîä (Le féminin) la femme æåíùèíà de la femme æåíùèíû (ðîä. ïàä.) à la femme æåíùèíå (äàò. ïàä.) l’école øêîëà de l’école øêîëû (ðîä. ïàä.) à l’école â øêîëå; â øêîëó è ò. ä.
Ìíîæåñòâåííîå ÷èñëî (Le pluriel) Äâà ðîäà (Les deux genres) les pays ñòðàíû des (de + les) pays ñòðàí aux (à + les) pays â ñòðàíû
&&
les femmes æåíùèíû des (de + les) femmes æåíùèí aux (à + les) femmes æåíùèíàì
Íåîïðåäåëåííûé àðòèêëü (L’article indéfini) Ìíîæåñòâåííîå ÷èñëî (Le pluriel)
Åäèíñòâåííîå ÷èñëî (Le singulier) Ìóæñêîé ðîä (Le masculin) un livre êíèãà
Äâà ðîäà (Les deux genres)
Æåíñêèé ðîä (Le féminin) une femme æåíùèíà
des livres êíèãè des femmes æåíùèíû
×àñòè÷íûé àðòèêëü (Larticle partitif) Ìóæñêîé ðîä (Le masculin) du pain
õëåáà (ðîä. ïàä.)
de l’argent äåíåã
Æåíñêèé ðîä (Le féminin) de la viande ìÿñà de l’eau
âîäû
ÓÏÎÒÐÅÁËÅÍÈÅ ÀÐÒÈÊËß Îïðåäåëåííûé àðòèêëü Îïðåäåëåííûå àðòèêëè le, la, les óïîòðåáëÿþòñÿ: 1) ïåðåä èìåíàìè ñóùåñòâèòåëüíûìè, êîãäà ýòèìè ñóùåñòâèòåëüíûìè îáîçíà÷àåòñÿ îïðåäåëåííûé ïðåäìåò, óæå èçâåñòíûé ãîâîðÿùåìó èëè ÷èòàþùåìó Les étudants de ce groupe sont partis pour Paris
Ñòóäåíòû ýòîé ãðóïïû óåõàëè â Ïàðèæ
2) ïåðåä èìåíàìè ñóùåñòâèòåëüíûìè, óïîòðåáëÿåìûìè äëÿ îáîçíà÷åíèÿ ïðåäìåòà, åäèíñòâåííîãî â ñâîåì ðîäå Le solei brille La terre est ronde
Ñîëíöå ñâåòèò Çåìëÿ êðóãëàÿ
3) ïåðåä ñóùåñòâèòåëüíûì, êîòîðîå óæå óïîìèíàëîñü ñ íåîïðåäåëåííûì àðòèêëåì C’est une table. La table est large
Ýòî ñòîë. Ñòîë áîëüøîé
4) ïåðåä íàçâàíèÿìè ñòðàí, ðåê, ãîð La France se trouve en Europe Ôðàíöèÿ íàõîäèòñÿ â Åâðîïå &'
Le Dniepre est un grand fleuve Les Alpes sont couvertes de neige
Äíåïð áîëüøàÿ ðåêà Àëüïû ïîêðûòû ñíåãîì.
Íåîïðåäåëåííûé àðòèêëü Íåîïðåäåëåííûé àðòèêëü ñòàâèòñÿ ïåðåä èìåíåì ñóùåñòâèòåëüíûì, êîãäà ïðåäìåò óïîìèíàåòñÿ â ïåðâûé ðàç, êîãäà îí åùå íå èçâåñòåí ãîâîðÿùåìó èëè ÷èòàþùåìó. Je vois un homme et une femm: l’homme est vieux et la femme est jeune.
ß âèæó ìóæ÷èíó è æåíùèíó: ìóæ÷èíà ñòàðûé, à æåíùèíà ìîëîäàÿ.
×àñòè÷íûé àðòèêëü ×àñòè÷íûé àðòèêëü óïîòðåáëÿåòñÿ äëÿ îáîçíà÷åíèÿ ÷àñòè öåëîãî: Donnez-moi du pain Je mange de la viande
Äàéòå ìíå õëåáà ß åì ìÿñî.
 äàííûõ ïðåäëîæåíèÿõ ÷àñòè÷íûå àðòèêëè du, de la óïîòðåáëÿþòñÿ äëÿ îáîçíà÷åíèÿ ÷àñòè ïðåäìåòà. Ñðàâíèòå ñëåäóþùèå äâà ïðåäëîæåíèÿ: Donnez-moi du pain Donnez-moi le pain qui est sur la tàble
Äàéòå ìíå õëåáà (÷àñòü õëåáà) Äàéòå ìíå õëåá, êîòîðûé ëåæèò íà ñòîëå.
Óïîòðåáëåíèå îïðåäåëåííîãî è íåîïðåäåëåííîãî àðòèêëÿ ñ ïðåäëîãàìè de è à Âî ôðàíöóçñêîì ÿçûêå íåò ñêëîíåíèÿ, è òà ñâÿçü ìåæäó ñëîâàìè, êîòîðàÿ â ðóññêîì ÿçûêå ïåðåäàåòñÿ ïðè ïîìîùè ïàäåæíûõ îêîí÷àíèé, âî ôðàíöóçñêîì âûðàæàåòñÿ ïðè ïîìîùè ïðåäëîãîâ. Íàèáîëåå óïîòðåáèòåëüíûìè ÿâëÿþòñÿ ïðåäëîãè de è à: Les rues de Paris sont larges Óëèöû Ïàðèæà øèðîêè Le livre de frère est sur la table Êíèãà áðàòà íà ñòîëå Les rues de la capitale de l’Ukraine Óëèöû ñòîëèöû Óêðàèíû êðàñèâû sont belles Les cahiers de l’enfant sont propres Les livres des amis sont là Je donne le livre à Pierre Je donne le livre au malade Je donne le livre à la malade Je donne le livre à l’enfant '
Òåòðàäè ðåáåíêà ÷èñòû Êíèãè äðóçåé òàì ß äàþ êíèãó Ïåòðó ß äàþ êíèãó áîëüíîìó ß äàþ êíèãó áîëüíîé ß äàþ êíèãó ðåáåíêó.
Èç ïðèâåäåííûõ ïðèìåðîâ ìû âèäèì, ÷òî ðóññêèé ðîäèòåëüíûé ïàäåæ ÷àñòî âûðàæàåòñÿ âî ôðàíöóçñêîì ÿçûêå ïðè ïîìîùè ïðåäëîãà de, à äàòåëüíûé ïàäåæ ïðè ïîìîùè ïðåäëîãà à. Îïðåäåëåííûé àðòèêëü ñëèâàåòñÿ ñ ïðåäëîãàìè de è à è äàåò ôîðìû du è au ïåðåä âñåìè ñóùåñòâèòåëüíûìè ìóæñêîãî ðîäà åäèíñòâåííîãî ÷èñëà, íà÷èíàþùèìèñÿ íà ñîãëàñíóþ áóêâó è áóêâó h, ïîìå÷åííóþ â ñëîâàðÿõ çâåçäî÷êîé (*h), à ôîðìû des è aux ïåðåä âñåìè ñóùåñòâèòåëüíûìè ìóæñêîãî è æåíñêîãî ðîäà ìíîæåñòâåííîãî ÷èñëà. Òàêèå ôîðìû íàçûâàþòñÿ ñîêðàùåííûì àðòèêëåì l’article contracté. Åñëè æå ñóùåñòâèòåëüíîå ìóæñêîãî è æåíñêîãî ðîäà â åäèíñòâåííîì ÷èñëå íà÷èíàåòñÿ ñ ãëàñíîé áóêâû èëè h (áåç çâåçäî÷êè â ñëîâàðå), òî àðòèêëü ïðèíèìàåò ôîðìó ñ îïóùåííîé ãëàñíîé l’article élidé: de l’homme m de l’enfant m de l’armée f
ìóæ÷èíû; ðåáåíêà; àðìèè;
à l’homme m à l’enfant m à l’armée f
ìóæ÷èíå; ðåáåíêó; àðìèè.
Àðòèêëü íå ñëèâàåòñÿ ñ ïðåäëîãàìè de è à ïåðåä ñóùåñòâèòåëüíûì æåíñêîãî ðîäà â åäèíñòâåííîì ÷èñëå, íà÷èíàþùèìñÿ ñ ëþáîé ñîãëàñíîé áóêâû è áóêâû h, ïîìå÷åííîé â ñëîâàðÿõ çâåçäî÷êîé (*h): de la femme de la gare de la harde
æåíùèíû; âîêçàëà; óïðÿæêè;
à la femme à la gare à la harde
æåíùèíå; âîêçàëó; óïðÿæêå.
ÑËÓ×ÀÈ ÍÅÓÏÎÒÐÅÁËÅÍÈß ÀÐÒÈÊËß Àðòèêëü íå óïîòðåáëÿåòñÿ: 1) ïðè íàëè÷èè äðóãèõ îïðåäåëèòåëåé (ñì. âûøå); 2) ïðè îáðàùåíèè: Bonjour, Messieurs!
3) ïðè ïåðå÷èñëåíèè Hommes, femmes, enfants, tous se jetèrent sur le pont
Çäðàâñòâóéòå, ãîñïîäà! Íà ïàëóáó áðîñèëèñü âñå ìóæ÷èíû, æåíùèíû, äåòè
4) ïåðåä ñóùåñòâèòåëüíûì â êà÷åñòâå èìåííîé ÷àñòè ñêàçóåìîãî, îáîçíà÷àþùåé ïðîôåññèþ èëè íàöèîíàëüíîñòü Mon ami Michel est ingénieur Cet étudiant est Ukrainien
Ïðèìå÷àíèå:
Ìîé äðóã èíæåíåð Ýòîò ñòóäåíò óêðàèíåö.
Íî åñëè òàêîå ñóùåñòâèòåëüíîå ñîïðîâîæäàåòñÿ îïðåäåëåíèåì, òî àðòèêëü óïîòðåáëÿåòñÿ:
Mon ami est un ingénieur connu
Ìîé äðóã èçâåñòíûé èíæåíåð
'
5) ïåðåä ïðèëîæåíèåì Balzac, célèbre écrivain français, a écrit beaucoup de romans
Áàëüçàê, çíàìåíèòûé ôðàíöóçñêèé ïèñàòåëü, íàïèñàë ìíîãî ðîìàíîâ
6) íà âûâåñêàõ, ïëàêàòàõ, ðåêëàìíûõ îáúÿâëåíèÿõ, çàãëàâèÿõ Compagnie Générale de… Hôtel National Cours de langue française
Ãëàâíàÿ (òîðãîâàÿ) êîìïàíèÿ... Ãîñòèíèöà Íàöèîíàëü Êóðñû ôðàíöóçñêîãî ÿçûêà
7) êîãäà ñóùåñòâèòåëüíîå óïîòðåáëÿåòñÿ êàê îïðåäåëåíèå une table de bois une maison de pierre une boîte à sucre
äåðåâÿííûé ñòîë; êàìåííûé äîì; ïà÷êà ñàõàðó
8) ïîñëå îòðèöàíèé â êîíñòðóêöèè ni
ni Il n’a ni père, ni mère Cela n’est ni viande, ni poisson
9) â ïîñëîâèöàõ è ïîãîâîðêàõ La nuit porte conseil Qui langue a, à Rome va
10) ïîñëå ïðåäëîãà en en ville â ãîðîäå;
Ó íåãî íåò íè îòöà, íè ìàòåðè Ýòî íè òî, íè ñå Óòðî âå÷åðà ìóäðåíåå ßçûê äî Êèåâà äîâåäåò
en France âî Ôðàíöèè;
en Ukraine â Óêðàèíå
11) îáû÷íî ïåðåä íàçâàíèåì óëèö è ãîðîäîâ Kiev est une belle ville
Ïðèìå÷àíèå:
Êèåâ ïðåêðàñíûé ãîðîä
Àðòèêëü óïîòðåáëÿåòñÿ ïåðåä íàçâàíèÿìè ñòðàí, ãîð è ðåê. 12) âî ìíîãèõ ãëàãîëüíûõ îáîðîòàõ avoir peur avoir faim avoir soif avoir besoin de qch avoir lieu avoir raison prendre place prendre feu prendre part prendre soin de qch, qn avoir tort
áîÿòüñÿ; õîòåòü åñòü; õîòåòü ïèòü; íóæäàòüñÿ â ÷åì-ë.; èìåòü ìåñòî, ïðîèñõîäèòü; áûòü ïðàâûì; çàíèìàòü ìåñòî; çàãîðàòüñÿ; ó÷àñòâîâàòü; çàáîòèòüñÿ î ÷åì-ë., êîì.-ë.; áûòü íåïðàâûì
13) âî ìíîãèõ óñòàíîâèâøèõñÿ â ÿçûêå àäâåðáèàëüíûõ (èìåþùèõ ñâîéñòâî íàðå÷èÿ) âûðàæåíèÿõ òèïà à peine avec peine '
åäâà; ñ òðóäîì;
ê ñ÷àñòüþ; ê íåñ÷àñòüþ; ïåøêîì; ñ óäîâîëüñòâèåì; ðàíî óòðîì; ãðîìêî; âåðõîì; ðàíî; ñî âñåõ íîã.
par bonheur par malheur à pied avec plaisir de grand matin à haute voix à cheval de bonne heure à toutes jambes
Îòñóòñòâèå àðòèêëÿ ïðè íàëè÷èè ïðåäëîãà de Ïðè íàëè÷èè ïðåäëîãà de àðòèêëü íå ñòàâèòñÿ: 1) ïîñëå íåêîòîðûõ ãëàãîëîâ (avoir èìåòü, faire äåëàòü, trouver íàõîäèòü è ò. ä.) â îòðèöàòåëüíîé ôîðìå Il n’a pas d’amis Il ne fait pas de fautes dans ces dictées Il ne trouve pas de livres qu’il lui faut
Äðóçåé îí íå èìååò Â äèêòàíòàõ îí îøèáîê íå äåëàåò Îí íå íàõîäèò íóæíûõ åìó êíèã
2) ïîñëå ñóùåñòâèòåëüíîãî è íàðå÷èÿ, âûðàæàþùåãî êîëè÷åñòâî, un kilo de beurre peu de viande une bouteille de vin beaucoup de gens
êèëî ìàñëà; íåìíîãî ìÿñà; áóòûëêà âèíà; ìíîãî ëþäåé;
3) ïåðåä ñóùåñòâèòåëüíûì ñî ñòîÿùèì âïåðåäè ïðèëàãàòåëüíûì, åñëè ñóùåñòâèòåëüíîå ïî ñìûñëó òðåáóåò ÷àñòè÷íîãî èëè íåîïðåäåëåííîãî àðòèêëÿ de bon beurre (du beurre) de grands arbres (des arbres)
âêóñíîå ìàñëî; áîëüøèå äåðåâüÿ.
'!
ÈÌß ÏÐÈËÀÃÀÒÅËÜÍÎÅ (L’ADJECTIF) Ïî ñâîåìó çíà÷åíèþ ïðèëàãàòåëüíûå ðàçäåëÿþòñÿ íà òðè ãðóïïû: 1) êà÷åñòâåííûå ïðèëàãàòåëüíûå les adjectifs qualificatifs; 2) îòíîñèòåëüíûå ïðèëàãàòåëüíûå les adjectifs relatifs; 3) ìåñòîèìåííûå ïðèëàãàòåëüíûå les adjectifs pronominaux. Ñàìîñòîÿòåëüíûìè ÿâëÿþòñÿ êà÷åñòâåííûå è îòíîñèòåëüíûå ïðèëàãàòåëüíûå. Ìåñòîèìåííûå ïðèëàãàòåëüíûå îòíîñÿòñÿ ê íåñàìîñòîÿòåëüíûì ñëîâàì.
Êà÷åñòâåííûå è îòíîñèòåëüíûå ïðèëàãàòåëüíûå Êà÷åñòâåííûå ïðèëàãàòåëüíûå îáîçíà÷àþò êà÷åñòâî ïðåäìåòà: grand bon rouge
áîëüøîé; õîðîøèé; êðàñíûé;
froid õîëîäíûé; chaud ãîðÿ÷èé; vieux ñòàðûé.
Îòíîñèòåëüíûå (èëè íåêà÷åñòâåííûå) ïðèëàãàòåëüíûå âûðàæàþò ïðèçíàêè ïðåäìåòà îïîñðåäñòâåííî ÷åðåç îòíîøåíèÿ îäíîãî ïðåäìåòà ê äðóãîìó: français textile chimique
ôðàíöóçñêèé; òåêñòèëüíûé; õèìè÷åñêèé;
géographique ãåîãðàôè÷åñêèé; scolaire øêîëüíûé; social ñîöèàëüíûé.
Ðîä ïðèëàãàòåëüíûõ (Le genre des adjectifs) Áîëüøèíñòâî ïðèëàãàòåëüíûõ îáðàçóþò æåíñêèé ðîä ïóòåì ïðèáàâëåíèÿ íà ïèñüìå íåìîé áóêâû -å ê ôîðìå ìóæñêîãî ðîäà. Ïðèëàãàòåëüíûå, êîòîðûå â ìóæñêîì ðîäå îêàí÷èâàþòñÿ íà -å, íå èçìåíÿþòñÿ â æåíñêîì ðîäå: un jeune homme ìîëîäîé ìóæùèíà; un texte facil ëåãêèé òåêñò;
une jeune fille ìîëîäàÿ äåâóøêà; une règle facile ëåãêîå ïðàâèëî.
Ïðèáàâëåíèå íåìîé áóêâîé -å âûçûâàåò èçìåíåíèÿ â ïðîèçíîøåíèè è íàïèñàíèè ïðèëàãàòåëüíîãî. '"
Èçìåíåíèå ïðèëàãàòåëüíûõ òîëüêî ïóòåì íàïèñàíèÿ  ðÿäå ñëó÷àåâ èçìåíÿþùèéñÿ ñìûñë ïðèëàãàòåëüíîãî ìîæíî ÷åòêî îòðàçèòü ëèøü â íàïèñàíèè ñëîâà, ÷òî èìååò ìåñòî, êîãäà: 1) ïðèëàãàòåëüíûå îêàí÷èâàþòñÿ íà ãëàñíóþ áóêâó: un crayon bleu une nappe bleue un joli enfant une jolie fillette
ñèíèé êàðàíäàø; ñèíÿÿ ñêàòåðòü; êðàñèâûé ðåáåíîê; êðàñèâàÿ äåâî÷êà;
2) ïðèëàãàòåëüíûå îêàí÷èâàþòñÿ íà ñîãëàñíóþ áóêâó, êîòîðàÿ ïðîèçíîñèòñÿ: le problème principal la question principale un livre cher une auto chère
ãëàâíàÿ ïðîáëåìà; ãëàâíûé âîïðîñ; äîðîãàÿ êíèãà; äîðîãîé àâòîìîáèëü;
3) ïðèëàãàòåëüíûå íà, îêàí÷èâàþùèåñÿ íà -el, -eil, óäâàèâàþò -l: un homme cruel une femme cruelle le cas pareil la situation pareille
æåñòîêèé ÷åëîâåê; æåñòîêàÿ æåíùèíà; ïîäîáíûé ñëó÷àé; ïîäîáíàÿ ñèòóàöèÿ;
4) ïðèëàãàòåëüíûå, îêàí÷èâàþùèåñÿ íà áóêâó íà -ñ â ìóæñêîì ðîäå, â æåíñêîì ðîäå èìåþò ôîðìû: public îáùåñòâåííûé grec ãðå÷åñêèé Îäíàêî: sec ñóõîé; õóäîé
publique îáùåñòâåííàÿ; grecque ãðå÷åñêàÿ. sèche ñóõàÿ; õóäàÿ.
Èçìåíÿþòñÿ â íàïèñàíèè è ïðîèçíîøåíèè ïðèëàãàòåëüíûå, îêàí÷èâàþùèåñÿ â ìóæñêîì ðîäå íà ñîãëàñíóþ, êîòîðàÿ íå ïðîèçíîñèòñÿ. Ïðè ïðèáàâëåíèè â æåíñêîì ðîäå íåìîé áóêâû -å êîíå÷íàÿ ñîãëàñíàÿ áóêâà ïðîèçíîñèòñÿ: petit lourd
ìàëåíüêèé òÿæåëûé
petite lourde
ìàëåíüêàÿ; òÿæåëàÿ.
Íåêîòîðûå èç ýòèõ ïðèëàãàòåëüíûõ ïðè îáðàçîâàíèè æåíñêîãî ðîäà èìåþò îïðåäåëåííûå îñîáåííîñòè: 1) ïðèëàãàòåëüíûå, îêàí÷èâàþùèåñÿ íà -er, ïðèíèìàþò â æåíñêîì ðîäå accent grave (è): dernier ïîñëåäíèé léger ëåãêèé
dernière ïîñëåäíÿÿ; légère ëåãêàÿ;
'#
2) ó ïðèëàãàòåëüíûõ, êîòîðûå â ìóæñêîì ðîäå îêàí÷èâàþòñÿ íà íîñîâîé ãëàñíûé, â æåíñêîì ðîäå íîñîâîé ãëàñíûé ïåðåõîäèò â ÷èñòûé çâóê, à -n ïðè íàïèñàíèè óäâàèâàåòñÿ: íî:
bon ancien fin brun
õîðîøèé äðåâíèé òîíêèé êîðè÷íåâûé
bonne ancienne fine brune
õîðîøàÿ; äðåâíÿÿ; òîíêàÿ; êîðè÷íåâàÿ;
3) ïðèëàãàòåëüíûå, îêàí÷èâàþùèåñÿ íà -et, óäâàèâàþò -t: íî:
cadet net complet concret secret
ìëàäøèé ÷èñòûé; ÿñíûé ïîëíûé; ñîâåðøåííûé êîíêðåòíûé ñåêðåòíûé
cadette nette complète concrète secrète
ìëàäøàÿ; ÷èñòàÿ; ÿñíàÿ; ïîëíàÿ; ñîâåðøåííàÿ; êîíêðåòíàÿ; ñåêðåòíàÿ.
(Ó ýòèõ ïðèëàãàòåëüíûõ ñîãëàñíàÿ ïðåäïîñëåäíÿÿ áóêâà -e èçìåíÿåòñÿ íà -è). 4) ïðèëàãàòåëüíûå íà -ot óäâàèâàþò -t: sot ãëóïûé; áåñòîëêîâûé vieillot ïîæèëîé idiot èäèîòñêèé; ãëóïûé
íå
óäâàèâàåòñÿ,
à
sotte ãëóïàÿ; áåñòîëêîâàÿ; vieilotte ïîæèëàÿ; idiote èäèîòñêàÿ; ãëóïàÿ;
íî: 5) íåêîòîðûå ïðèëàãàòåëüíûå íà -s â æåíñêîì ðîäå óäâàèâàþò ýòó ñîãëàñíóþ:
íî:
bas las gros chinois gris
íèçêèé; íåâûñîêèé óñòàëûé òîëñòûé; êðóãëûé êèòàéñêèé ñåðûé
basse lasse grosse chinoise grise
íèçêàÿ; íåâûñîêàÿ; óñòàëàÿ; òîëñòàÿ; êðóãëàÿ; êèòàéñêàÿ; ñåðàÿ.
6) áîëüøèíñòâî ïðèëàãàòåëüíûõ íà -x èçìåíÿþò -x íà -s: íî:
heureux laborieux doux roux faux
ñ÷àñòëèâûé òðóäîëþáèâûé ñëàäêèé; íåæíûé ðûæèé ëæèâûé
heureuse laborieuse douce rousse fausse
ñ÷àñòëèâàÿ; òðóäîëþáèâàÿ; ñëàäêàÿ; íåæíàÿ; ðûæàÿ; ëæèâàÿ;
7) ïðèëàãàòåëüíûå íà -f â æåíñêîì ðîäå èçìåíÿþò -f íà -v: actif bref naïf
àêòèâíûé êîðîòêèé; êðàòêèé íàèâíûé
active brève naïve
àêòèâíàÿ; êîðîòêàÿ; êðàòêàÿ; íàèâíàÿ.
Íåêîòîðûå ïðèëàãàòåëüíûå èìåþò äâå ôîðìû ìóæñêîãî ðîäà. Ïåðâàÿ ôîðìà óïîòðåáëÿåòñÿ ïåðåä ñóùåñòâèòåëüíûìè, êîòîðûå íà÷èíàþòñÿ ñ ñîãëàñíîé èëè h aspiré (ñî çâåçäî÷êîé â ñëîâàðå), âòîðàÿ '$
ôîðìà ïåðåä ñóùåñòâèòåëüíûìè, êîòîðûå íà÷èíàþòñÿ ñ ãëàñíîé èëè h muet (áåç çâåçäî÷êè â ñëîâàðå). Âòîðàÿ ôîðìà ìóæñêîãî ðîäà ñëóæèò äëÿ îáðàçîâàíèÿ ôîðìû æåíñêîãî ðîäà. Ñîãëàñíàÿ ïðè ýòîì óäâàèâàåòñÿ. Æåíñêèé ðîä (Le féminin)
Äâå ôîðìû ìóæñêîãî ðîäà (Le deux formes du masculin des adjectifs) un beau livre õîðîøàÿ êíèãà;
un bel enfant õîðîøèé ðåáåíîê;
une belle poésie õîðîøåå ñòèõîòâîåðíèå;
un vieux miroir ñòàðîå çåðêàëî;
un vieil arbre ñòàðîå äåðåâî;
une vieille auto ñòàðûé àâòîìîáèëü;
un nouveau héros íîâûé ãåðîé;
un nouvel habit íîâàÿ îäåæäà;
une nouvelle histoire íîâàÿ èñòîðèÿ.
Îñîáóþ ôîðìó æåíñêîãî ðîäà èìåþò òàêèå ïðèëàãàòåëüíûå: blanc franc frais long
áåëûé ñâîáîäíûé ñâåæèé äëèííûé
blanche franche fraîche longue
áåëàÿ; ñâîáîäíàÿ; ñâåæàÿ; äëèííàÿ.
Ìíîæåñòâåííîå ÷èñëî ïðèëàãàòåëüíûõ (Le nombre des adjectifs) Ïî îáùåìó ïðàâèëó ìíîæåñòâåííîå ÷èñëî ïðèëàãàòåëüíûõ îáðàçóåòñÿ ïóòåì ïðèáàâëåíèÿ áóêâû -s ê ôîðìå åäèíñòâåííîãî ÷èñëà: un grand arbre de grands arbres
áîëüøîå äåðåâî; áîëüøèå äåðåâüÿ;
une table ronde des tables rondes
êðóãëûé ñòîë; êðóãëûå ñòîëû.
Ïðèëàãàòåëüíûå, êîòîðûå îêàí÷èâàþòñÿ íà áóêâû -s è -x, âî ìíîæåñòâåííîì ÷èñëå íå èçìåíÿþòñÿ: un manteau gris des manteaux gris
ñåðîå ïàëüòî; ñåðûå ïàëüòî;
un homme heureux des hommes heureux
ñ÷àñòëûâûé ÷åëîâåê; ñ÷àñòëûâûå ëþäè.
Ïðèëàãàòåëüíûå, îêàí÷èâàþùèåñÿ íà -al, âî ìíîæåñòâåííîì ÷èñëå èçìåíÿþò îêîí÷àíèå íà -aux: '%
un regard amical des regards amicaux
äðóæåñêèé âçãëÿä; äðóæåñêèå âçãëÿäû;
le problème principal ãëàâíàÿ ïðîáëåìà; les problèmes principaux ãëàâíûå ïðîáëåìû;
íî:
un combat naval des combats navals
ìîðñêîé áîé; ìîðñêèå áîè;
le pays natal les pays natals
ðîäíàÿ ñòðàíà; ðîäíûå ñòðàíû;
un jour fatal des jours fatals
ðîêîâîé äåíü; ðîêîâûå äíè.
Ïðèëàãàòåëüíûå beau, nouveaux âî ìíîæåñòâåííîì ÷èñëå ïðèíèìàþò îêîí÷àíèå -x: un beau livre de beaux livres
õîðîøàÿ êíèãà; õîðîøèå êíèãè;
un nouveau problème de nouveaux problèmes
íîâàÿ ïðîáëåìà; íîâûå ïðîáëåìû.
Ñîãëàñîâàíèå ïðèëàãàòåëüíûõ (L’accord des adjectifs) Ïðèëàãàòåëüíîå ñîãëàñóåòñÿ â ðîäå è ÷èñëå ñ ñóùåñòâèòåëüíûì, êîòîðîå îíî îïðåäåëÿåò: une grande école des textes faciles
áîëüøàÿ øêîëà; ëåãêèå òåêñòû.
Åñëè ïðèëàãàòåëüíîå îòíîñèòñÿ ê íåñêîëüêèì ñóùåñòâèòåëüíûì, îíî ñòîèò âî ìíîæåñòâåííîì ÷èñëå: La rue et la place désertes
Ïóñòûííûå óëèöà è ïëîùàäü.
Ñîãëàñîâàíèå ñëîæíûõ ïðèëàãàòåëüíûõ (L’accord des adjectifs composés)  ñëîæíîì ïðèëàãàòåëüíîì, ñîñòîÿùåì èç äâóõ ïðèëàãàòåëüíûõ, îáå åãî ÷àñòè ñîãëàñóþòñÿ ñ ñóùåñòâèòåëüíûì:
'&
un homme sourd-muet des hommes sourds-muets
ãëóõîíåìîé ìóæ÷èíà; ãëóõîíåìûå ìóæ÷èíû;
une femme sourde-muette des femmes sourdes-muettes
ãëóõîíåìàÿ æåíùèíà; ãëóõîíåìûå æåíùèíû.
Ïåðâàÿ ÷àñòü çàêàí÷èâàþùåãîñÿ íà -î ñëîæíîãî ïðèëàãàòåëüíîãî îñòàåòñÿ áåç èçìåíåíèé: la frontière franco-italienne les relations italiano-allemandes
ôðàíêî-èòàëüÿíñêàÿ ãðàíèöà; èòàëî-ãåðìàíñêèå îòíîøåíèÿ.
 ñëîæíûõ ïðèëàãàòåëüíûõ, êîòîðûå îçíà÷àþò öâåò, îáå ñîñòàâíûå ÷àñòè îñòàþòñÿ áåç èçìåíåíèé: une robe bleu-pervenche des robes bleu-pervenche
ïëàòüå ñèíå-áàðâèíêîâîãî öâåòà; ïëàòüÿ ñèíå-áàðâèíêîâîãî öâåòà;
des cheveux châtain-clair des nuages gris-blanc
âîëîñû ñâåòëî-êàøàòàíîâîãî öâåòà; ñâåòëî-ñåðûå îáëàêà.
Ñòåïåíè ñðàâíåíèÿ ïðèëàãàòåëüíûõ (Les degrés de comparaison des adjectifs) Ñòåïåíè ñðàâíåíèÿ èìåþò ëèøü êà÷åñòâåííûå ïðèëàãàòåëüíûå. Ñòåïåíè ñðàâíåíèÿ îáðàçóþòñÿ ñ ïîìîùüþ íàðå÷èé, êîòîðûå ñòàâÿòñÿ ïåðåä ïðèëàãàòåëüíûì. Ñàìî ïðèëàãàòåëüíîå ôîðìû íå ìåíÿåò. Ðàçëè÷àþò äâå ñòåïåíè ñðàâíåíèÿ: ñðàâíèòåëüíóþ le comparatif è ïðåâîñõîäíóþ le superlatif. Ñðàâíèòåëüíàÿ ñòåïåíü îáðàçóåòñÿ ñ ïîìîùüþ íàðå÷èé plus áîëüøå; áîëåå (äëÿ âûðàæåíèÿ áîëåå âûñîêîé ìåðû êà÷åñòâà) è moins ìåíüøå; ìåíåå (äëÿ âûðàæåíèÿ áîëåå íèçêîé ìåðû êà÷åñòâà). Âòîðàÿ ÷àñòü ñðàâíåíèÿ ñîåäèíÿåòñÿ ñ ïåðâîé ñ ïîìîùüþ ñîþçà que. Ïðåâîñõîäíàÿ ñòåïåíü îáðàçóåòñÿ ïóòåì ïîñòàíîâêè îïðåäåëåííîãî àðòèêëÿ le (la) ïåðåä que. Ñòåïåíü ñðàâíåíèÿ (Un degré de comparation)
Ïðèìåðû (Examples)
Ñðàâíèòåëüíàÿ ñòåïåíü (Le comparatif)
Pierre est plus grand que Paul Ïüåð áîëüøå Ïîëÿ. Paul est moins grand que Pierre Ïîëü ìåíüøå Ïüåðà. Henri est aussi grand que Pierre Àíðè òàêîé æå áîëüøîé, êàê Ïüåð.
Ïðåâîñõîäíàÿ ñòåïåíü (Le superlatif)
Nicolas est le plus grand des trois Ñàìûé áîëüøîé èç òðîèõ Íèêîëÿ. Paul est le moins grand des trois Ñàìûé ìàëåíüêèé èç òðîèõ Ïîëü. Ils sont les plus grands dans la classe  êëàññå îíè ñàìûå áîëüøèå. ''
Ïðèëàãàòåëüíûå bon õîðîøèé; mauvais ïëîõîé; petit ìàëåíüêèé èìåþò îñîáûå ôîðìû ñòåïåíåé ñðàâíåíèÿ. Îñîáûå ôîðìû ñòåïåíåé ñðàâíåíèÿ ïðèëàãàòåëüíûõ (Les formes spéciaux des degrés de comparaison de certain adjectifs) Ïðèëàãàòåëüíûå (Les adjectifs)
Ñðàâíèòåëüíàÿ ñòåïåíü (Le comparatif)
Ïðåâîñõîäíàÿ ñòåïåíü (Le superlatif) le (la) meilleur (e) ñàìûé ëó÷øèé; (ñàìàÿ ëó÷øàÿ);
bon õîðîøèé;
meilleur ëó÷øå;
mauvais ïëîõîé;
le (la) plus mouvais (e) ñàìûé ïëîõîé; plus mauvais õóæå; le (la) pire (ñàìàÿ ïëîõàÿ); pire
petit ìàëåíüêèé;
plus petit moindre
ìåíüøå;
le (la) plus petit (e) ñàìûé ìàëåíüêèé; le (la) moindre (ñàìàÿ ìàëåíüêàÿ)
Ìåñòî ïðèëàãàòåëüíîãî (La place de ladjectif) Ïåðåä îïðåäåëÿåìûì ñóùåñòâèòåëüíûì ñòàâÿòñÿ îäíî- èëè äâóñëîæíûå ïðèëàãàòåëüíûå, êîòîðûå ïðè ýòîì ñîõðàíÿþò ñâîå ñåìàíòè÷åñêîå çíà÷åíèå: grand áîëüøîé; âûñîêèé; gros òîëñòûé; áîëüøîé; petit ìàëåíüêèé; bon õîðîøèé; mauvais ïëîõîé; beau êðàñèâûé; joli êðàñèâûé; õîðîøèé; jeune ìîëîäîé; vieux ñòàðûé; haut âûñîêèé; long äëèííûé; vrai íàñòîÿùèé: une grande maison une petite fille un jeune homme une haute montagne
áîëüøîé äîì; ìàëåíüêàÿ äåâî÷êà; ìîëîäîé ÷åëîâåê; âûñîêàÿ ãîðà.
Ïðèëàãàòåëüíûå, êîòîðûå îáîçíà÷àþò ôîðìó, öâåò, óêàçûâàþò íàöèîíàëüíîñòü è èñïîëüçóþòñÿ êàê íàó÷íûå, òåõíè÷åñêèå è ïîëèòè÷åñêèå òåðìèíû, ñòàâÿòñÿ ïîñëå ñóùåñòâèòåëüíîãî: une table ronde la langue ukrainienne une robe verte le régime politique
êðóãëûé ñòîë; óêðàèíñêèé ÿçûê; çåëåíîå ïëàòüå; ïîëèòè÷åñêèé ðåæèì.
 çàâèñèìîñòè îò òîãî, ñòîÿò ëè îíè ïåðåä ñóùåñòâèòåëüíûì èëè ïîñëå íåãî, íåêîòîðûå ïðèëàãàòåëüíûå èìåþò ðàçíîå çíà÷åíèå: un homme grand un grand homme
÷åëîâåê âûñîêîãî ðîñòà; âåëèêèé ÷åëîâåê;
õðàáðàÿ æåíùèíà; ñëàâíàÿ æåíùèíà; ÷èñòûå ðóêè; ñîáñòâåííûå ðóêè.
une femme brave une brave femme les mains propres les propres mains
Ìåñòîèìåííûå ïðèëàãàòåëüíûå (Les adjectifs pronominaux) Ìåñòîèìåííûå ïðèëàãàòåëüíûå, èëè äåòåðìèíàòèâû, ýòî íå ñàìîñòîÿòåëüíûå ñëîâà. Îíè ñòîÿò ïåðåä ñóùåñòâèòåëüíûìè, óêàçûâàþò íà èõ ðîä è ÷èñëî.  ýòîì èõ ôóíêöèè ïðèáëèæàþòñÿ ê ôóíêöèè àðòèêëÿ. Âî ìíîãèõ ñëó÷àÿõ ìåñòîèìåííûå ïðèëàãàòåëüíûå çàìåíÿþò àðòèêëü. Ìåñòîèìåííûå ïðèëàãàòåëüíûå (èíîãäà íàçûâàåìûå ïðèëàãàòåëüíûìè-ìåñòîèìåíèÿìè) èìåþò îñîáîå ëåêñè÷åñêîå çíà÷åíèå. Îíè óêàçûâàþò íà ïðåäìåòû, âûðàæàþò èõ ïðèíàäëåæíîñòü, ïðèäàþò ñóùåñòâèòåëüíîìó çíà÷åíèÿ êà÷åñòâà è êîëè÷åñòâà. Ïî ñâîåìó çíà÷åíèþ îíè ïîäðàçäåëÿþòñÿ íà óêàçàòåëüíûå, ïðèòÿæàòåëüíûå, âîïðîñèòåëüíî-îòíîñèòåëüíûå, îòíîñèòåëüíûå.
Óêàçàòåëüíûå ïðèëàãàòåëüíûå (Les adjectifs démonstratifs) Åäèíñòâåííîå ÷èñëî (Le singulier) Ìóæñêîé ðîä Æåíñêèé ðîä (Le masulin) (Le féminin) ce, cet ýòîò
cette ýòà
Ìíîæåñòâåííîå ÷èñëî (Le pluriel) Äëÿ îáåèõ ðîäîâ (Pour deux genres) ces ýòè
Ôîðìû ce è cette óïîòðåáëÿþòñÿ ïåðåä ñóùåñòâèòåëüíûìè ìóæñêîãî è æåíñêîãî ðîäà åäèíñòâåííîãî ÷èñëà, ôîðìû cet è cette ïåðåä ñóùåñòâèòåëüíûìè ìóæñêîãî è æåíñêîãî ðîäà, â òîì ÷èñëå ïåðåä ñóùåñòâèòåëüíûìè, íà÷èíàþùèìèñÿ ñ ãëàñíîé áóêâû èëè h muet (íåìîãî), à ôîðìà ces óïîòðåáëÿåòñÿ ïåðåä ñóùåñòâèòåëüíûìè, íåçàâèñèìî îò òîãî, ñ êàêîé áóêâû îíè íà÷èíàþòñÿ: ce livre ce héros cet enfant cet homme cette femme cette artiste
ýòà êíèãà; ýòîò ãåðîé; ýòîò ðåáåíîê; ýòîò ÷åëîâåê; ýòà æåíùèíà; ýòà àðòèñòêà;
ces livres ces héros ces enfants ces hommes ces femmes ces artistes
ýòè êíèãè; ýòè ãåðîè; ýòè äåòè; ýòè ëþäè; ýòè æåíùèíû; ýòè àðòèñòêè.
Óêàçàòåëüíûå ïðèëàãàòåëüíûå ìîãóò óñèëèâàòüñÿ ÷àñòèöàìè ci è là, êîòîðûå â ïèñüìåííîé ôîðìå ïðèñîåäèíÿþòñÿ ê ñóùåñòâèòåëüíîìó ñ ïîìîùüþ äåôèñà. Ôîðìà ñ ci îçíà÷àåò áîëåå áëèçêèé ïðåäìåò, ôîðìà ñ là ïðåäìåò áîëåå îòäàëåííûé. Ýòî îòëè÷èå ïðîÿâëÿåòñÿ ëèøü ïðè ñîïîñòàâëåíèè ïðåäìåòîâ: Ce livre-ci est intéressant, ce livre-là n’est pas interessant Ýòà êíèãà èíòåðåñíàÿ, òà êíèãà íåèíòåðåñíàÿ.
Åñëè ïðåäìåòû íå ñîïîñòàâëÿþòñÿ, òî îáå ôîðìû ðàâíîçíà÷íûå. Ce garçon-lá est toujours en retard. Ýòîò ìàëü÷èê âñåãäà îïàçäûâàåò.
Ïðèòÿæàòåëüíûå ïðèëàãàòåëüíûå (Les adjectifs possessifs) Ïðåäìåò (Un object) îäèí (un) Îáëàäàòåëü (Propriétaire)
Ìóæñêîé ðîä (Le masculin)
Æåíñêèé ðîä (Le féminin)
ìíîãî (beaucoup) Äëÿ îáåèõ ðîäîâ
un (îäèí)
mon ìîé ton òâîé son åãî
ma ìîÿ ta òâîÿ sa åå
mes ìîè tes òâîè ses èõ
beaucoup (ìíîãî)
notre íàø votre âàø leur èõ
notre íàøà votre âàøà leur èõ
nos íàøè vos âàøè leurs èõ
Ïðèòÿæàòåëüíûå ïðèëàãàòåëüíûå ñîãëàñóþòñÿ â ëèöå è ÷èñëå ñ ñóùåñòâèòåëüíûì, êîòîðûé îáîçíà÷àåò îáëàäàòåëÿ (âëàäåëüöà), à òàêæå â ðîäå è ÷èñëå ñ ñóùåñòâèòåëüíûì, êîòîðîå îáîçíà÷àåò ïðåäìåò, êîòîðûì âëàäåþò. Je lis mon livre (mes livres). Tu lis ton livre (tes livres). Il lit son livre (ses livres). Nous lisons notre livre (nos livres). Vous lisez votre livre (vos livres). Ils lisent leur livre (leurs livres).
ß ÷èòàþ ñâîþ êíèãó (ñâîè êíèãè). Òû ÷èòàåøü ñâîþ êíèãó (ñâîè êíèãè). Îí ÷èòàåò ñâîþ êíèãó (ñâîè êíèãè). Ìû ÷èòàåì ñâîþ (íàøó) êíèãó (íàøè êíèãè). Âû ÷èòàåòå ñâîþ (âàøó) êíèãó (âàøè êíèãè). Îíè ÷èòàþò ñâîþ (èõ) êíèãó (ñâîè êíèãè).
Ïåðåä ñóùåñòâèòåëüíûì æåíñêîãî ðîäà, êîòîðûå íà÷èíàþòñÿ ñ ãëàñíîãî èëè h muet (íåìîãî), óïîòðåáëÿþòñÿ ôîðìû mon, ton, son: ìîÿ ìûñëü; òâîé ðàññêàç; åãî ãîñòèíèöà.
mon idée ton histoire son hôtel
Ïðèëàãàòåëüíîå quel (L’adjectif quel) Ïðèëàãàòåëüíîå quel èìååò òàêèå ôîðìû: Ðîä (Le genre)
Åäèíñòâåííîå ÷èñëî (Le singulier)
Ìíîæåñòâåííîå ÷èñëî (Le pluriel)
Ìóæñêîé (Le masculin)
quel
êàêîé; êîòîðûé;
quels
Æåíñêèé (Le féminin)
quelle
êàêèå; êîòîðûå;
quelles
Ïðèëàãàòåëüíîå quel ìîæåò èìåòü âîïðîñèòåëüíîå, îòíîñèòåëüíîå è âîñêëèöàòåëüíîå çíà÷åíèÿ: Quel livre lisez-vous? Quelle heure est-il? Dites-moi quel livre vous lisez? Quel beau livre vous lisez!
Êàêóþ êíèãó âû ÷èòàåòå? Êîòîðûé ÷àñ? Ñêàæèòå ìíå, êàêóþ êíèãó âû ÷èòàåòå. Êàêóþ ïðåêðàñíóþ êíèãó âû ÷èòàåòå!
Íåîïðåäåëåííûå ïðèëàãàòåëüíûå (Les adjectifs indéfinis) Íåîïðåäåëåííûå ïðèëàãàòåëüíûå óêàçûâàþò íà íåòî÷íîå çíà÷åíèå êà÷åñòâà èëè êîëè÷åñòâà ïðåäìåòîâ. Áîëüøèíñòâî èç íèõ ñòàâèòñÿ ïåðåä ñóùåñòâèòåëüíûìè, êîòîðûå ìîãóò óïîòðåáëÿòüñÿ áåç àðòèêëÿ èëè ñ îïðåäåëåííûì èëè íåîïðåäåëåííûì àðòèêëÿìè. Òàáëèöà chaque êàæäûé; êàæäàÿ quelque; -s íåêîòîðûé; íåêîòîðûå; êàêîé-íèáóäü; íåñêîëüêî
Chaque homme doit travailler. Êàæäûé äîëæåí ðàáîòàòü. Donnez-moi quelque livre. Äàéòå ìíå êàêóþ-íèáóäü êíèãó. Il m’a apporté quelques journaux. Îí ìíå ïðèíåñ íåñêîëüêî ãàçåò.
!
Îêîí÷àíèå òàáëèöû certain; -s íåêèé; íåêîòîðûé; Ce livre a une certain valeur. íåêèå; íåêîòîðûå Ýòà êíèãà èìååò íåêîòîðóþ öåííîñòü. certaine; -s íåêàÿ; íåêîòîðàÿ; íåêèå; íåêîòîðûå même; -s îäèíàêîâûé; Nous avons les mêmes livres. îäèíàêîâûå; ñàì; ñàìè Ó íàñ îäèíàêîâûå êíèãè. Le directeur même ne peut pas nous répondre. Ñàì äèðåêòîð íå ìîæåò íàì îòâåòèòü. plusieurs íåñêîëüêî; ìíîãèå
Il connait plusieurs langues. Îí çíàåò íåñêîëüêî ÿçûêîâ.
quelconque êàêîé-íèáóäü; êàêîé áû òî íè áûëî
Donnez-moi un livre quelconque. Äàéòå ìíå êàêóþ-íèáóäü êíèãó.
tel; -s òàêîé; òàêîé æå; òàêèå; òàêèå æå
Prenez tel sujet qui vous plaira. Âîçüìèòå òàêóþ òåìó, êîòîðàÿ âàì ïîíðàâèòñÿ.
telle; -s òàêàÿ; òàêàÿ æå autre; -s äðóãîé; èíîé; äðóãèå; èíûå
Une autre fois. L’autre jour.
 äðóãîé ðàç. Íà äíÿõ.
aucun; -s íèêàêîé; íèêàêèå
Il a écouté, aucun bruit. Îí ïðèñëóøàëñÿ íèêàêîãî øóìà.
nul; -s íè îäèí; íèêàêîé; íè îäíè; íèêàêèå ñäåëàòü.
Nul homme ne pourra le faire. Íè îäèí ÷åëîâåê íå ñìîæåò ýòîãî
nulle; -s íè îäíà; íèêàêàÿ íè îäíè; íèêàêèå tout âñÿêèé; êàæäûé
Tout homme doit travailler. Êàæäûé äîëæåí ðàáîòàòü.
toute âñÿêèå; êàæäàÿ
Toute étudiante de norte groupe doit venir à temps. Êàæäàÿ ñòóäåíòêà íàøåé ãðóïïû äîëæíà ïðèéòè âîâðåìÿ.
toutes âñÿêèå; êàæäûå (æ. ð.) Toutes les fammes de notre Maison sont très jolies. Âñå æåíùèíû íàøåé ôèðìû î÷åíü êðàñèâûå. tous âñå; âñÿêèå; êàæäûå
"
Tous les pays du monde. Âñå ñòðàíû ìèðà.
ÈÌß ×ÈÑËÈÒÅËÜÍÎÅ (LE NOM DE NOMBRE ou L’ADJECTIF NUMÉRAL) Ïî çíà÷åíèþ è õàðàêòåðó óïîòðåáëåíèÿ ÷èñëèòåëüíûå äåëÿòñÿ íà äâå ãðóïïû: êîëè÷åñòâåííûå è ïîðÿäêîâûå. Êîëè÷åñòâåííûå ÷èñëèòåëüíûå îáîçíà÷àþò àáñòðàêòíîå ÷èñëî èëè êîëè÷åñòâî ïðåäìåòîâ: un îäèí; trente òðèäöàòü;
deux cent
äâà; ñòî;
deux livres trente hommes mille francs million dollars
äâå êíèãè; òðèäöàòü ÷åëîâåê; òûñÿ÷à ôðàíêîâ; ìèëëèîí äîëëàðîâ.
Ïîðÿäêîâûå ÷èñëèòåëüíûå óêàçûâàþò íà ïîðÿäîê ïðåäìåòîâ ïðè ñ÷åòå: le premier venu la deuxième publication Les Vingt-quatrième Jeux Olympiques
ïåðâûé âñòðå÷íûé; âòîðàÿ ïóáëèêàöèÿ; Äâàäöàòü ÷åòâåðòûå Îëèìïèéñêèå èãðû.
Êîëè÷åñòâåííûå ÷èñëèòåëüíûå (Les noms de nombre cardinaux ou adjectifs cardinaux) 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14
un deux trois quatre cinq six sept huit neuf dix onze douze treize quatorze
15 16 17 18 19 20 21 22 23 30 40 50 60 70
quinze seize dix-sept dix-huit dix-neuf vingt vingt-et-un vingt-deux vingt-trois, etc. trente quarante cinquante soixante soixante-dix #
71 72 73 74 75 76 77 78 79 80 81 82 83
soixante-onze soixante-douze soixante-treize soixante-quatorze soixante-quinze soixante-seize soixante-dix-sept soixante-dix-huit soixante-dix-neuf quatre-vingts quatre-vingts-un quatre-vingts-deux quatre-vingts-trois
84 85 86 87 88 89 90 91 92 93 100 1000 1000000
quatre-vingts-quatre quatre-vingts-cinq quatre-vingts-six quatre-vingts-sept quatre-vingts-huit quatre-vingts-neuf quatre-vingts-dix quatre-vingts-onze quatre-vingts-douze quatre-vingts-treize, etc. cent mille million
Ïîðÿäêîâûå ÷èñëèòåëüíûå (Les noms de nombre ordinaux ou adjectifs ordinaux) Ïîðÿäêîâûå ÷èñëèòåëüíûå îáðàçóþòñÿ ïðèáàâëåíèåì îêîí÷àíèÿ ième ê ñîîòâåòñòâóþùåìó êîëè÷åñòâåííîìó ÷èñëèòåëüíîìó, çà èñêëþ÷åíèåì ñëîâà premier, première ïåðâûé, ïåðâàÿ. Ôîðìà unième ïåðâûé óïîòðåáëÿåòñÿ òîëüêî â ñî÷åòàíèè ñ äðóãèì ÷èñëèòåëüíûì, íàïðèìåð: vingt et unième äâàäöàòü ïåðâûé. 1 — premier, première 2 — deuxième 3 — troisième 4 — quatrième 5 — cinquième
6 7 8 9 10
— sixième — septième — huitième — neuvième (f ïåðåõîäèò â v) — dixième
 ÷èñëèòåëüíûõ quatrième ÷åòâåðòûé áóêâà -å âûïàäàåò.  ÷èñëèòåëüíîì cinquième ïÿòûé ìåæäó êîðíåì è ñóôôèêñîì ïðèáàâëÿåòñÿ áóêâà -i.  ÷èñëèòåëüíûõ sixième øåñòîé è dixième äåñÿòûé áóêâà -x ïðîèçíîñèòñÿ êàê [z].  äàòàõ óïîòðåáëÿþòñÿ êîëè÷åñòâåííûå ÷èñëèòåëüíûå le premier août ïåðâîå àâãóñòà; le deux septembre âòîðîå ñåòíÿáðÿ.
$
ÌÅÑÒÎÈÌÅÍÈÅ (LE PRONOM) Ëè÷íûå áåçóäàðíûå ìåñòîèìåíèÿ (Les pronoms personnels atones) Òàáëèöà 1 (Tableau 1) Åäèíñòâåííîå ÷èñëî (Le singulier) 1-å ëèöî (1re personne)
je ÿ
2-å ëèöî (2e personne)
tu òû
3 ëèöî (3e personne) Ìóæñêîé Æåíñêèé ðîä ðîä (Le (Le masculin) féminin)
il îí
elle îíà
Ìíîæåñòâåííîå ÷èñëî (Le pluriel) 1-å ëèöî (1re personne)
2-å ëèöî (2e personne)
nous ìû
vous âû
3 ëèöî (3e personne) Ìóæñêîé Æåíñêèé ðîä ðîä (Le (Le masculin) féminin)
ils îíè
elles îíè
Âûøåóïîìÿíóòûå ìåñòîèìåíèÿ â ïðåäëîæåíèè ÿâëÿþòñÿ ïîäëåæàùèìè: Je parle. ß ãîâîðþ. Nous chantons. Ìû ïîåì. Vous dansez. Âû òàíöóåòå.
Òàáëèöà 2 (Tableau 2) Åäèíñòâåííîå ÷èñëî (Le singulier)
Ìíîæåñòâåííîå ÷èñëî (Le pluriel)
1-å 2-å 3-å ëèöî 1-å 2-å 3-å ëèöî ëèöî ëèöî (3e personne) ëèöî ëèöî (3e personne) (1re (2e Ìóæñêîé Æåíñêèé (1re (2e Ìóæñêîé Æåíñêèé ðîä ðîä ðîä ðîä personne) personne) personne) personne) (Le (Le (Le (Le masculin) féminin) masculin) féminin)
me ìíå
te òåáå
ìåíÿ
òåáÿ
lui åìó le åãî
lui åé la åå
nous íàì
vous âàì
íàñ
âàñ
leur èì les èõ
leur èì les èõ
Âûøåóïîìÿíóòûå ìåñòîèìåíèÿ â ïðåäëîæåíèè ÿâëÿþòñÿ ïðÿìûìè è êîñâåííûìè äîïîëíåíèÿìè: Elle te regarde Vous leur expliquez la règle
Îíà íà òåáÿ ñìîòðèò Âû èì îáúÿñíÿåòå ïðàâèëî.
%
Óïîòðåáëåíèå ëè÷íûõ áåçóäàðíûõ ìåñòîèìåíèé è èõ ìåñòî â ïðåäëîæåíèè 1. Ëè÷íûå ìåñòîèìåíèÿ, ïðèâåäåííûå â îáåèõ òàáëèöàõ, íàçûâàþòñÿ áåçóäàðíûìè; îíè óïîòðåáëÿþòñÿ ëèøü ñ ãëàãîëîì: Il me regarde Je le vois Je lui donne un livre
Îí íà ìåíÿ ñìîòðèò ß åãî âèæó ß äàþ åìó êíèãó.
2. Ìåñòîèìåíèÿ, äàííûå â òàáëèöå 1, óïîòðåáëÿþòñÿ êàê ïîäëåæàùèå è ñòîÿò ïåðåä ãëàãîëîì â óòâåðäèòåëüíîé è îòðèöàòåëüíîé ôîðìå è ïîñëå ãëàãîëà â âîïðîñèòåëüíîé ôîðìå. Ìåñòîèìåíèÿ â ðîëè ïîäëåæàùåãî (Les pronoms comme le sujet) Óòâåðäèòåëüíàÿ ôîðìà ( La forme affirmative)
Âîïðîñèòåëüíàÿ ôîðìà (La form interrogative)
Tu demandes. Òû ñïðàøèâàåøü. Il parle. Îí ãîâîðèò. Vous chantez. Âû ïîåòå.
Demandes-tu? Òû ñïðàøèâàåøü? Parle-t-il? Îí ãîâîðèò? Chantez-vous? Âû ïîåòå?
3. Ìåñòîèìåíèÿ, óêàçàííûå â òàáëèöå 2, ñëóæàò ïðÿìûìè è êîñâåííûìè äîïîëíåíèÿìè è ñòîÿò âñåãäà ïåðåä ãëàãîëîì, çà èñêëþ÷åíèåì óòâåðäèòåëüíîé ôîðìû ïîâåëèòåëüíîãî íàêëîíåíèÿ limpératif, êîãäà îíè ñòàâÿòñÿ ïîñëå ãëàãîëà, ïðè÷åì ìåñòîèìåíèÿ me, te çàìåíÿþòñÿ â ýòîì ñëó÷àå ìåñòîèìåíèÿìè moi, toi. Ìåñòîèìåíèÿ â ðîëè äîïîëíåíèÿ (Les pronoms comme le complément) Óòâåðäèòåëüíàÿ ôîðìà (Le forme affirmative) Je te donne un livre. ß òåáå äàþ êíèãó. Tu me regardes. Òû íà ìåíÿ ñìîòðèøü. Tu te lèves tôt. Òû ðàíî âñòàåøü. &
Âîïðîñèòåëüíàÿ ôîðìà (Le form interrogative) Me donnes-tu un livre? Äàåøü ëè òû ìíå êíèãó? Me regardes-tu? Òû íà ìåíÿ ñìîòðèøü? Te leves-tu tôt? Âñòàåøü ëè òû ðàíî?
Ìåñòîèìåíèÿ, óïîòðåáëÿåìûå ñ ïîâåëèòåëüíûì íàêëîíåíèåì (Les pronoms avec l’impératif)) Ïîâåëèòåëüíîå íàêëîíåíèå (limpératif) Óòâåðäèòåëüíàÿ ôîðìà (Le forme affirmative) Donnez-moi ce livre. Äàéòå ìíå ýòó êíèãó. Regardez-moi. Ïîñìîòðèòå íà ìåíÿ. Donnez lui ce livre. Äàéòå åìó (åé) ýòó êíèãó.
Îòðèöàòåëüíàÿ ôîðìà (Le forme négative) Ne me donnez pas ce livre. Íå äàâàéòå ìíå ýòó êíèãó. Ne me regardez pas. Íå ñìîòðèòå íà ìåíÿ. Ne lui donnez pas ce livre. Íå äàâàéòå åìó (åé) ýòó êíèãó.
4. Ìåñòîèìåíèå le èíîãäà çàìåíÿåò öåëîå ïðåäëîæåíèå â ñìûñëå cela ýòî: Savez-vous que je suis malade? Je le sais (Je sais que vous êtes malade)
Çíàåòå ëè âû, ÷òî ÿ áîëåí? ß ýòî çíàþ (ß çíàþ, ÷òî âû áîëüíû).
5. Ñëåäóåò îòìåòèòü ñëåäóþùèå ñëó÷àè óïîòðåáëåíèÿ ëè÷íûõ áåçóäàðíûõ ìåñòîèìåíèé: me voilà te voilà le voilà la voilà
âîò ÿ; âîò òû; âîò îí; âîò îíà;
nous voilà âîò ìû; vous voilà âîò âû; les voilà âîò îíè.
Ëè÷íûå óäàðíûå ìåñòîèìåíèÿ (Les pronoms personnels toniques) Åäèíñòâåííîå ÷èñëî (Le singulier) 2-å 3 ëèöî ëèöî (3e personne) (2e per- Ìóæñêîé Æåíñêèé ðîä ðîä sonne) (Le (Le masculin) féminin)
1-å ëèöî (1re personne)
moi ÿ
toi òû
lui îí
elle îíà
Ìíîæåñòâåííîå ÷èñëî (Le pluriel) 1-å 2-å 3 ëèöî ëèöî ëèöî (3e personne) (2e per- Ìóæñêîé Æåíñêèé (1re perðîä ðîä sonne) sonne) (Le (Le masculin) féminin)
nous ìû
vous âû
eux îíè
elles îíè
'
Óïîòðåáëåíèå ëè÷íûõ óäàðíûõ ìåñòîèìåíèé Ëè÷íûå óäàðíûå ìåñòîèìåíèÿ óïîòðåáëÿþòñÿ: 1) áåç ãëàãîëà, ñàìîñòîÿòåëüíî
Êòî çâîíèë? ß
Qui a sonné? — Moi
2) â ïðåäëîæåíèè ñ äâóìÿ ïîäëåæàùèìè, åñëè îäíî èç íèõ èëè îáà ÿâëÿþòñÿ ëè÷íûìè ìåñòîèìåíèÿìè Toi et moi, nous partons demain Ma femme et moi, nous partons demain
Òû è ÿ óåçæàåì çàâòðà Ìû, ìîÿ æåíà è ÿ, åäåì çàâòðà
3) â ïðåäëîæåíèè ñ äâóìÿ äîïîëíåíèÿìè, åñëè îäíî èç íèõ èëè îáà ÿâëÿþòñÿ ëè÷íûìè ìåñòîèìåíèÿìè ß âàñ âèæó òåáÿ è åãî
Je vous vois, toi et lui
4) åñëè íà ëè÷íîå ìåñòîèìåíèå ïàäàåò ëîãè÷åñêîå óäàðåíèå Moi, je travaille, toi, tu ne fais rien.
ß ðàáîòàþ, à òû íè÷åãî íå äåëàåøü.
5) â êîíñòðóêöèè cest c’est moi c’est toi c’est lui c’est elle
ýòî ÿ; ýòî òû; ýòî îí; ýòî îíà;
6) ïîñëå ïðåäëîãîâ Nous parlons de lui
c’est nous c’est vous c’est sont eux c’est sont elles
Ìû ãîâîðèì î íåì
7) â âûðàæåíèÿõ moi-même toi-même lui-même elle-même
ÿ ñàì; òû ñàì; îí ñàì; îíà ñàìà;
ýòî ìû; ýòî âû; ýòî îíè (ì. ð.); ýòî îíè (æ. ð.);
nous-mêmes vous-mêmes eux-mêmes elles-mêmes
ìû ñàìè; âû ñàìè; îíè ñàìè (ì. ð.); îíè ñàìè (æ. ð.).
Ìåñòîèìåíèå en 1. Ñëîâî en óïîòðåáëÿåòñÿ êàê ìåñòîèìåíèå, çàìåíÿÿ ëè÷íûå ìåñòîèìåíèÿ ñ ïðåäëîãîì de (de lui; d’elle; d’eux; d’elles): a) êîãäà ãîâîðèòñÿ î íåîäóøåâëåííûõ ïðåäìåòàõ, ýòà çàìåíà îáÿçàòåëüíà: Cette affaire est très importante, je m’en occupe depuis longtemps Ýòî äåëî î÷åíü âàæíîå, ÿ èì çàíèìàþñü óæå äàâíî
á) êîãäà ãîâîðèòñÿ î ëèöàõ, ìîæíî óïîòðåáëÿòü ëè÷íûå ìåñòîèìåíèÿ ñ ïðåäëîãîì de (de lui; d’elle; d’eux; d’elles) èëè çàìåíÿòü èõ ìåñòîèìåíèåì en:
Cet artiste chante très bien, on parle beaucoup de lui dans notre ville Cet artiste chante très bien, on en parle beaucoup dans notre ville
Ýòîò àðòèñò ïîåò î÷åíü õîðîøî, î íåì ìíîãî ãîâîðÿò â íàøåì ãîðîäå.
2. En ÷àñòî çàìåíÿåò èìÿ ñóùåñòâèòåëüíîå ñ ÷àñòè÷íûì àðòèêëåì: Avez-vous de la petite monnai? Oui, j’en ai
Ó âàñ åñòü ìåëî÷ü? Äà, åñòü.
3. En óïîòðåáëÿåòñÿ äëÿ çàìåíû èìåíè ñóùåñòâèòåëüíîãî, êîòîðîìó ïðåäøåñòâóåò íàðå÷èå êîëè÷åñòâåííîå èëè èìÿ ÷èñëèòåëüíîå êîëè÷åñòâåííîå: Combien d’étudiants y a-t-il dans votre groupe? Il y en a quatre
Ñêîëüêî ñòóäåíòîâ â âàøåé ãðóïïå?
J’ai trois frères et vous en avez deux
Ó ìåíÿ òðè áðàòà, à ó âàñ äâà.
Èõ ÷åòâåðî
4. En ìîæåò çàìåíÿòü öåëîå ïðåäëîæåíèå: Je n’ai pas de nouvelles de mon ami, j’en suis désolé
Ó ìåíÿ íåò âåñòåé î ìîåì äðóãå, ÿ ýòèì î÷åíü îãîð÷åí.
Ìåñòîèìåíèå y 1. Ñëîâî y óïîòðåáëÿåòñÿ êàê ìåñòîèìåíèå, äëÿ çàìåíû ëè÷íûõ ìåñòîèìåíèé ñ ïðåäëîãîì à (à lui; à elle; à eux; à elles): a) êîãäà ãîâîðèòñÿ î íåîäóøåâëåííûõ ïðåäìåòàõ, è ýòà çàìåíà îáÿçàòåëüíà: Pensez-vous à cette affaire? Qui, j’y pense souvent
Äóìàåòå ëè âû îá ýòîì äåëå? Äà, ÿ î íåì äóìàþ ÷àñòî.
á) êîãäà ãîâîðèòñÿ î ëèöàõ, è óïîòðåáëÿþòñÿ ïðåäïî÷òèòåëüíî ëè÷íûå ìåñòîèìåíèÿ ñ ïðåäëîãîì à (à lui; à elle; à eux; à elles): Pensez-vous à vos amis qui sont partis? Qui, j’y pense souvent
Äóìàåòå ëè âû î ñâîèõ äðóçüÿõ, êîòîðûå óåõàëè? Äà, ÿ î íèõ ÷àñòî äóìàþ.
2. Ïîäîáíî en, ìåñòîèìåíèå y ìîæåò çàìåíÿòü öåëîå ïðåäëîæåíèå: Voulez-vous partir avec moi demain? Õîòèòå óåõàòü ñî ìíîé çàâòðà? Bien, j’y consens Õîðîøî, ÿ íà ýòî ñîãëàñåí.
Îòíîñèòåëüíûå ìåñòîèìåíèÿ (Les pronoms relatifs) Îòíîñèòåëüíûå ìåñòîèìåíèÿ âî ôðàíöóçñêîì ÿçûêå, êàê è â ðóññêîì, ñëóæàò äëÿ ñâÿçè ïðèäàòî÷íûõ ïðåäëîæåíèé ñ ãëàâíûì. Îòíîñèòåëüíîå ìåñòîèìåíèÿ qui êîòîðûé; êîòîðàÿ; êîòîðûå â ðîëè ïîäëåæàùåãî îäèíàêîâî îòíîñèòñÿ ê ëèöàì è íåîäóøåâëåííûì ïðåäìåòàì, à òàêæå ê îáîèì ðîäàì è ÷èñëàì. L’homme qui est ici est mon ami.
×åëîâåê, êîòîðûé çäåñü íàõîäèòñÿ, ìîé äðóã.
La femme qui est ici est ma soeur.
Æåíùèíà, êîòîðàÿ çäåñü íàõîäèòñÿ, ìîÿ ñåñòðà.
Les étudiants qui sont ici sont mes amis.
Ñòóäåíòû, êîòîðûå çäåñü íàõîäÿòñÿ, ìîè äðóçüÿ.
Le livre qui est sur la table est à moi.
Êíèãà, êîòîðàÿ (ëåæèò) íà ñòîëå, ìîÿ.
Les livres qui sont sur la table sont à moi.
Êíèãè, êîòîðûå (ëåæàò) íà ñòîëå, ìîè.
Îòíîñèòåëüíîå ìåñòîèìåíèå que êîòîðûé; ÷òî â ðîëè ïðÿìîãî äîïîëíåíèÿ îòíîñèòñÿ ê ëèöàì è íåîäóøåâëåííûì ïðåäìåòàì îáîèõ ðîäîâ è ÷èñåë. L’étudiant que je cherche est parti hier.
Ñòóäåíò, êîòîðîãî ÿ èùó, â÷åðà óåõàë.
Le livre que je cherche est cher.
Êíèãà, êîòîðóþ ÿ èùó, äîðîãàÿ.
Les étudiatns que je cherche sont partis hiers.
Ñòóäåíòû, êîòîðûõ ÿ èùó, â÷åðà óåõàëè.
Les timbres que je cherche sont chers.
Ìàðêè, êîòîðûå ÿ èùó, äîðîãèå.
Âîïðîñèòåëüíûå ìåñòîèìåíèÿ (Les pronoms interrogatifs) Åñëè âîïðîñèòåëüíîå ìåñòîèìåíèå qui êîòîðûé; êîòîðàÿ; êîòîðûå óïîòðåáëÿåòñÿ ñ ïðåäëîãîì, îíî ìîæåò áûòü â ïðåäëîæåíèè ïîäëåæàùèì, ïðÿìûì èëè êîñâåííûì äîïîëíåíèåì è òîãäà îíî îòíîñèòñÿ òîëüêî ê ëèöàì. Âìåñòî qui â êà÷åñòâå ïîäëåæàùåãî óïîòðåáëÿåòñÿ òàêæå qui est-ce qui: Qui frappe à la porte?
Êòî ñòó÷èò â äâåðü?
De qui parlez-vous? À qui parlez-vous? Qui voyez-vous? Qui a fait cela? Qui est-ce qui a fait cela?
Î êîì âû ãîâîðèòå? Ñ êåì âû ãîâîðèòå? Êîãî âû âèäèòå? Êòî ýòî ñäåëàë? Êòî ýòî ñäåëàë?
Åñëè ãîâîðèòñÿ î íåîäóøåâëåííûõ ïðåäìåòàõ, ñëîâîñî÷åòàíèå quest-ce qui ÷òî ñëóæèò ïîäëåæàùèì è èíûì ñïîñîáîì âûðàæåíî áûòü íå ìîæåò. Qu’est-ce qui se passe dans la rue?
×òî ïðîèñõîäèò íà óëèöå?
Ðóññêîå ìåñòîèìåíèå ÷òî, óïîòðåáëåííîå â ðîëè äîïîëíåíèÿ, ìîæåò áûòü ïåðåâåäåíî íà ôðàíöóçñêèé ÿçûê äâóìÿ ôîðìàìè que è qu’est-ce que: Que voyez-vous dans la rue? Qu’est-ce que vous voyez dans la rue?
×òî âû âèäèòå íà óëèöå?
Ìåñòîèìåíèå quoi? ÷òî? óïîòðåáëÿåòñÿ òîëüêî ñ ïðåäëîãàìè è ñëóæèò êîñâåííûì äîïîëíåíèåì. De quoi parlez-vous? À quoi pensez-vous?
Î ÷åì âû ãîâîðèòå? Î ÷åì âû äóìàåòå?
 íà÷àëå ïðåäëîæåíèÿ è áåç ïðåäëîãà ìåñòîèìåíèå quoi ÷òî óïîòðåáëÿåòñÿ â êà÷åñòâå âîñêëèöàíèÿ è ïåðåâîäèòñÿ íà ðóññêèé ÿçûê ìåæäîìåòèåì êàê! Quoi! Vous partez déjà?
Êàê!? Âû óæå óåçæàåòå?
!
ÃËÀÃÎË (LE VERBE) Ãëàãîë ýòî ñàìîñòîÿòåëüíàÿ ÷àñòü ðå÷è, êîòîðàÿ îáîçíà÷àåò äåéñòâèå (marcher õîäèòü; travailler ðàáîòàòü; faire äåëàòü), ñîñòîÿíèå (dormir ñïàòü; souffrir ñòðàäàòü; être áûòü; exister ñóùåñòâîâàòü), îùóùåíèå (estimer ïîëàãàòü; aimer ëþáèòü). Ïî ãðàììàòè÷åñêèì ïðèçíàêàì, çíà÷åíèÿì è óïîòðåáëåíèþ ãëàãîëû ðàçäåëÿþòñÿ íà ãðóïïû. 1. Ïåðåõîäíûå ãëàãîëû les verbes transitifs, êîòîðûå îçíà÷àþò äåéñòâèå, ïåðåõîäÿùåå íà äðóãîé ïðåäìåò. Ýòè ãëàãîëû óïîòðåáëÿþòñÿ ñ ïðÿìûì èëè êîñâåííûì äîïîëíåíèåì. Il écrit une lettre à son ami. Il aime sa mère.
Îí ïèøåò ïèñüìî (ñâîåé) ìàòåðè. Îí ëþáèò (ñâîþ) ìàòü.
2. Íåïåðåõîäíûå ãëàãîëû les verbes intransitifs, êîòîðûå îçíà÷àþò ñîñòîÿíèå èëè äåéñòâèå, êîòîðîå íå ïåðåõîäèò íà äðóãîé ïðåäìåò. Il part demain. Il sort de la maison. Elle marche vite. Tu viens à temps.
Çàâòðà îí óåçæàåò. Îí óõîäèò èç äîìó. Îí èäåò áûñòðî. Òû ïðèõîäèøü âîâðåìÿ.
3. Âñïîìîãàòåëüíûå ãëàãîëû les verbes auxiliaires avoir èìåòü è être áûòü, ñ ïîìîùüþ êîòîðûõ îáðàçóþòñÿ ñëîæíûå ôîðìû ãëàãîëà. Âõîäÿ â ñîñòàâ ñëîæíûõ âðåìåí, avoir è être òåðÿþò ñâîå ñàìîñòîÿòåëüíîå çíà÷åíèå è ñòàíîâÿòñÿ ïîêàçàòåëÿìè âðåìåíè, ëèöà è ÷èñëà. Il a lu ce livre. Nous sommes partis.
Îí ïðî÷èòàë ýòó êíèãó. Ìû óåõàëè.
4. Ïîëóâñïîìîãàòåëüíûå ãëàãîëû les verbes semi-auxiliaires aller õîäèòü è venir ïðèõîäèòü, êîòîðûå óïîòðåáëÿþòñÿ ñ èíôèíèòèâîì äðóãîãî ãëàãîëà è óêàçûâàþò íà âðåìÿ âûïîëíåíèÿ äåéñòâèÿ. Il va partir. Elle vient de rentrer.
"
Îí óåçæàåò (ñîáèðàåòñÿ óåõàòü). Îíà âîçâðàùàåòñÿ (ñîáèðàåòñÿ âåðíóòüñÿ) äîìîé.
Òèïû ñïðÿæåíèÿ ãëàãîëîâ Ïî òèïàì ñïðÿæåíèÿ ôðàíöóçñêèå ãëàãîëû ðàçäåëÿþòñÿ íà òðè ãðóïïû: Ê ïåðâîé ãðóïïå îòíîñÿòñÿ ãëàãîëû, êîòîðûå â èíôèíèòèâå îêàí÷èâàþòñÿ íà -er (êðîìå ãëàãîëà aller õîäèòü): chanter nous chantons vous chantez
ïåòü ìû ïîåì; âû ïîåòå.
Êî âòîðîé ãðóïïå îòíîñÿòñÿ ãëàãîëû, êîòîðûå â èíôèíèòèâå îêàí÷èâàþòñÿ íà -ir âî ìíîæåñòâåííîì ÷èñëå íàñòîÿùåãî âðåìåíè è èìåþò ñóôôèêñ -iss: finir îêàí÷èâàòü nous finissons ìû îêàí÷èâàåì; vous finissez âû îêàí÷èâàåòå.
Ê òðåòüåé ãðóïïå îòíîñÿòñÿ: a) ãëàãîëû, êîòîðûå â èíôèíèòèâå îêàí÷èâàþòñÿ íà -ir è âî ìíîæåñòâåííîì ÷èñëå íå èìåþò ñóôôèêñà -iss: sortir nous sortons vous sortez
âûõîäèòü (âûåçæàòü) ìû âûõîäèì (âûåçæàåì); âû âûõîäèòå (âûåçæàåòå).
á) ãëàãîëû, êîòîðûå â èíôèíèòèâå îêàí÷èâàþòñÿ íà -re, -oir: rendre îòäàâàòü nous rendons ìû îòäàåì; vous rendez âû îòäàåòå;
devoir áûòü äîëæíûì nous devons ìû äîëæíû; vous devez âû äîëæíû.
ÍÀÊËÎÍÅÍÈß È ÂÐÅÌÅÍÀ (LES MODES ET LES TEMPS) Íàêëîíåíèå le mode ýòî ãðàììàòè÷åñêàÿ êàòåãîðèÿ ãëàãîëà, êîòîðàÿ âûðàæàåò îòíîøåíèå ñîäåðæàíèÿ âûñêàçûâàíèÿ ê äåéñòâèòåëüíîñòè. Âûñêàçûâàåìîå äåéñòâèå ìîæåò áûòü ðåàëüíûì, æåëàåìûì, âîçìîæíûì, íåðåàëüíûì è ò. ä. Âî ôðàíöóçñêîì ÿçûêå èìååòñÿ ÷åòûðå íàêëîíåíèÿ: èçúÿâèòåëüíîå le mode indicatif, ïîâåëèòåëüíîå le mode impératif, óñëîâíîå le mode conditionnel è ñîñëàãàòåëüíîå le mode subjonctif. Ôðàíöóçñêèå ãëàãîëû èìåþò òàêæå òðè áåçëè÷íûõ ôîðìû: íåîïðåäåëåííóþ ôîðìó l’infinitif, ïðè÷àñòèå le participe è ãåðóíäèé le gérondif. #
Äëÿ âûðàæåíèÿ äåéñòâèÿ, êîòîðîå ïðîèñõîäèò â íàñòîÿùåì, ïðîøåäøåì è áóäóùåì âðåìåíè âî ôðàíöóçñêîì ÿçûêå èñïîëüçóþòñÿ ïðîñòûå è ñëîæíûå âðåìåííûå ôîðìû ãëàãîëà les temps simples et les temps composés. Ñëîæíûå âðåìåííûå ôîðìû îáðàçóþòñÿ ñ ïîìîùüþ âñïîìîãàòåëüíîãî ãëàãîëà avoir èìåòü èëè être áûòü â ïðîñòîì âðåìåíè è ïðè÷àñòèÿ ïðîøåäøåãî âðåìåíè le participe passé ñïðÿãàåìîãî ãëàãîëà. Õàðàêòåðíîé îñîáåííîñòüþ âðåìåííûõ ôîðì ôðàíöóçñêîãî ãëàãîëà ÿâëÿåòñÿ òî, ÷òî îíè âûðàæàþò íå òîëüêî âðåìÿ äåéñòâèÿ (íàñòîÿùåå, ïðîøåäøåå èëè áóäóùåå), íî è óêàçûâàþò îòíîøåíèå ýòîãî äåéñòâèÿ ê äðóãèì äåéñòâèÿì, ò. å. âûðàæàþò îäíîâðåìåííîñòü äåéñòâèé, ïðåäøåñòâîâàíèå èëè òî, ÷òî äåéñòâèå áóäåò ïðîèñõîäèòü â áóäóùåì â ïëàíå íàñòîÿùåãî, ïðîøåäøåãî èëè áóäóùåãî. Òàáëèöà Íàêëîíåíèÿ (Les modes) Èçúÿâèòåëüíîå íàêëîíåíèå (L’indicatif)
Âðåìåíà (Les temps) Ïðîñòûå (Simples) Ñëîæíûå (Composés) Íàñòîÿùåå âðåìÿ Ïðîøåäøåå ñëîæíîå (Le présent) (Le passé composé) Ïðîøåäøåå íåñîâåðøåííîå Äàâíîïðîøåäøåå âðåìÿ (L’imparfait) (Le plus-que-parfait) Ïðîøåäøèå ïðîñòîå Ïðîøåäøåå ïðåäøåñòâóþùåå (Les passé simple) (Le passé antérieur) Áóäóùåå ïðîñòîå Áóäóùåå ïðåäøåñòóþùåå â (Le futur simple) ïðîøåäøåì (Le futur antérieur dans le passé) Íàñòîÿùåå (Le présent) Ïðîøåäøåå (Le passé) Ïðîøåäøåå íåñîâåðøåííîå Äàâíîïðîøåäøåå âðåìÿ (L’imparfait) (Le plus-que-parfait) Íàñòîÿùåå (Le présent) Ïðîøåäøåå (Le passé)
Ñîñëàãàòåëüíîå íàêëîíåíèå (Le subjonctif) Óñëîâíîå íàêëîíåíèå (Le conditionnel) Ïîâåëèòåëüíîå Íàñòîÿùåå (Le présent) íàêëîíåíèå (L’impératif)
$
Ïðîøåäøåå (Le passé)
ÈÇÚßÂÈÒÅËÜÍÎÅ ÍÀÊËÎÍÅÍÈÅ (LE MODE INDICATIF) Èçúÿâèòåëüíîå íàêëîíåíèå âûðàæàåò ðåàëüíîå äåéñòâèå, êîòîðîå ïðîèñõîäèò â íàñòîÿùåì, ïðîøåäøåì èëè áóäóùåì âðåìåíè.
Âðåìåíà â èçúÿâèòåëüíîì íàêëîíåíèè Íàñòîÿùåå âðåìÿ (Le présent) Ãëàãîëû ïåðâîé ãðóïïû â íàñòîÿùåì âðåìåíè le présent èìåþò îêîí÷àíèÿ: -e, -es, -e; -ons, -ez; -ent: je parle tu parles il (elle) parle
parler ãîâîðèòü ÿ ãîâîðþ; nous parlons òû ãîâîðèøü; vous parlez îí (îíà) ãîâîðèò; ils parlent
ìû ãîâîðèì; âû ãîâîðèòå; îíè ãîâîðÿò.
Ãëàãîëû òèïà lever ïîäíèìàòü; mener âîäèòü; peser âåñèòü ìåíÿþò âûïàäàþùóþ áóêâó -e íà îòêðûòóþ -è ïåðåä ñëîãîì, èìåþùèì íåìóþ áóêâó -e: lever ïîäíèìàòü je lève ÿ ïîäíèìàþ; nous levons ìû ïîäíèìàåì; tu lèves òû ïîäíèìàåøü; vous levez âû ïîäíèìàåòå; il (elle) lève îí (îíà) ïîäíèìàåò; ils (elles) lèvent îíè ïîäíèìàþò.
Ãëàãîëû íà -oyer, -uyer, -ayer èçìåíÿþò y íà i ïåðåä íåìîé áóêâîé -e: nettoyer ÷èñòèòü je nettoies ÿ ÷èùó; nous nettoyons ìû ÷èñòèì; tu nettoies òû ÷èñòèøü; vous nettoyez âû ÷èñòèòå; il (elle) nettoie îí (îíà) ÷èñòèò; ils (elles) netoient îíè ÷èñòÿò.
Ãëàãîëû íà -eler, -eter óäâàèâàþò ñîãëàñíóþ áóêâó ïåðåä íåìîé áóêâîé -e, à âìåñòî âûïàäàþùåé áóêâû -e ïðîèçíîñèòñÿ çâóê [ε]: appeler çâàòü j’appelle ÿ çîâó; nous appelons ìû çîâåì; tu appelles òû çîâåøü; vous appelez âû çîâåòå; il (elle) appelle îí (îíà) çîâåò; ils (elles) appellent îíè çîâóò; je jette tu jettes il (elles) jette
jeter áðîñàòü ÿ áðîñàþ; nous jetons òû áðîñàåøü; vous jetez îí (îíà) áðîñàåò; ils (elles) jettent
ìû áðîñàåì; âû áðîñàåòå; îíè áðîñàþò. %
Ó ãëàãîëîâ íà -cer ïåðåä áóêâîé -o ñòàâèòñÿ áóêâà -ç: commancer je commence tu commences il (elle) commence
íà÷èíàòü ÿ íà÷èíàþ; òû íà÷èíàåøü; îíè(îíà) íà÷èíàåò;
nous commançons vous commancez ils (elles) commancent
ìû íà÷èíàåì; âû íà÷èíàåòå; îíè íà÷èíàþò.
Ãëàãîëû âòîðîé ãðóïïû îêîí÷èâàþòñÿ íà: -s, -s, -t; -ons, -ez, -ent: je finis tu finis il (elle) finit
finir êîí÷àòü ÿ êîí÷àþ; nous finissons òû êîí÷àåøü; vous finissez îí (îíà) êîí÷àåò; ils (elles) finissent
ìû êîí÷àåì; âû êîí÷àåòå; îíè êîí÷àþò.
Áîëüøèíñòâî ãëàãîëîâ òðåòüåé ãðóïïû èìåþò îêîí÷àíèÿ: -s, -s, -t; -ons, -ez, -ent: partir óåçæàòü je pars ÿ óåçæàþ; nous partons tu pars òû óåçæàåøü; vous partez il (elle) part îí (îíà) óåçæàåò; ils (elles) partent
ìû óåçæàåì; âû óåçæàåòå; îíè óåçæàþò;
je lis tu lis il (elle) lit
lire ÷èòàòü ÿ ÷èòàþ; nous lisons òû ÷èòàåøü; vous lisez îí(îíà) ÷èòàåò; ils (elles) lisent
je mets tu mets il (elle) met
mettre ñòàâèòü ÿ ñòàâëþ; nous mettons ìû ñòàâèì; òû ñòàâèøü; vous mettez âû ñòàâèòå; îí (îíà) ñòàâèò; ils (elles) mettent îíè ñòàâÿò.
ìû ÷èòàåì; âû ÷èòàåòå; îíè ÷èòàþò;
Ó íåêîòîðûõ ãëàãîëîâ òðåòüåé ãðóïïû îñîáûå ôîðìû îêàí÷àíèé:
&
j’ai tu as il (elle) a
avoir èìåòü ÿ èìåþ; nous avons òû èìååøü; vous avez îí (îíà) èìååò; ils (elles) ont
je suis tu es il (elle) est
être áûòü ÿ åñòü; òû åñòü; îí (îíà) åñòü;
ìû èìååì; âû èìååòå; îíè èìåþò;
nous sommes ìû åñòü; vous êtes âû åñòü; ils (elles) sont îíè åñòü.
je vais tu vas il (elle) va
aller õîäèòü; èäòè ÿ õîæó; nous allons ìû õîäèì; òû õîäèøü; vous allez âû õîäèòå; îí (îíà) õîäèò; ils (elles) vont îíè õîäÿò;
je peux tu peux il (elle) peut
pouvoir ìî÷ü ÿ ìîãó; nous pouvons ìû ìîæåì; òû ìîæåøü; vous pouvez âû ìîæåòå; îí (îíà) ìîæåò; ils (elles) peuvent îíè ìîãóò;
je veux tu veux il (elle) veut
vouloir õîòåòü ÿ õî÷ó; nous voulons ìû õîòèì; òû õî÷åøü; vous voulez âû õîòèòå; îí (îíà) õî÷åò; ils (elles) veulent îíè õîòÿò;
je fais tu fais il (elle) fait
faire äåëàòü ÿ äåëàþ; nous faisons òû äåëàåøü; vous faites îí (îíà) äåëàåò; ils (elles) font
ìû äåëàåì; âû äåëàåòå; îíè äåëàþò;
je dis tu dis il (elle) dit
dire ãîâîðèòü; ñêàçàòü ÿ ãîâîðþ; nous disons òû ãîâîðèøü; vous disez îí (îíà) ãîâîðèò; ils (elles) disent
ìû ãîâîðèì; âû ãîâîðèòå; îíè ãîâîðÿò;
je vends tu vends il (elle) vend
vendre ïðîäàâàòü ÿ ïðîäàþ; nous vendons ìû ïðîäàåì; òû ïðîäàåøü; vous vendez âû ïðîäàåòå; îíè ïðîäàþò; ils (elles) vendent îíè ïðîäàþò;
vaincre ïîáåæäàòü je vaincs ÿ ïîáåæäàþ; nous vainquons ìû ïîáåæäàåì; tu vaincs òû ïîáåæäàåøü; vous vainquez âû ïîáåæäàåòå; il (elle) vainc îí (îíà) ïîáåæäàåò; ils (elles) vainquentîíè ïîáåæäàþò.
Íàñòîÿùåå âðåìÿ óïîòðåáëÿåòñÿ äëÿ îáîçíà÷åíèÿ: 1) äåéñòâèÿ, êîòîðîå ïðîèñõîäèò â ìîìåíò ðàçãîâîðà: Pierre fait son devoir Ils vont au cinéma
Ïüåð ãîòîâèò ñâîå çàäàíèå Îíè èäóò â êèíî
2) ÿâëåíèé ïîñòîÿííîãî õàðàêòåðà La Terre tourne autour du Soleil La neige est blanche
3) äåéñòâèÿ áóäóùåãî Nous partons après demain
Çåìëÿ âðàùàåòñÿ âîêðóã Ñîëíöà Ñíåã áåëûé Ïîñëåçàâòðà ìû óåçæàåì. '
ÏÐÎØÅÄØÈÅ ÂÐÅÌÅÍÀ Ïðîøåäøåå ñëîæíîå âðåìÿ (Le passé composé) Ïðîøåäøåå ñëîæíîå âðåìÿ le passé composé îáðàçóåòñÿ ñ ïîìîùüþ âñïîìîãàòåëüíîãî ãëàãîëà avoir èìåòü èëè être áûòü â íàñòîÿùåì âðåìåíè le présent è ïðè÷àñòèÿ ïðîøåäøåãî âðåìåíè le participe passé ñïðÿãàåìîãî ãëàãîëà. lire ÷èòàòü j’ai lu ÿ ïðî÷èòàë; nous avons lu ìû ïðî÷èòàëè; tu a lu òû ïðî÷èòàë; vous avez lu âû ïðî÷èòàëè; il (elle) a lu îí (îíà) ïðî÷èòàë (à); (elles) ils ont lu îíè ïðî÷èòàëè.
Ñ ãëàãîëîì être ñïðÿãàþòñÿ íåïåðåõîäíûå ãëàãîëû: aller entrer sortir venir arriver partir
èäòè; âõîäèòü; âûõîäèòü; ïðèõîäèòü; ïðèáûâàòü; îòïðàâëÿòüñÿ;
rester monter descendre naître mourir tomber
îñòàâàòüñÿ; ïîäíèìàòüñÿ; ñïóñêàòüñÿ; ðîäèòüñÿ; óìèðàòü; ïàäàòü.
Ñ ãëàãîëîì être ñïðÿãàþòñÿ òàêæå âîçâðàòíûå ãëàãîëû: se laver óìûâàòüñÿ; s’habiller îäåâàòüñÿ; se peigner ïðè÷åñûâàòüñÿ è äð. Ïðè÷àñòèå ïðîøåäøåãî âðåìåíè le participe passé ãëàãîëà, êîòîðûé ñïðÿãàåòñÿ ñ être, ñîãëàñóåòñÿ ñ ïîäëåæàùèì â ðîäå è ÷èñëå: venir ïðèõîäèòü, ïðèåçæàòü je suis venu (e) ÿ ïðèåõàë (à); tu est venu (e) òû ïðèåõàë (à); il est venu îí ïðèåõàë; elle est venue îíà ïðèåõàëà; nous sommes venus (es) vous êtes venus (es) ils sont venus elles sont venues se laver je me suis lavé (e) tu t’est lavé (e) il s’est lavé elle s’est lavée
ìû ïðèåõàëè; âû ïðèåõàëè; îíè ïðèåõàëè (ì. ð.); îíè ïðèåõàëè (æ. ð.);
óìûâàòüñÿ ÿ óìûëñÿ (óìûëàñü); òû óìûëñÿ (óìûëàñü); îí óìûëñÿ; îíà óìûëàñü;
nous nous sommes lavés (es) vous vous êtes lavés (es) ils se sont lavés elles se sont lavées
ìû óìûëèñü; âû óìûëèñü; îíè óìûëèñü (ì. ð.); îíè óìûëèñü (æ. ð.).
Ïðîøåäøåå ñëîæíîå âðåìÿ óïîòðåáëÿåòñÿ äëÿ îáîçíà÷åíèÿ: 1) ïðîøåäøåãî äåéñòâèÿ, îãðàíè÷åííîãî âî âðåìåíè: Il a déjà passé ses examens Elle est partie hier
Îí óæå ñäàë ýêçàìåíû Îíà â÷åðà óåõàëà
2) ïðîøåäøåãî äåéñòâèÿ, êîòîðîå ïðîèñõîäèëî äî äåéñòâèÿ, âûðàæåííîãî ãëàãîëîì â íàñòîÿùåì âðåìåíè: Nous savons qu’il a passé ses examens. Nous savons qu’elle est partie hier.
Ìû çíàåì, ÷òî îí ñäàë ýêçàìåíû. Ìû çíàåì, ÷òî â÷åðà îí óåõàë.
Ïðîøåäøåå ñëîæíîå âðåìÿ óïîòðåáëÿåòñÿ â ðàçãîâîðíîì ÿçûêå, â ïåðåïèñêå, ãàçåòíûõ ñîîáùåíèÿõ, íàó÷íûõ òðóäàõ.
Ïðîøåäøåå íåñîâåðøåííîå âðåìÿ (L’imparfait) Ïðîøåäøåå íåñîâåðåøåííîå âðåìÿ l’imparfait îáðàçóåòñÿ îò îñíîâû 1-ãî ëèöà ìíîæåñòâåííîãî ÷èñëà ãëàãîëà â èçúÿâèòåëüíîì íàêëîíåíèè íàñòîÿùåãî âðåìåíè l’indicatif présent è îêîí÷àíèé -ais, ais, -ait; -ions, -iez, -aient äëÿ ãëàãîëîâ âñåõ ãðóïï: chanter ïåòü [(nous) chant (ons)] je chantais ÿ ïåë; nous chantions ìû ïåëè; tu chantais òû ïåë (à); vous chantiez âû ïåëè; il (elle) chantait îí (îíà) ïåë (à); ils (elles) chantaient îíè ïåëè. finir êîí÷àòü [(nous) finiss (ons)] je finissais ÿ êîí÷àë; nous finissions ìû êîí÷àëè; tu finissais òû êîí÷àë (à); vous finissiez âû êîí÷àëè; il (elle) finissait îí (îíà) êîí÷àë (à); ils (elles) finissaient îíè êîí÷àëè. venir ïðèõîäèòü; ïðèåçæàòü [(nous) ven (ons)] je venais ÿ ïðèõîäèë; nous venions ìû ïðèõîäèëè; tu venais òû ïðèõîäèë (à); vous veniez âû ïðèõîäèëè; il (elle) venait îí (îíà) ïðèõîäèë (à); ils (elles) venaient îíè ïðèõîäèëè.
Ïðîøåäøåå íåñîâåðøåííîå âðåìÿ óïîòðåáëÿåòñÿ äëÿ îáîçíà÷åíèÿ: 1) ïðîøåäøåãî äåéñòâèÿ, íåîãðàíè÷åííîãî âî âðåìåíè: Il habitait alors Kiev Chaque jour il se levait tôt
Il faisait froid. Le ciel était gris
Òîãäà îí æèë â Êèåâå (äåéñòâèå ïðîäîëæåííîå) Êàæäûé äåíü îí ðàíî âñòàâàë (äåéñòâèå îáû÷íîå, ïîâòîðÿþùååñÿ èçî äíÿ â äåíü) Ñòîÿë õîëîä. Íåáî áûëî ñåðûì (îïèñàíèå)
2) äåéñòâèÿ, îäíîâðåìåííîãî ñ äðóãèì äåéñòâèåì â ïðîøëîì: Je savais qu’il apprenait le français Il a dit qu’il voulait me parler Je lisais pendant que mon ami écrivait
ß çíàë, ÷òî îí èçó÷àåò ôðàíöóçñêèé ÿçûê Îí ñêàçàë, ÷òî îí õî÷åò ïîãîâîðèòü ñî ìíîé ß ÷èòàë, â òî âðåìÿ êàê ìîé äðóã ïèñàë.
Äàâíîïðîøåäøåå âðåìÿ (Le plus-que-parfait) Äàâíîïðîøåäøåå âðåìÿ le plus-que-parfait îáðàçóåòñÿ ñ ïîìîùüþ âñïîìîãàòåëüíîãî ãëàãîëà avoir èëè être â ïðîøåäøåì íåñîâåðøåííîì âðåìåíè limparfait è ïðè÷àñòèÿ ïðîøåäøåãî âðåìåíè le participe passé ñïðÿãàåìîãî ãëàãîëà: j’avais lu tu avais lu il avait lu elle avait lu nous avions lu vous aviez lu ils avaient lu elles avaient lu
lire ÷èòàòü ÿ ïðî÷èòàë (à); òû ïðî÷èòàë (à); îí ïðî÷èòàë; îíà ïðî÷èòàëà; ìû ïðî÷èòàëè; âû ïðî÷èòàëè; îíè ïðî÷èòàëè (ì. ð.); îíè ïðî÷èòàëè (æ. ð.).
j’étais venu (e) tu étais venu (e) il était venu elle était venu
venir ïðèõîäèòü ÿ ïðèøåë (ïðèøëà); òû ïðèøåë (ïðèøëà); îí ïðèøåë; îíà ïðèøëà;
nous étions venus (es) vous étiez venus (es) ils étaient venus elles étaient venues
ìû ïðèøëè; âû ïðèøëè; îíè ïðèøëè (ì. ð.); îíè ïðèøëè (æ. ð.).
se laver je m’étais lavé (e) tu t’étais lavé (e) il s’était lavé elle s’était lavée
óìûâàòüñÿ ÿ óìûëñÿ (óìûëàñü); òû óìûëñÿ (óìûëàñü); îí óìûëñÿ; îíà óìûëàñü;
nous nous étions lavés (es) vous vous étiez lavés (es) ils s’etaient lavés elle s’etaient lavées
ìû óìûëèñü (ì. ð.); âû óìûëèñü; îíè óìûëèñü (ì. ð.); îíè óìûëèñü (æ. ð.).
Äàâíîïðîøåäøåå âðåìÿ óïîòðåáëÿåòñÿ äëÿ îáîçíà÷åíèÿ äåéñòâèÿ, êîòîðîå ïðîèñõîäèëî äî äðóãîãî äåéñòâèÿ â ïðîøëîì: Il m’a dit qu’il avait déjà lu ce livre Elle lisait le livre qu’elle avait acheté hier
Îí ìíå ñêàçàë, ÷òî óæå ïðî÷èòàë ýòó êíèãó Îíà ÷èòàëà êíèãó, êîòîðóþ êóïèëè â÷åðà.
Ïðîøåäøåå ïðîñòîå âðåìÿ (Le passé simple) Ãëàãîëû ïåðâîé ãðóïïû è ãëàãîë òðåòüåé ãðóïïû aller èìåþò â ïðîøåäøåì ïðîñòîì âðåìåíè ñëåäóþùèå îêîí÷àíèÿ: -ai, -as, -a; -âmes, -âtes, -èrent: je parlai tu parlas il (elle) parla
parler ãîâîðèòü ÿ ãîâîðèë; nous parlâmes ìû ãîâîðèëè; òû ãîâîðèë; vous parlâtes âû ãîâîðèëè; îí (îíà) ãîâîðèë (à); ils (elles) parlèrent îíè ãîâîðèëè;
j’allai tu allas il (elle) alla
aller õîäèòü ÿ õîäèë; nous allâmes ìû õîäèëè; òû õîäèë; vous allâtes âû õîäèëè; îí (îíà) õîäèë (à); ils (elles) allèrent îíè õîäèëè.
Ãëàãîëû âòîðîé ãðóïïû è áîëüøèíñòâî ãëàãîëîâ òðåòüåé ãðóïïû îêîí÷èâàþòñÿ íà -is, -is, -it; -îmes, -îtes, -irent: je finis tu finis il (elle) finit
finir êîí÷àòü ÿ êîí÷èë; nous finîmes ìû êîí÷èëè; òû êîí÷èë (à); vous finîtes âû êîí÷èëè; îí (îíà) êîí÷èë (à); ils (elles) finirent îíè êîí÷èëè. !
partir óåçæàòü je partis ÿ óåõàë; nous partîmes ìû óåõàëè; tu partis òû óåõàë (à); vous partîtes âû óåõàëè; il (elle) partit îí (îíà) óåõàë (à); ils (elles) partirent îíè óåõàëè; rendre âîçâðàòèòü je rendis ÿ âîçâðàòèë; nous rendîmes ìû âîçâðàòèëè; tu rendis òû âîçâðàòèë; vous rendîtes âû âîçâðàòèëè; il (elle) rendit îí (îíà) âîçâðàòèë (à); ils (elles) rendirent îíè âîçâðàòèëè.
Çíà÷èòåëüíàÿ ÷àñòü ãëàãîëîâ òðåòüåé ãðóïïû îêîí÷èâàåòñÿ íà -us, -us, -ut; -ûmes, -ûtes, -urent: lire ïðî÷èòàòü je lus ÿ ïðî÷èòàë (à); tu lus òû ïðî÷èòàë (à); il (elle) lut îí (îíà) ïðî÷èòàë (à);
nous lûmes vous lûtes ils (elles) lurent
ìû ïðî÷èòàëè; âû ïðî÷èòàëè; îíè ïðî÷èòàëè;
connaitre óçíàòü; ïîíÿòü je connus ÿ óçíàë (à); tu connus òû óçíàë (à); il (elle) connut îí (îíà) óçíàë (à);
nous connûmes ìû óçíàëè; vous connûtes âû óçíàëè; ils (elles) connurent îíè óçíàëè;
vouloir çàõîòåòü je voulus ÿ çàõîòåë (à); nous voulûmes ìû çàõîòåëè; tu voulus òû çàõîòåë (à); vous voulûtes âû çàõîòåëè; il (elle) voulut îí (îíà) çàõîòåë (à); ils (elles) voulurent îíè çàõîòåëè.
Ïðîøåäøåå ïðîñòîå âðåìÿ óïîòðåáëÿåòñÿ äëÿ âûðàæåíèÿ äåéñòâèÿ â ïðîøëîì, îãðàíè÷åííîãî âî âðåìåíè è íå èìåþùåãî íèêàêîé ñâÿçè ñ íàñòîÿùèì. Åãî åùå íàçûâàþò èñòîðè÷åñêèì ïðîøåäøèì âðåìåíåì (âñå èñòîðè÷åñêèå ñîáûòèÿ îïèñûâàþòñÿ â ýòîì âðåìåíè), êîòîðîå íà ðóññêèé ÿçûê îáû÷íî ïåðåâîäèòñÿ ïðîøåäøèì âðåìåíåì ñîâåðøåííîãî âèäà. Il attendit une heure et partit.
Îí ïîäîæäàë ÷àñ è óøåë.
Ïðîøåäøåå ïðîñòîå âðåìÿ íå óïîòðåáëÿåòñÿ â ðàçãîâîðíîì ÿçûêå, îäíàêî äîñòàòî÷íî øèðîêî áûòóåò â ïðåññå, ëèòåðàòóðíûõ ïðîèçâåäåíèÿõ.
"
Ïðîøåäøåå ïðåäøåñòâóþùåå âðåìÿ (Le passé antérieur) Ïðîøåäøåå ïðåäøåñòâóþùåå âðåìÿ le passé antérieur îáðàçóåòñÿ ñ ó÷àñòèåì âñïîìîãàòåëüíîãî ãëàãîëà avoir èëè être â ïðîøåäøåì ïðîñòîì âðåìåíè le passé simple è ïðè÷àñòèÿ ïðîøåäøåãî âðåìåíè le participe passé ñïðÿãàåìîãî ãëàãîëà: lire ïðî÷èòàòü (ñïðÿãàåòñÿ ñ ãëàãîëîì avoir) j’eus lu ÿ ïðî÷èòàë (à); tu eus lu òû ïðî÷èòàë (à); il eut lu îí ïðî÷èòàë; elle eut lu îíà ïðî÷èòàëà; nous eûmes lu vous eûtes lu ils eurent lu elles eurent lu
ìû ïðî÷èòàëè; âû ïðî÷èòàëè; îíè ïðî÷èòàëè (ì. ð.); îíè ïðî÷èòàëè (æ. ð.);
partir óåõàòü (ñïðÿãàåòñÿ ñ ãëàãîãîì être) je fus parti (e) ÿ óåõàë (à); tu fus parti (e) òû óåõàë (à); il fut parti îí óåõàë; elle fut partie îíà óõàëà; nous fûmes partis (es) vous fûtes partis (es) ils furent partis elles furent parties
ìû óåõàëè; âû óåõàëè; îíè óåõàëè (ì. ð.); îíè óåõàëè (æ. ð.);
se laver óìûòüñÿ (ñïðÿãàåòñÿ ñ ãëàãîãîì être) je me fus lavé (e) ÿ óìûëñÿ (óìûëàñü); tu te fus lavé (e) òû óìûëñÿ (óìûëàñü); il se fut lavé îí óìûëñÿ; elle se fut lavée îíà óìûëàñü; nous nous fûmes lavés (es) vous vous fûtes lavés (es) ils se furent lavés elle se furent lavées
ìû óìûëèñü; âû óìûëèñü; îíè óìûëèñü (ì. ð.); îíè óìûëèñü (æ. ð.).
Ïðîøåäøåå ïðåäøåñòóþùåå âðåìÿ óïîòðåáëÿåòñÿ äëÿ îáîçíà÷åíèÿ ïðîøëîãî äåéñòâèÿ, êîòîðîå èìåëî ìåñòî äî äðóãîãî äåéñòâèÿ â ïðîøëîì, âûðàæåííîãî ôîðìîé ïðîøåäøåãî ïðîñòîãî âðåìåíè le passé simple: Dès qu’il eut finit son travail, il partit. Îí óøåë, êàê òîëüêî çàêîí÷èë ðàáîòó. #
ÁÓÄÓÙÈÅ ÂÐÅÌÅÍÀ Áóäóùåå ïðîñòîå âðåìÿ (Le futur simple) Áóäóùåå ïðîñòîå âðåìÿ le futur simple îáðàçóåòñÿ ïóòåì ïðèáàâëåíèÿ ê èíôèíèòèâó ñïðÿãàåìîãî ãëàãîëà îêîí÷àíèé -ai, -as, -a; -ons, -ez, -ont: parler
ãîâîðèòü
je parlerai tu parleras il (elle) parlera
ÿ áóäó ãîâîðèòü; òû áóäåøü ãîâîðèòü; îí (îíà) áóäåò ãîâîðèòü;
nous parleront vous parlerez ils (elles) parleront
ìû áóäåì ãîâîðèòü; âû áóäåòå ãîâîðèòü; îíè áóäóò ãîâîðèòü; choisir âûáèðàòü
je choisirai tu choisiras il (elle) choisira nous choisirons vous choisirez ils (elles) choisiront attendre
ÿ âûáåðó; òû âûáåðåøü; îí (îíà) âûáåðåò; ìû âûáåðåì; âû âûáåðåòå; îíè âûáåðóò$ æäàòü
j’attendrai tu attendras il (elle) attendra
ÿ áóäó æäàòü; òû áóäåøü æäàòü; îí (îíà) áóäåò æäàòü;
nous attendrons vous attendrez ils (elles) attendront
ìû áóäåì æäàòü; âû áóäåòå æäàòü; îíè áóäóò æäàòü.
Ðÿä ãëàãîëîâ òðåòüåé ãðóïïû ñïðÿãàåòñÿ îñîáî: avoir èìåòü j’aurai ÿ áóäó èìåòü; nous aurons ìû áóäåì èìåòü; tu auras òû áóäåøü èìåòü; vous aurez âû áóäåòå èìåòü; il (elle) aura îí (îíà) áóäåò èìåòü; ils (elles) auront îíè áóäóò èìåòü; je serai ÿ áóäó; tu seras òû áóäåøü; il (elle) sera îí áóäåò; $
être áûòü nous serez ìû áóäåì; vous serez âû áóäåòå; ils (elles) seront îíè áóäóò;
j’irai tu iras il (elle) ira
aller èäòè; åõàòü ÿ ïîéäó; nous irons òû ïîéäåøü; vous irez îí (îíà) ïîéäåò; ils (elles) iront
ìû ïîéäåì; âû ïîéäåòå; îíè ïîéäóò;
venir ïðèéòè; ïðèåõàòü je viendrai ÿ ïðèäó; nous viendrons ìû ïðèäåì; tu viendras òû ïðèäåøü; vous viendrez âû ïðèäåòå; il (elle) viendra îí (îíà) ïðèéäåò; ils (elles) viendront îíè ïðèäóò; pouvoir ìî÷ü je pourrai ÿ ñìîãó; nous pourrons ìû ñìîæåì; tu pourras òû ñìîæåøü; vous pourrez âû ñìîæåòå; il (elle) pourra îí (îíà) ñìîæåò; ils (elles) pourront îíè ñìîãóò; vouloir õîòåòü je voudrai ÿ õîòåë áû; nous voudrons ìû õîòåëè áû; tu voudras òû õîòåë áû; vous voudrez âû õîòåëè áû; il (elle) voudraîí (îíà) õîòåë (à) áû; ils (elles) voudront îíè õîòåëè áû; savoir çíàòü je saurai ÿ áóäó çíàòü; nous saurons ìû áóäåì çíàòü; tu sauras òû áóäåøü çíàòü; vous saurez âû áóäåòå çíàòü; il (elle) saura îí (îíà) áóäåò çíàòü; ils (elles) saurontîíè áóäóò çíàòü.
Áóäóùåå ïðîñòîå âðåìÿ óïîòðåáëÿåòñÿ äëÿ îáîçíà÷åíèÿ äåéñòâèÿ â áóäóùåì ïî îòíîøåíèþ ê ìîìåíòó ðàçãîâîðà â íàñòîÿùåì âðåìåíè. Il viendra vous voir demain.
Çàâòðà îí ïðèéäåò ñ âàìè ïîâèäàòüñÿ.
Áóäóùåå ïðîñòîå âðåìÿ ìîæåò âûðàæàòü ïðèêàçàíèå, òðåáîâàíèå: Demain tu m’apporteras mon livre.
Çàâòðà òû ìíå ïðèíåñåøü ìîþ êíèãó.
Áóäóùåå ïðåäøåñòâóþùåå âðåìÿ (Le futur antérieur) Áóäóùåå ïðåäøåñòâóþùåå âðåìÿ le futur antérieur îáðàçóåòñÿ ñ ó÷àñòèåì âñïîìîãàòåëüíîãî ãëàãîëà avoir èëè être â áóäóùåì ïðîñòîì âðåìåíè le futur simple è ïðè÷àñòèÿ ïðîøåäøåãî âðåìåíè le participe passé ñïðÿãàåìîãî ãëàãîëà. lire ïðî÷èòàòü (ñïðÿãàåòñÿ ñ ãëàãîãîì avoir) j’aurai lu ÿ ïðî÷èòàþ; tu auras lu òû ïðî÷èòàåøü; il (elle) aura lu îí (îíà) ïðî÷èòàåò; nous aurons lu ìû ïðî÷èòàåì; %
âû ïðî÷èòàåòå; îíè ïðî÷èòàþò (ì. ð.); îíè ïðî÷èòàþò (æ. ð.);
vous aurez lu ils auront lu elles auront lu partir
óåçæàòü (ñïðÿãàåòñÿ ñ ãëàãîãîì être)
je serai parti (e) tu seras parti (e) il sera parti elle sera partie
ÿ óåäó; òû óåäåøü; îí óåäåò; îíà óåäåò;
nous serons partis (es) vous serez partis (es) ils seront partis elles seront parties
ìû óåäåì; âû óåäåòå; îíè óåäóò (ì. ð.); îíè óåäóò (æ. ð.).
se laver
óìûòüñÿ (ñïðÿãàåòñÿ ñ ãëàãîãîì être)
je me serai lavé (e) tu te seras lavé (e) il se sera lavé elle se sera lavée
ÿ óìîþñü; òû óìîåøüñÿ; îí óìîåòñÿ; îíà óìîåòñÿ;
nous nous serons lavés (es) vous vous serez lavés (es) ils se seront lavés elles se seront lavées
ìû óìîåìñÿ; âû óìîåòåñü; îíè óìîþòñÿ (ì. ð.); îíè óìîþòñÿ (æ. ð.).
Áóäóùåå ïðåäøåñòâóþùåå âðåìÿ óïîòðåáëÿåòñÿ äëÿ îáîçíà÷åíèÿ áóäóùåãî, êîòîðîå ñîâåðøèòñÿ ðàíüøå äðóãîãî áóäóùåãî äåéñòâèÿ: Quand j’aurai lu ce livre, je vous le rendrai Il viendra vous voir, quand il aura fini son travail
Êîãäà ÿ ïðî÷èòàþ ýòó êíèãó, ÿ åå âàì âåðíó Îí ïðèäåò ê âàì, êîãäà (ïîñëå òîãî, êàê) çàêîí÷èò ñâîþ ðàáîòó.
Áóäóùåå â ïðîøåäøåì âðåìÿ (Le futur dans le passé) Áóäóùåå â ïðîøåäøåì âðåìÿ le futur dans le passé îáðàçóåòñÿ ïóòåì ïðèáàâëåíèÿ ê ôîðìå èíôèíèòèâà ñïðÿãàåìîãî ãëàãîëà îêîí÷àíèé -ais, -ais, -ait; -ions, -iez, -aient: parler je parlerais tu parlerais il (elle) parlerait &
ãîâîðèòü ÿ áóäó ãîâîðèòü; òû áóäåøü ãîâîðèòü; îí (îíà) áóäåò ãîâîðèòü;
nous parlerions vous parleriez ils (elles) parleraient
ìû áóäåì ãîâîðèòü; âû áóäåòå ãîâîðèòü; îíè áóäóò ãîâîðèòü.
choisir âûáèðàòü je choisirais ÿ âûáåðó; tu choisirais òû âûáåðåøü; il (elle) choisirait îí (îíà) âûáåðåò; nous choisirions vous choisiriez ils (elles) choisiraient attendre j’attendrais tu attendrais il (elle) attendrait nous attendrions vous attendriez ils (elles) attendraient
ìû âûáåðåì; âû âûáåðåòå; îíè âûáåðóò; æäàòü ÿ áóäó æäàòü; òû áóäåøü æäàòü; îí (îíà) áóäåò æäàòü; ìû áóäåì æäàòü; âû áóäåòå æäàòü; îíè áóäóò æäàòü.
Ðÿä ãëàãîëîâ òðåòüåé ãðóïïû èìåþò â áóäóùåì ïðîøåäøåì âðåìåíè le futur dans le passé òàêóþ æå ñàìóþ îñíîâó, êàê â áóäóùåì ïðîñòîì le futur simple: avoir èìåòü j’aurais ÿ áóäó èìåòü; nous aurions ìû áóäåì èìåòü; je serais ÿ áóäó;
être áûòü nous serions
ìû áóäåì;
j’irais ÿ ïîéäó;
aller èäòè; åõàòü nous irions
ìû ïîéäåì;
je pourrais ÿ ñìîãó;
pouvoir ìî÷ü nous pourrions ìû ñìîæåì;
vouloir je voudrais ÿ õîòåë áû;
çàõîòåòü nous voudrions ìû õîòåëè áû;
savoir çíàòü je saurais ÿ áóäó çíàòü; nous saurions je viendrais ÿ ïðèéäó;
ìû áóäåì çíàòü;
venir ïðèõîäèòü; ïðèåçæàòü nous viendrions ìû ïðèéäåì; '
je ferais ÿ ñäåëàþ;
faire äåëàòü nous ferions ìû ñäåëàåì;
devoir je devrais ÿ áóäó äîëæåí;
áûòü äîëæíûì nous devrions ìû áóäåì äîëæíû.
Áóäóùåå â ïðîøåäøåì âðåìÿ óïîòðåáëÿåòñÿ äëÿ âûðàæåíèÿ äåéñòâèÿ â áóäóùåì îòíîñèòåëüíî äåéñòâèÿ â ïðîøëîì. Il m’a dit qu’il viendrait nu voir.
Îí ñêàçàë, ÷òî ïðèäåò êî ìíå.
Áóäóùåå ïðåäøåñòâóþùåå â ïðîøåäøåì âðåìÿ (Le futur antérieur dans le passé) Áóäóùåå ïðåäøåñòâóþùåå â ïðîøåäøåì âðåìÿ le futur antérieur dans le passé îáðàçóåòñÿ ñ ó÷àñòèåì âñïîìîãàòåëüíîãî ãëàãîëà avoir èëè être â áóäóùåì â ïðîøåäøåì âðåìåíè le futur dans le passé è ïðè÷àñòèÿ ïðîøåäøåãî âðåìåíè le participe passé ñïðÿãàåìîãî ãëàãîëà: j’aurais lu tu aurais lu il (elle) aurait lu
lire ïðî÷èòàòü ÿ ïðî÷èòàþ; òû ïðî÷èòàåøü; îí (îíà) ïðî÷èòàåò;
ìû ïðî÷èòàåì; âû ïðî÷èòàåòå; îíè ïðî÷èòàþò (ì. ð.); îíè ïðî÷èòàþò (æ. ð.);
nous aurions lu vous auriez lu ils auraient lu elles auraient lu partir je serais parti (e) tu serais parti (e) il (elle) serait parti nous serions partis (e) vous seriez partis (es) ils seraient partis elles seraient parties
óåçæàòü ÿ óåäó; òû óåäåøü; îí (îíà) óåäåò; ìû óåäåì; âû óåäåòå; îíè óåäóò (ì. ð.); îíè óåäóò (æ. ð.).
Áóäóùåå ïðåäøåñòâóþùåå â ïðîøåäøåì âðåìÿ óïîòðåáëÿåòñÿ äëÿ îáîçíà÷åíèÿ áóäóùåãî äåéñòâèÿ, êîòîðîå ïðîèñõîäèò ïåðåä äðóãèì äåéñòâèåì â áóäóùåì (â ïëàíå ïðîøåäøåãî) è òîëüêî â ïðèäàòî÷íûõ ïðåäëîæåíèÿõ. Il m’a dit qu’il viendrait me voir quand il aurai fini son travail. !
Îí ìíå ñêàçàë, ÷òî ïðèäåò êî ìíå, êîãäà (ïîñëå òîãî êàê) çàêîí÷èò ñâîþ ðàáîòó.
ÑÎÃËÀÑÎÂÀÍÈÅ ÂÐÅÌÅÍ (LA CONCORDANCE DES TEMPS) Âî ôðàíöóçñêîì ÿçûêå, â îòëè÷èå îò óêðàèíñêîãî èëè ðóññêîãî ÿçûêîâ, âûáîð âðåìåííîé ôîðìû â ïðèäàòî÷íîì ïðåäëîæåíèè çàâèñèò îò âðåìåííîé ôîðìû ãëàâíîãî ïðåäëîæåíèÿ. Òàêàÿ çàâèñèìîñòü íàçûâàåòñÿ ñîãëàñîâàíèåì âðåìåí (ñì. òàáë. íèæå). Òàáëèöà ñîãëàñîâàíèÿ âðåìåí (La concordance des temps) Ãëàâíîå ïðåäëîæåíèå Ïëàí íàñòîÿùåãî Présent
Ïðèäàòî÷íîå ïðåäëîæåíèå 1) présent (îäíîâðåìåííîñòü äåéñòâèÿ) 2) passé composé (äåéñòâèå ïðîèñõîäèò â ïðîøëîì) 3) futur simple (äåéñòâèå ïðîèñõîäèò â áóäóùåì)
Je sais ß çíàþ,
1) qu’il part ÷òî îí óåçæàåò; 2) qu’il est parti ÷òî îí óåõàë; 3) qu’il partira ÷òî îí óåäåò.
Ïëàí ïðîøåäøåãî Imparfait Passé composé Passé simple
1) imparfait (îäíîâðåìåííîñòü äåéñòâèÿ) 2) plus-que-parfait (äåéñòâèå ïðîèñõîäèò äî äðóãîãî äåéñòâèÿ) 3) futur dans le passé (äåéñòâèå áóäåò ïðîèñõîäèòü)
Je savais
1) qu’il partait ÷òî îí óåçæàåò; 2) qu’il était parti ÷òî îí óåõàë; 3) qu’il partirait ÷òî îí óåäåò.
ß çíàë,
ÁËÈÆÀÉØÈÅ ÂÐÅÌÅÍÀ (LES TEMPS IMMÉDIATS) Áëèæàéøèå âðåìåíà les temps immédiats ýòî êîíñòðóêöèè, â êîòîðûõ åñòü ïîëóâñïîìîãàòåëüíûå ãëàãîëû aller èäòè; åõàòü è venir ïðèéòè; ïðèåõàòü è èíôèíèòèâû îñíîâíîãî ãëàãîëà. Áóäóùåå áëèæàéøåå âðåìÿ le futur immédiat ñòðîèòñÿ ñ ïîìîùüþ ãëàãîëà aller â íàñòîÿùåì âðåìåíè (le présent) è èíôèíèòèâà îñíîâíîãî ãëàãîëà äëÿ âûðàæåíèÿ áóäóùåãî äåéñòâèÿ, êîòîðîå ïðîèçîéäåò â ìîìåíò ðàçãîâîðà èëè î÷åíü ñêîðî ïîñëå íåãî. Il va partir. Je sais qu’il va partir.
Îí ñåé÷àñ óåäåò. ß çíàþ, ÷òî îí âîò-âîò óåäåò.
!
Áóäóùåå áëèæàéøåå â ïðîøåäøåì le futur immédiat dans le passé òðåáóåò äëÿ ñâîåãî îáðàçîâàíèÿ ãëàãîëà aller â ïðîøåäøåì íåñîâåðøåííîì âðåìåíè l’imparfait è èíôèíèòèâà îñíîâíîãî ãëàãîëà. Óïîòðåáëÿåòñÿ äëÿ âûðàæåíèÿ áëèçêîãî áóäóùåãî äåéñòâèÿ, ñâÿçàííîãî ñ äåéñòâèåì, ïðîèçîøåäøèì â ïðîøëîì: Je savais qu’il allait partir
ß çíàë, ÷òî îí (ñåé÷àñ) óåäåò.
Ïðîøåäøåå áëèæàéøåå âðåìÿ le passé immédiat îáðàçîâûâàåòñÿ ñ ó÷àñòèåì ãëàãîëà venir â íàñòîÿùåì âðåìåíè le présent è èíôèíèòèâà îñíîâíîãî ãëàãîëà ñ ïðåäëîãîì de äëÿ âûðàæåíèÿ äåéñòâèÿ, êîòîðîå òîëüêî ÷òî ïðîèçîøëî: Il vient de partir Je sais qu’il vient de partir
Îí òîëüêî ÷òî óåõàë ß çíàþ, ÷òî îí òîëüêî ÷òî óåõàë.
Ïðîøåäøåå áëèæàéøåå â ïðîøåäøåì âðåìÿ le passé immédiat dans le passé îáðàçîâûâàåòñÿ ñ ïîìîùüþ ãëàãîëà venir â ïðîøåäøåì íåñîâåðøåííîì âðåìåíè l’imparfait è èíôèíèòèâà îñíîâíîãî ãëàãîëà ñ ïðåäëîãîì de äëÿ âûðàæåíèÿ äåéñòâèÿ, êîòîðîå òîëüêî ÷òî ïðîèçîøëî äî äðóãîãî äåéñòâèÿ â ïðîøëîì: Je savais qu’il venait de partir
ß çíàë, ÷òî îí òîëüêî-÷òî óåõàë.
ÏÎÂÅËÈÒÅËÜÍÎÅ ÍÀÊËÎÍÅÍÈÅ (LE MODE IMPÉRATIF) Ïîâåëèòåëüíîå íàêëîíåíèå le mode impératif âûðàæàåò ïðèêàç, ïðîñüáó, ñîâåò, çàïðåò. Îíî èìååò äâå ôîðìû: ïðîñòóþ ïîâåëèòåëüíîãî íàêëîíåíèÿ íàñòîÿùåãî âðåìåíè l’impératif présent è ñëîæíóþ ôîðìó ïîâåëèòåëüíîãî íàêëîíåíèÿ ïðîøåäøåãî âðåìåíè l’impératif passé. Ïîâåëèòåëüíîå íàêëîíåíèå íàñòîÿùåãî âðåìåíè limpératif présent îáðàçîâûâàåòñÿ îò 2-ãî ëèöà åäèíñòâåííîãî ÷èñëà, 1 è 2 ëèöà ìíîæåñòâåííîãî ÷èñëà ãëàãîëà, ñòîÿùåãî â èçúÿâèòåëüíîì íàêëîíåíèè íàñòîÿùåãî âðåìåíè, äëÿ ÷åãî íåîáõîäèìî îòáðîñèòü ëè÷íûå ìåñòîèìåíèÿ ó ïîäëåæàùèõ.
!
Òàáëèöà Èçúÿâèòåëüíîå íàêëîíåíèå íàñòîÿùåãî âðåìåíè (L’indicatif présent)
Ïîâåëèòåëüíîå íàêëîíåíèÿ íàñòîÿùåãî âðåìåíè (L’impératif présent)
tu parles nous parlons vous parlez
òû ãîâîðèøü; ìû ãîâîðèì; âû ãîâîðèòå;
parle! ãîâîðè! parlons! äàâàéòå áóäåì ãîâîðèòü! parlez! ãîâîðèòå!
tu lis nous lisons vous lisez
òû ÷èòàåøü; ìû ÷èòàåì; âû ÷èòàåòå;
lis! lisons! lisez!
÷èòàòü! äàâàéòå ÷èòàòü! ÷èòàéòå!
Ó âîçâðàòíûõ ãëàãîëîâ ìåñòîèìåíèÿ-äîïîëíèòåëüíûå ñòàâÿòñÿ ïîñëå ãëàãîëà. Ôîðìà te çàìåíÿåòñÿ ôîðìîé toi: tu te lèves
òû âñòàåøü;
lève-toi!
âñòàâàé!
Ãëàãîëû ïåðâîé ãðóïïû è ãëàãîë aller èäòè; åõàòü âî 2 ëèöå åä. ÷èñëà â l’impératif présent íå èìåþò îêîí÷àíèÿ -s, íî åñëè ïîñëå ãëàãîëà ñòîèò ìåñòîèìåíèå en èëè y, òî äîáàâëÿåòñÿ îêîí÷àíèå -s: Parle de ce film! Ãîâîðè îá ýòîì ôèëüìå!
Parles-en! Ãîâîðè î íåì!
Pense à ton examen! Äóìàé î ñâîåì ýêçàìåíå!
Penses-y! Äóìàé î íåì!
Va à l’école! Èäè â øêîëó!
Vas-y! Èäè òóäà!
Îñîáóþ ôîðìó ïîâåëèòåëüíîãî íàêëîíåíèÿ íàñòîÿùåãî âðåìåíè l’impératif présent èìåþò ãëàãîëû: avoir èìåòü — aie èìåé; ayons äàâàéòå èìåòü; ayez èìåéòå; être áûòü — sois áóäü; soyons äàâàéòå áóäåì; soyez áóäüòå; savoir çíàòü — sache çíàéòå; sachons äàâàéòå çíàòü; sachez çíàéòå; vouloir ïîæåëàòü — veuille ïîæåëàé; voulons äàâàéòå ïîæåëàåì; veuillez ïîæåëàéòå.
Ñëîæíàÿ ôîðìà ïîâåëèòåëüíîãî íàêëîíåíèÿ ïðîøåäøåãî âðåìåíè l’impératif passé ïîä÷åðêèâàåò îáÿçàííîñòü âûïîëíåíèÿ ïðèêàçàíèÿ. Óïîòðåáëÿåòñÿ ðåäêî: Sois levé à six heures! Ayez acheté ce livre!
Îáÿçàòåëüíî âñòàíü â 6 ÷àñîâ! Îáÿçàòåëüíî êóïè ýòó êíèãó! !!
ÓÑËÎÂÍÎÅ ÍÀÊËÎÍÅÍÈÅ (LE MODE CONDITIONNEL) Óñëîâíîå íàêëîíåíèå âûðàæàåò äåéñòâèå, âîçìîæíîå ïðè îïðåäåëåííûõ óñëîâèÿõ, è èìååò äâå âðåìåííûõ ôîðìû: óñëîâíîå íàêëîíåíèå íàñòîÿùåãî âðåìåíè le conditionnel présent è óñëîâíîå íàêëîíåíèå ïðîøåäøåãî âðåìåíè le conditionnel passé. Óñëîâíîå íàêëîíåíèå íàñòîÿùåãî âðåìåíè le conditionnel présent èìååò òó æå ñàìóþ ôîðìó, ÷òî óïîòðåáëÿåòñÿ â áóäóùåì â ïðîøåäøåì âðåìåíè le futur dans le passé, à óñëîâíîå íàêëîíåíèå ïðîøåäøåãî âðåìåíè le conditionnel passé òó æå ôîðìó, ÷òî è áóäóùåå â ïðîøåäøåì âðåìÿ le futur antérieur dans le passé. Óñëîâíîå íàêëîíåíèå íàñòîÿùåãî âðåìåíè le conditionnel présent óïîòðåáëÿåòñÿ äëÿ âûðàæåíèÿ äåéñòâèÿ, êîòîðîå ïðè îïðåäåëåííûõ óñëîâèÿõ ìîãëî áû ïðîèçîéòè â íàñòîÿùåì âðåìåíè èëè â áóäóùåì. Óñëîâíîå íàêëîíåíèå ïðîøåäøåãî âðåìåíè le conditionnel passé âûðàæàåò äåéñòâèå, êîòîðîå ïðè îïðåäåëåííûõ óñëîâèÿõ ìîãëî áû ïðîèçîéòè â ïðîøëîì, íî íå ïðîèçîøëî èç-çà îòñóòñòâèÿ ýòèõ óñëîâèé, ïðè÷åì óñëîâèå âûðàæàåòñÿ ïðèäàòî÷íûì ïðåäëîæåíèåì. Il viendrait aujourd’hui ou demain s’il avait le temps. Il serait venu hier s’il avait eu le temps.
Îí áû ïðèøåë ñåãîäíÿ èëè çàâòðà, åñëè áû ó íåãî áûëî âðåìÿ. Îí áû ïðèøåë â÷åðà, åñëè áû ó íåãî áûëî âðåìÿ.
Óñëîâíîå íàêëîíåíèå óïîòðåáëÿåòñÿ â ãëàâíîì ïðåäëîæåíèè.  ïðèäàòî÷íîì óñëîâíîì ïðåäëîæåíèè óïîòðåáëÿþòñÿ âðåìåííûå ôîðìû èçúÿâèòåëüíîãî íàêëîíåíèÿ lindicatif.
Óïîòðåáëåíèå âðåìåí ïîñëå si-óñëîâíîãî Óñëîâíîå íàêëîíåíèå ïîñëå si-óñëîâíîãî íå óïîòðåáëÿåòñÿ, à çàìåíÿåòñÿ âðåìåííûìè ôîðìàìè èçúÿâèòåëüíîãî íàêëîíåíèÿ. Òàê, óñëîâíîå íàêëîíåíèå íàñòîÿùåãî âðåìåíè le conditionnel présent çàìåíÿåòñÿ ôîðìîé ïðîøåäøåãî íåñîâåðøåííîãî âðåìåíè l’imparfait, à óñëîâíîå íàêëîíåíèå ïðîøåäøåãî âðåìåíè le conditionnel passé çàìåíÿåòñÿ ôîðìîé äàâíîïðîøåäøåãî âðåìåíè le plus-que-parfait.  ýòîì ñëó÷àå ïðîøåäøåå íåñîâåðøåííîå âðåìÿ âûðàæàåò âîçìîæíîå äåéñòâèå â íàñòîÿùåì èëè áóäóùåì, òîãäà êàê äàâíîïðîøåäøåå âðåìÿ âûðàæàåò íåðåàëüíîå äåéñòâèå â ïðîøëîì. !"
Ïîñëå si-óñëîâíîãî íå óïîòðåáëÿåòñÿ è áóäóùåå ïðîñòîå âðåìÿ le futur simple, êîòîðîå çàìåíÿåòñÿ ôîðìîé íàñòîÿùåãî âðåìåíè le présent, à íàñòîÿùåå âðåìÿ le présent âûðàæàåò âîçìîæíîå äåéñòâèå â áóäóùåì. Ãëàâíîå ïðåäëîæåíèå (La proposition principal) J’irai au cinéma demain (Le futur simple) Çàâòðà ÿ ïîéäó â êèíî,
Ïðèäàòî÷íîå ïðåäëîæåíèå (La proposition subordonée) si j’ai le temps (Le présent) åñëè áóäó èìåòü âðåìÿ.
J’irais au cinéma demain (Le conditionnel présent) si j’avais le temps (L’imparfait) Çàâòðà ÿ áû ïîøåë â êèíî, åñëè áû èìåë âðåìÿ. Je serais allé au cinéma hier (Le conditionnel passé) ß ïîøåë áû â÷åðà â êèíî,
si j’avais eu le temps (Le plus-que-parfait) åñëè áû èìåë âðåìÿ.
Óñëîâíîå íàêëîíåíèå â íåçàâèñèìûõ ïðåäëîæåíèÿõ Â íåçàâèñèìûõ ïðåäëîæåíèÿõ óñëîâíîå íàêëîíåíèå óïîòðåáëÿåòñÿ äëÿ âûðàæåíèÿ âûñêàçàííûõ â âåæëèâîé ôîðìå ïðîñüáû, ñîâåòà, ïîæåëàíèÿ, íåóâåðåííîãî óòâåðæäåíèÿ: Ne pourriez-vous pas venir chez nous? Tu devrais partir Je voudrais lire ce livre Je pourrais t’aider
Íå ìîãëè áû âû ê íàì ïðèéòè? Òåáå ñëåäîâàëî áû óåõàòü ß õîòåë áû ïðî÷èòàòü ýòó êíèãó ß ìîã áû òåáå ïîìî÷ü.
ÑÎÑËÀÃÀÒÅËÜÍÎÅ ÍÀÊËÎÍÅÍÈÅ (LE MODE SUBJONCTIF) Ñîñëàãàòåëüíîå íàêëîíåíèå le mode subjonctif âûðàæàåò ëèáî æåëàòåëüíîå, ëèáî ñîìíèòåëüíîå, ëèáî íåîáõîäèìîå äåéñòâèå, êîòîðîå äîëæíî ïðîèçîéòè ïî ÷üåìó-òî ïðèêàçó, æåëàíèþ èëè ÷üåé-òî ïðîñüáå. Ñîñëàãàòåëüíîå íàêëîíåíèå èìååò ÷åòûðå âðåìåííûå ôîðìû: 1) íàñòîÿùåãî âðåìåíè le présent du subjonctif; 2) ïðîøåäøåãî âðåìåíè le passé du subjonctif; 3) ïðîøåäøåãî íåñîâåðøåííîãî âðåìåíè l’imparfait du subjonctif; 4) äàâíîïðîøåäøåãî âðåìåíè le plus-queparfait. !#
Ôîðìà ñîñëàãàòåëüíîãî íàêëîíåíèÿ íàñòîÿùåãî âðåìåíè le présent du subjonctif îáðàçóåòñÿ îò îñíîâû 3-ãî ëèöà ìíîæåñòâåííîãî ÷èñëà íàñòîÿùåãî âðåìåíè èçúÿâèòåëüíîãî íàêëîíåíèÿ l’indicatif présent è îêîí÷àíèé -e, -es, -e; -ions, -iez, -ent: parler que je parle que tu parles qu’il (elle) parle que nous parlions que vous parliez qu’ils (elles) parlent
ãîâîðèòü: [ils parlent] ÷òîáû ÿ ãîâîðèë (à); ÷òîáû òû ãîâîðèë (à); ÷òîáû îí (îíà) ãîâîðèë (à); ÷òîáû ìû ãîâîðèëè; ÷òîáû âû ãîâîðèëè; ÷òîáû îíè ãîâîðèëè;
finir êîí÷àòü: [ils finissent] que je finisse ÷òîáû ÿ êîí÷èë (à); que tu finisses ÷òîáû òû êîí÷èë (à); qu’il (elle) finisse ÷òîáû îí (îíà) êîí÷èë (à); que nous finissions que vous finissiez qu’ils (elles) finissent
÷òîáû ìû êîí÷èëè; ÷òîáû âû êîí÷èëè; ÷òîáû îíè êîí÷èëè;
partir óåçæàòü: [ils partent] que je parte ÷òîáû ÿ óåõàë (à); que tu partes ÷òîáû òû óåõàë (à); qu’il (elle) parte ÷òîáû îí (îíà) óåõàë (à); que nous partions que vous partiez qu’ils (elles) partent
÷òîáû ìû óåõàëè; ÷òîáû âû óåõàëè; ÷òîáû îíè óåõàëè.
Îñîáûìè ôîðìàìè îáðàçîâàíèÿ ñîñëàãàòåëüíîãî íàêëîíåíèÿ îòëè÷àþòñÿ ãëàãîëû: que j’aie que tu aies qu’il (elle) ait
avoir èìåòü ÷òîáû ÿ èìåë (à); ÷òîáû òû èìåë (à); ÷òîáû îí (îíà) èìåë (à);
que nous ayons que vous ayez qu’ils (elles) aient que je sois que tu sois qu’il (elle) soit !$
÷òîáû ìû èìåëè; ÷òîáû âû èìåëè; ÷òîáû îíè èìåëè;
être áûòü ÷òîáû ÿ áûë (à); ÷òîáû òû áûë (à); ÷òîáû îí (îíà) áûë (à);
÷òîáû ìû áûëè; ÷òîáû âû áûëè; ÷òîáû îíè áûëè;
que nous soyons que vous soyez qu’ils (elles) soient savoir çíàòü
que je sache ÷òîáû ÿ çíàë; que nous sachions ÷òîáû ìû çíàëè;
faire äåëàòü
que je fasse ÷òîáû ÿ äåëàë; que nous fassions ÷òîáû ìû äåëàëè;
aller èäòè
que j’aille que nous allions
vouloir õîòåòü
que je veuille ÷òîáû ÿ õîòåë; que nous voulions ÷òîáû ìû õîòåëè.
÷òîáû ÿ øåë; ÷òîáû ìû øëè;
Ôîðìà ñîñëàãàòåëüíîãî íàêëîíåíèÿ ïðîøåäøåãî âðåìåíè îáðàçóåòñÿ ñ ó÷àñòèåì âñïîìîãàòåëüíîãî ãëàãîëà avoir èëè être â ôîðìå ñîñëàãàòåëüíîãî íàêëîíåíèÿ íàñòîÿùåãî âðåìåíè le présent du subjonctif è ñ ó÷àñòèåì ïðè÷àñòèÿ íàñòîÿùåãî âðåìåíè le participe passé ñïðÿãàåìîãî ãëàãîëà. parler que j’ai parlé que tu aies parlé qu’il ait parlé qu’elle ait parlé
ãîâîðèòü ÷òîáû ÿ ãîâîðèë (à); ÷òîáû òû ãîâîðèë (à); ÷òîáû îí ãîâîðèë; ÷òîáû îíà ãîâîðèëà; ÷òîáû ìû ãîâîðèëè; ÷òîáû âû ãîâîðèëè; ÷òîáû îíè ãîâîðèëè (ì. ð.); ÷òîáû îíè ãîâîðèëè (æ. ð.);
que nous ayons parlé que vous ayez parlé qu’ils aient parlé qu’elles aient parlé partir que je sois parti (e) que tu sois parti (e) qu’il soit parti qu’elle soit partie
óåçæàòü ÷òîáû ÿ óåõàë (à); ÷òîáû òû óåõàë (à); ÷òîáû îí óåõàë; ÷òîáû îíà óåõàëà;
que nous soyons partis (es) que vous soyez partis (es) qu’ils soient partis qu’elles soient parties
÷òîáû ìû óåõàëè; ÷òîáû âû óåõàëè; ÷òîáû îíè óåõàëè (ì. ð.); ÷òîáû îíè óåõàëè (æ. ð.).
Ñîñëàãàòåëüíîå íàêëîíåíèå óïîòðåáëÿåòñÿ ãëàâíûì îáðàçîì â ïîä÷èíåííûõ äîïîëíèòåëüíûõ, îïðåäåëèòåëüíûõ è îáñòîÿòåëüñòâåííûõ ïðåäëîæåíèÿõ. !%
Ôîðìà ñîñëàãàòåëüíîãî íàêëîíåíèÿ íàñòîÿùåãî âðåìíè âûðàæàåò îäíîâðåìåííîå èëè áóäóùåå äåéñòâèå, à ôîðìà ñîñëàãàòåëüíîãî íàêëîíåíèÿ ïðîøåäøåãî âðåìåíè ïðåäûäóùåå äåéñòâèå. Óïîòðåáëåíèå ñîñëàãàòåëüíîãî íàêëîíåíèÿ â äîïîëíèòåëüíûõ ïðèäàòî÷íûõ ïðåäëîæåíèÿõ çàâèñèò îò çíà÷åíèÿ ãëàãîëà ãëàâíîãî ïðåäëîæåíèÿ. Ñ ãëàãîëàìè, âûðàæàþùèìè âîëþ (ïðîñüáó, òðåáîâàíèå, íåîáõîäèìîñòü, çàïðåùåíèå), ÷óâñòâà (óäîâëåòâîðåíèÿ, íåóäîâëåòâîðåíèÿ, ñîæàëåíèÿ, ñòûäà, ñòðàõà), ñîìíåíèå, ìûñëü, íåñîãëàñèå, â äîïîëíèòåëüíûõ ïðèäàòî÷íûõ ïðåäëîæåíèÿõ äîëæíî óïîòðåáëÿòüñÿ ñîñëàãàòåëüíîå íàêëîíåíèå. Îñíîâíûå ãëàãîëû, âûðàæàþùèå âîëþ: vouloir – õîòåòü; désirer – æåëàòü; ordonner – ïðèêàçûâàòü; demander – ïðîñèòü; permettre – ïîçâîëÿòü, ðàçðåøàòü; défendre – çàïðåùàòü; Je veux qu’il vienne demain. Le médecin insiste que vous fassiez du sport. Dites-lui qu’il vienne demain.
recommander – ñîâåòîâàòü, ðåêîìåíäîâàòü; insister – íàñòàèâàòü; dire – ñêàçàòü, ÷òîáû
; écrire – íàïèñàòü, ÷òîáû
; téléphoner – ïîçâîíèòü, ÷òîáû
; crier êðèêíóòü, ÷òîáû
. ß õî÷ó, ÷òîáû îí çàâòðà ïðèøåë. Âðà÷ íàñòàèâàåò, ÷òîáû âû çàíèìàëèñü ñïîðòîì. Ñêàæèòå åìó, ÷òîáû îí çàâòðà ïðèøåë.
Îñíîâíûå ãëàãîëû, âûðàæàþùèå ÷óâñòâà: se réjouir – ðàäîâàòüñÿ; être content – áûòü äîâîëüíûì; être heureux – áûòü ñ÷àñòëèâûì; être mécontent – áûòü íåóäîâëåòâîðåííûì; être désolé – áûòü îïå÷àëåííûì; être fâché – áûòü ñåðäèòûì;
se fâcher – ñåðäèòüñÿ; se plaindre – æàëîâàòüñÿ; s’étonner – óäèâëÿòüñÿ; être etonné – áûòü óäèâëåííûì; avoir honte – ñòûäèòüñÿ; avoir peur, craindre – áîÿòüñÿ.
Je suis content qu’il vienne nous voir. ß ðàä, ÷òî îí ê íàì èäåò. Je suis étonné qu’il ne vienne ß óäèâëåí, ÷òî îí íå ïðèäåò çàâòðà. pas demain. Je suis fâché que vous ne soyez ß ñåðäèò, ÷òî âû íå ïðèøëè â÷åðà. pas venus hier. Elle est désolée que tu ne veuilles Îíà îïå÷àëåíà, ÷òî òû íå õî÷åøü åé pas l’aider. ïîìî÷ü. Je crains qu’il ne parte pas. ß áîþñü, ÷òîáû îí íå óåõàë. !&
Îñíîâíûå ãëàãîëû, âûðàæàþùèå ãðóñòü è íåóâåðåííîñòü: douter –ñîìíåâàòüñÿ; contester – ïðîòèâîðå÷èòü;
nier – ïðîòèâîðå÷èòü, îòâåðãàòü; ignorer – íå çíàòü; èãíîðèðîâàòü.
Ãëàãîëû, âûðàæàþùèå ñîìíåíèå èëè íåóâåðåííîñòü â èñòèííîñòè ñêàçàííîãî èëè èçëîæåííîãî: croire – ñ÷èòàòü; penser – äóìàòü;
affirmer – óòâåðæäàòü; être sur – áûòü óâåðåííûì.
ß ñîìíåâàþñü, ÷òî îí ñäåðæèò ñâîå ñëîâî. Je ne crois pas qu’il ait raison. ß íå äóìàþ, ÷òî îí ïðàâ. Étes-vous sûre qu’il vienne à temps? Âû óâåðåíû, ÷òî îí ïðèäåò âîâðåìÿ? Îäíàêî: Je crois qu’il a raison. ß äóìàþ, ÷òî îí ïðàâ. Je suis sûr qu’il viendra à temps. ß óâåðåí, ÷òî îí ïðèäåò âîâðåìÿ. Je doute qu’il tienne sa parole.
Ñîñëàãàòåëüíîå íàêëîíåíèå óïîòðåáëÿåòñÿ â äîïîëíèòåëüíûõ ïðèäàòî÷íûõ ïðåäëîæåíèÿõ ïîñëå áåçëè÷íûõ îáîðîòîâ: il est fâcheux – äîñàäíî; il est étonnant – óäèâèòåëüíî; c’est dommage – æàëü; il est désirable – æåëàòåëüíî; il est douteux – ñîìíèòåëüíî; il faut – íåîáõîäèìî, íóæíî;
Il est fâcheux que tu ne sois pas venu hier Il est désirable que vous lisiez ce livre Il est douteux qu’il fasse beau demain
il est nécessaire – íåîáõîäèìî, íóæíî; il est temps – ïîðà, âðåìÿ; il est possible – âîçìîæíî; il est impossible – íåâîçìîæíî.
Äîñàäíî, ÷òî òû íå ïðèøåë â÷åðà Æåëàòåëüíî, ÷òîáû âû ïðî÷èòàëè ýòó êíèãó Ñîìíèòåëüíî, ÷òîáû çàâòðà áûëà õîðîøàÿ ïîãîäà.
Ñîñëàãàòåëüíîå íàêëîíåíèå óïîòðåáëÿåòñÿ â îïðåäåëåííûõ ïðèäàòî÷íûõ ïðåäëîæåíèÿõ: 1) äëÿ âûðàæåíèÿ æåëàåìîãî, âîçìîæíîãî äåéñòâèÿ Je connais un homme qui puisse vous aider Je connais personne qui veuille le faire
ß çíàþ ÷åëîâåêà, êîòîðûé ìîã áû âàì ïîìî÷ü ß íå çíàþ íèêîãî, êòî õîòåë áû ýòî ñäåëàòü.
2) äëÿ âûðàæåíèÿ ëè÷íîé îöåíêè; â ýòîì ñëó÷àå â ãëàâíîì ïðåäëîæåíèè óïîòðåáëÿåòñÿ ëèáî ïðèëàãàòåëüíîå â ïðåâîñõîäíîé ñòåïåíè, ëèáî ðàâíîöåííûå èì âûðàæåíèÿ: le premier ïåðâûé; le dernier ïîñëåäíèé; le seul îäèí; åäèíñòâåííûé; l’unique åäèíñòâåííûé: !'
C’est la plus belle pièce que j’aie jamais vue. C’est le seul élève qui écrive mal.
Ïðèìå÷àíèå.
Ýòî íàèëó÷øàÿ ïüåñà, êîòîðóþ ÿ êîãäà-ëèáî âèäåë. Ýòî åäèíñòâåííûé ó÷åíèê, êîòîðûé ïëîõî ïèøåò.
Åñëè ðå÷ü èäåò î ðåàëüíîì, ïîëíîñòüþ âåðîÿòíîì ôàêòå, òî â ïðèäàòî÷íîì îïðåäåëèòåëüíîì ïðåäëîæåíèè óïîòðåáëÿåòñÿ èçúÿâèòåëüíîå íàêëîíåíèå l’indicatif:
Je connais un homme qui peut vous aider.
ß çíàþ ÷åëîâåêà, êîòîðûé ìîæåò âàì ïîìî÷ü.
Óïîòðåáëåíèå ñîñëàãàòåëüíîãî íàêëîíåíèÿ â äîïîëíèòåëüíûõ îáñòîÿòåëüñòâåííûõ ïðåäëîæåíèÿõ çàâèñèò îò ñîþçà, ñ ïîìîùüþ êîòîðîãî ïðèäàòî÷íîå ïðåäëîæåíèå ïðèñîåäèíÿåòñÿ ê ãëàâíîìó. Ñîñëàãàòåëüíîå íàêëîíåíèå óïîòðåáëÿåòñÿ: a) â ïîä÷èíåííûõ ïðåäëîæåíèÿõ âðåìåíè ïîñëå avant que — ïîêà íå; ïðåæäå ÷åì; ïåðåä òåì êàê; jusqu’à ce que — äî òîãî âðåìåíè; ïîêà íå; äî òåõ ïîð ïîêà;
Ne partez pas avant qu’il ne revienne Restez ici jusqu’à ce que nous revenions
Íå óõîäèòå, ïîêà îí íå âåðíåòñÿ Îñòàâàéòåñü çäåñü äî òåõ ïîð, ïîêà ìû íå âåðíåìñÿ
á) â ïðèäàòî÷íûõ ïðåäëîæåíèÿõ öåëè ïîñëå
pour que, afin que — äëÿ òîãî, ÷òîáû; de manière que — òàê, ÷òîáû; de façon que — òàê, ÷òîáû; de sorte que — òàê, ÷òîáû. Je vous donne ce livre pour que ß äàþ âàì ýòó êíèãó, ÷òîáû âû åå vous le lisiez ïðî÷èòàëè Expliquez-lui cette règle de manière Îáúÿñíèòå åìó ýòî ïðàâèëî òàê, qu’il la comprenne ÷òîáû îí åãî ïîíÿë
â) â äîïîëíèòåëüíûõ óñòóïèòåëüíûõ ïðåäëîæåíèÿõ ïîñëå bien que, quoique — õîòÿ Bien qu’il fasse froid, nous irons nous promener
Õîòÿ õîëîäíî, ìû ïîéäåì ïîãóëÿòü
ã) â äîïîëíèòåëüíûõ ïðåäëîæåíèÿõ óñëîâèÿ ïîñëå à condition que — ïðè óñëîâèè, ÷òî; pourvu que — òîëüêî áû; åñëè áû òîëüêî; òîëüêî, ÷òîáû; à moins que — åñëè òîëüêî íå
.
"
Nous ferions tout pourvu qu’elle guérisse Je vous achèterai ce livre à moins que le magasin ne soit fermé
Ìû ñäåëàåì âñå, ëèøü áû îíà âûçäîðîâåëà ß êóïëþ ýòó êíèãó, åñëè òîëüêî ìàãàçèí íå áóäåò çàêðûò.
 íåçàâèñèìûõ ïðåäëîæåíèÿõ ñîñëàãàòåëüíîå íàêëîíåíèå óïîòðåáëÿåòñÿ äëÿ âûðàæåíèÿ ïðèêàçàíèÿ â 3-ì ëèöå åäèíñòâåííîãî è ìíîæåñòâåííîãî ÷èñëà: Ïóñòü (îí) áûñòðåå óõîäèò! Ïóñòü (îíè) âîéäóò!
Qu’il parte plus vite! Qu’ils entrent!
ÇÀËÎà (LA VOIX) Çàëîã êàòåãîðèÿ ãëàãîëà, óêàçûâàþùàÿ íà îòíîøåíèå äåéñòâèÿ ê ïîäëåæàùåìó è íà íàïðàâëåííîñòü äåéñòâèÿ. Äåéñòâèòåëüíûé çàëîã la voix active óêàçûâàåò íà òî, ÷òî äåéñòâèå âûïîëíÿåòñÿ ïîäëåæàùèì, èíà÷å ãîâîðÿ, ÷òî äåéñòâèå íàïðàâëåíî îò ïîäëåæàùåãî ÷åðåç ñêàçóåìîå íà äîïîëíåíèå. Pierre écrit une lettre.
Ïüåð ïèøåò ïèñüìî.
Maman sert le déjeuner.
Ìàìà ïîäàåò çàâòðàê.
Ñòðàäàòåëüíûé çàëîã la voix passive óêàçûâàåò íà òî, ÷òî äåéñòâèå íàïðàâëåíî íà ïîäëåæàùåå.  ñòðàäàòåëüíîì çàëîãå óïîòðåáëÿþòñÿ òîëüêî ïåðåõîäíûå ãëàãîëû les verbes transitifs. Ñòðàäàòåëüíûé çàëîã îáðàçóåòñÿ ñ ïîìîùüþ ãëàãîëà être â ñîîòâåòñòâóþùåì âðåìåíè è ïðè÷àñòèÿ ïðîøåäøåãî âðåìåíè ñïðÿãàåìîãî ãëàãîëà. Äåéñòâèòåëüíûé çàëîã: écrire — ïèñàòü Pierre écrit une lettre. Ïüåð ïèøåò ïèñüìî.
Ñòðàäàòåëüíûé çàëîã: être écrit (e) Une lettre est écrit par Pierre. Ïèñüìî ïèøåòñÿ Ïüåðîì.
Ïðè ïðåîáðàçîâàíèè äåéñòâèòåëüíîãî çàëîãà â ñòðàäàòåëüíûé äîïîëíåíèå ñòàíîâèòñÿ ïîäëåæàùèì, à ïîäëåæàùåå êîñâåííûì äîïîëíåíèåì ñ ïðåäëîãîì par èëè de: Pierre a écrit cette lettre Cette lettre a été écrite par Pierre
Ïüåð íàïèñàë ýòî ïèñüìî Ýòî ïèñüìî áûëî íàïèñàíî Ïüåðîì. "
Åñëè êîñâåííîå äîïîëíåíèå ÿâëÿåòñÿ ïðÿìûì èñïîëíèòåëåì äåéñòâèÿ, òî îíî óïîòðåáëÿåòñÿ ñ ïðåäëîãîì par: Ce livre a été lu par les étudiants de notre groupe
Ýòà êíèãà áûëà ïðî÷èòàíà ñòóäåíòàìè íàøåé ãðóïïû.
Åñëè êîñâåííîå äîïîëíåíèå íåïîñðåäñòâåííî íå âûïîëíÿåò äåéñòâèÿ, òàêîå äîïîëíåíèå óïîòðåáëÿåòñÿ ñ ïðåäëîãîì de: Les murs sont ornés de tableaux
Ñòåíû óêðàøåíû êàðòèíàìè.
Ïðåäëîã de óïîòðåáëÿåòñÿ òàêæå ïîñëå ãëàãîëîâ, êîòîðûå âûðàæàþò ÷óâñòâà: La mère est aimée de ses enfants Cet homme est éstimé de tout le monde
Ìàòü ëþáèìà ñâîèìè äåòüìè Ýòîò ÷åëîâåê âñåìè óâàæàåì.
Åñëè â äåéñòâèòåëüíîì çàëîãå ïîäëåæàùåå âûðàæåíî íåîïðåäåëåííûì ìåñòîèìåíèåì on, òî â ñòðàäàòåëüíîì çàëîãå îòñóòñòâóåò êîñâåííîå äîïîëíåíèå, à ôðàçà ïåðåâîäèòñÿ áåçëè÷íûì îáîðîòîì: On construira ce pont en six mois
Ýòîò ìîñò ïîñòðîÿò çà øåñòü ìåñÿöåâ.
Åñëè èñïîëíèòåëü äåéñòâèÿ â ñòðàäàòåëüíîì çàëîãå íå óêàçàí, òî åñòü êîñâåííîå äîïîëíåíèå ýòî îðóäèå äåéñòâèÿ îòñóòñòâóåò, ôðàçà òàêæå ïåðåâîäèòñÿ áåçëè÷íûì îáîðîòîì: Cette lettre est déjà écrite Trois livres interessants ont été écrits en 1999
Ïðèìå÷àíèå:
Ýòî ïèñüìî óæå íàïèñàíî Â 1999 ã. áûëî íàïèñàíî òðè èíòåðåñíûõ êíèãè.
 ñòðàäàòåëüíîì çàëîãå ïðè÷àñòèå ïðîøåäøåãî âðåìåíè le participe passé âñåãäà ñîãëàñîâûâàåòñÿ ïîäëåæàùèì â ðîäå è ÷èñëå.
La terre est couverte de neige Ces lettres sont écrites par mon ami
Çåìëÿ ïîêðûòà ñíåãîì Ýòè ïèñüìà íàïèñàíû ìîèì äðóãîì.
ÌÅÑÒÎÈÌÅÍÍÛÅ ÃËÀÃÎËÛ (LES VERBES PRONOMINAUX) Ê ìåñòîèìåííûì îòíîñÿòñÿ ãëàãîëû, â êîòîðûõ ïåðåä èíôèíèòèâîì óïîòðåáëÿåòñÿ âîçâðàòíîå ìåñòîèìåíèå se: se réveiller se peigner
ïðîñûïàòüñÿ; ïðè÷åñûâàòüñÿ.
 ëè÷íûõ ôîðìàõ ìåñòîèìåííûå ñëîâà ñïðÿãàþòñÿ ñ äâóìÿ ìåñòîèìåíèÿìè. Ïåðâîå ìåñòîèìåíèå ÿâëÿåòñÿ ïîäëåæàùèì, âòîðîå äîïîëíåíèåì, ïðÿìûì èëè êîñâåííûì: "
Je me lave (me — ïðÿìîå äîïîëíåíèå) ß óìûâàþñü (áóêâàëüíî: ìîþ ñåáÿ). Je me lave les mains (me — êîñâåííîå äîïîëíåíèå).
Ìåñòîèìåíèå-äîïîëíåíèå âñåãäà ñîãëàñîâûâàåòñÿ â ëèöå è ÷èñëå ñ ïîäëåæàùèì: se peigner je me peigne tu te peigne il se peigne elle se peigne nous nous peignons vous vous peignez ils se peignent elles se peignent
ïðè÷åñûâàòüñÿ ÿ ïðè÷åñûâàþñü; òû ïðè÷åñûâàåøñÿ; îí ïðè÷åñûâàåòñÿ; îíà ïðè÷åñûâàåòñÿ; ìû ïðè÷åñûâàåìñÿ; âû ïðè÷åñûâàåòåñÿ; îíè ïðè÷åñûâàþòñÿ (ì. ð.); îíè ïðè÷åñûâàþòñÿ (æ. ð.).
 ñëîæíûõ âðåìåííûõ ôîðìàõ ìåñòîèìåííûå ãëàãîëû ñïðÿãàþòñÿ ñ ãëàãîëîì être áûòü: Je me suis peigné Nous nous sommes peignés
ß ïðè÷åñàëñÿ Ìû ïðè÷åñàëèñü.
Ìåñòîèìåííûå ãëàãîëû ðàçäåëÿþòñÿ íà: 1) ïîñòîÿííûå ìåñòîèìåííûå ãëàãîëû, òî åñòü ãëàãîëû, êîòîðûå âñåãäà óïîòðåáëÿþòñÿ ñ ìåñòîèìåíèÿìè: se moquer íàñìåõàòüñÿ; se souvenir âñïîìèíàòü;
Nous nous sommes souvenus de cette histoire Les oiseaux se sont envolés dans les pays chauds
s’envoler óëåòàòü; s’en aller îòïðàâëÿòüñÿ.
Ìû âñïîìíèëè ýòó èñòîðèþ Ïòèöû óëåòåëè â òåïëûå êðàÿ
2) íåïîñòîÿííûå ìåñòîèìåííûå ãëàãîëû, òî åñòü ãëàãîëû, êîòîðûå ìîãóò ñïðÿãàòüñÿ êàê ìåñòîèìåííûå è êàê íåìåñòîèìåííûå: habiller — îäåâàòü; laver — ìûòü; lever — ïîäíèìàòü;
s’habiller — îäåâàòüñÿ; se laver — (ïî)ìûòüñÿ; se lever — ïîäíèìàòüñÿ.
Elle a habillé son enfant. Elle s’est habillée. Elle a lavé la vaisselle. Elle s’est lavée.
Îíà îäåëà ñâîåãî ðåáåíêà. Îíà îäåëàñü. Îíà ïîìûëà ïîñóäó. Îíà ïîìûëàñü.
"!
ÁÅÇËÈ×ÍÛÅ ÃËÀÃÎËÛ (LES VERBES IMPERSONNELS) Áåçëè÷íûå ãëàãîëû óïîòðåáëÿþòñÿ â 3-ì ëèöå åäèíñòâåííîãî ÷èñëà. Ïåðåä áåçëè÷íûìè ãëàãîëàìè ñòîèò ìåñòîèìåíèå il îí, êîòîðîå íå óêàçûâàåò íà ñóáúåêò äåéñòâèÿ, à ëèøü ãðàììàòè÷åñêè îôîðìëÿåò ãëàãîë. Ñîáñòâåííî áåçëè÷íûìè ÿâëÿþòñÿ ãëàãîë falloir íàäëåæàòü; ñëåäîâàòü (il faut íóæíî, íåîáõîäèìî) è ãëàãîëû pleuvoir ñûïàòüñÿ; èäòè (î äîæäå); ïàäàòü â èçîáèëèè; neiger èäòè (î ñíåãå); geler ìîðîçèòü, êîòîðûå îáîçíà÷àþò ÿâëåíèÿ ïðèðîäû: Il pleut Il neige Il gèle
Èäåò äîæäü Èäåò ñíåã Ìîðîçèò.
 áåçëè÷íîé ôîðìå ìîãóò óïîòðåáëÿòüñÿ ãëàãîëû, êîòîðûå ïî ñóòè ÿâëÿþòñÿ ëè÷íûìè: 1) ãëàãîë faire äåëàòü, êîòîðûé â ñî÷åòàíèè ñ ïðèëàãàòåëüíûì èëè ñóùåñòâèòåëüíûì óïîòðåáëÿåòñÿ äëÿ îáîçíà÷åíèÿ ïðèðîäíûõ ÿâëåíèé: Il fait beau Il fait froid Il fait nuit
Õîðîøàÿ ïîãîäà Õîëîäíî Íî÷ü
2) ãëàãîë être áûòü, óïîòðåáëÿåòñÿ äëÿ îáîçíà÷åíèÿ âðåìåíè: Il est trois heures Ile est déjà tard
Òðè ÷àñà Óæå ïîçäíî
3) ãëàãîë avoir èìåòü, óïîòðåáëÿåìûé â îáîðîòå il y a, êîòîðûé óêàçûâàåò íà íàëè÷èå ïðåäìåòîâ, ÿâëåíèé: Il y a beaucoup de fleurs ici Il y a du soleil aujourd’hui
""
Çäåñü ìíîãî öâåòîâ Ñåãîäíÿ ñîëíå÷íî.
ÁÅÇËÈ×ÍÛÅ ÔÎÐÌÛ ÃËÀÃÎËÀ (LES FORMES NON PERSONNELLES DU VERBE) Áåçëè÷íûìè ôîðìàìè ãëàãîëà ÿâëÿþòñÿ èíôèíèòèâ, ïðè÷àñòèå è ãåðóíäèé (äååïðè÷àñòèå).
ÈÍÔÈÍÈÒÈ (L’INFINITIF) Èíôèíèòèâ íåîïðåäåëåííàÿ ôîðìà ãëàãîëà, êîòîðàÿ óêàçûâàåò íà äåéñòâèå áåç óïîìèíàíèÿ ñóáúåòêà ýòîãî äåéñòâèÿ. Ñóùåñòâóþ äâå ôîðìû èíôèíèòèâà: ïðîñòàÿ ôîðìà èíôèíèòèâà èíôèíèòèâ íàñòîÿùåãî âðåìåíè infinitif présent: ecrire ïèñàòü; venir ïðèõîäèòü; ïðèåçæàòü; ñëîæíàÿ ôîðìà èíôèíèòèâà èíôèíèòèâ ïðîøåäøåãî âðåìåíè infinitif passé: avoir écrit íàïèñàòü; être venu ïðèéòè; ïðèåõàòü. Èíôèíèòèâ íàñòîÿùåãî âðåìåíè l’infinitif présent âûðàæàåò îäíîâðåìåííîñòü ñ äåéñòâèåì, îáîçíà÷åííûì ãëàãîëîì â ëè÷íîé ôîðìå: Elle est contente de te voir Elle sera contente de te voir Elle était contente de te voir
Îíà ðàäà òåáÿ âèäåòü Îíà áóäåò ðàäà òåáÿ âèäåòü Îíà áûëà ðàäà òåáÿ âèäåòü.
Èíôèíèòèâ ïðîøåäøåãî âðåìåíè linfinitif passé âûðàæàåò ïðåäøåñòâîâàíèå äåéñòâèÿ, îáîçíà÷åííîãî ãëàãîëîì â ëè÷íîé ôîðìå: Elle est contente de t’avoir vu
Îíà ðàäà, ÷òî óâèäåëà òåáÿ.
 ïðåäëîæåíèè èíôèíèòèâ ìîæåò áûòü íåçàâèñèìûì è çàâèñèìûì. Íåçàâèñèìûé èíôèíèòèâ óïîòðåáëÿåòñÿ â îäíîñëîæíûõ ïðåäëîæåíèÿõ: 1) âîïðîñèòåëüíûõ èëè âîñêëèöàòåëüíûõ: Que faire? Où aller? Lui, mentir, jamais!
×òî äåëàòü? Êóäà èäòè? Îí îáìàíûâàòü? Íèêîãäà!
2) ïîáóäèòåëüíûõ äëÿ âûðàæåíèÿ ïðèêàçàíèÿ, ñîâåòà: Tourner à gauche Tenir au frais
Ïîâåðíóòü íàëåâî Ñáåðåãàòü â ïðîõëàäíîì ìåñòå.
Íåçàâèñèìûé èíôèíèòèâ ìîæåò óïîòðåáëÿòüñÿ â êà÷åñòâå ïîäëåæàùåãî: Lire c’est apprendre
×èòàòü ýòî ó÷èòüñÿ.
"#
Çàâèñèìûé èíôèíèòèâ âûïîëíÿåò ôóíêöèþ: 1) èìåííîé ÷àñòè ñêàçóåìîãî: S’entendre c’est pardonner
Ïîíÿòü çíà÷èò ïðîñòèòü
2) ñîñòàâíîé ÷àñòè ãëàãîëüíîãî ñêàçóåìîãî: Elle doit partir Ce garçon sait lire et compter
3) äîïîëíåíèÿ: J’espère vous revoir demain Il a refusé de venir
4) îáñòîÿòåëüñòâà: Elle est venue pour vous parler
5) îïðåäåëåíèÿ: J’ai un grand desir de partir
Îíà äîëæíà óåõàòü Ýòîò ìàëü÷èê óìååò ÷èòàòü è ïèñàòü Íàäåþñü óâèäåòü âàñ çàâòðà Îí îòêàçàëñÿ ïðèéòè Îíà ïðèøëà, ÷òîáû ïîãîâîðèòü ñ âàìè Ó ìåíÿ áîëüøîå æåëàíèå óåõàòü.
Çàâèñèìûé èíôèíèòèâ âõîäèò â ñîñòàâ èíôèíèòèâíîãî îáîðîòà. Ïîñëå ãëàãîëîâ voir âèäåòü; regarder ñìîòðåòü; écouter ñëóøàòü; entendre ñëûøàòü; sentir ÷óñòâîâàòü èíôèíèòèâ âûïîëíÿåò ôóíêöèþ ñêàçóåìîãî. Åãî ïîäëåæàùèì ÿâëÿåòñÿ ïðÿìîå äîïîëíåíèå ãëàãîëà, óïîòðåáëÿåìîãî â ëè÷íîé ôîðìå: J’entends la porte s’ouvrir. Je le vois travailler.
Íà ðóññêèé ÿçûê èíôèíèòèâíûé îáîðîò ïåðåâîäèòñÿ äîïîëíèòåëüíûì ïðèäàòî÷íûì ïðåäëîæåíèåì: ß ñëûøó, ÷òî äâåðü îòêðûâàåòñÿ. ß âèæó, ÷òî îí ðàáîòàåò.
Ïîñëå ãëàãîëîâ, âûðàæàþùèõ ñîìíåíèå, óòâåðæäåíèå (croire äóìàòü; ïîëàãàòü; penser äóìàòü; sembler êàçàòüñÿ; paraître êàçàòüñÿ; affirmer óòâåðæäàòü), èíôèíèòèâ ïåðåâîäèòñÿ äîïîëíèòåëüíûì ïðèäàòî÷íûì ïðåäëîæåíèåì: Je crois l’avoir vu hier Il affirme nous avoir rencontrés ce jour-là
Ìíå êàæåòñÿ, ÷òî ÿ åãî âèäåë â÷åðà Îí óòâåðæäàåò, ÷òî âñòðå÷àë íàñ â òîò äåíü.
Èíôèíèòèâ ñ ïðåäëîãàìè sans áåç; après ïîñëå; pour äëÿ ïåðåâîäèòñÿ äååïðè÷àñòèåì èëè ïðèäàòî÷íûì ïðåäëîæåíèåì: Il est parti sans nous dire adieu "$
Îí óøåë, íå ïðîùàÿñü ñ íàìè
Après avoir écrit sa lettre, il l’a portée au bureau de poste Il a été puni pour avoir perdu ce document
Íàïèñàâ ïèñüìî, îí îòíåñ åãî íà ïî÷òó Åãî íàêàçàëè çà òî, ÷òî îí ïîòåðÿë ýòîò äîêóìåíò.
ÏÐÈ×ÀÑÒÈÅ (LE PARTICIPE) Ïðè÷àñòèå èìååò òðè ôîðìû: Ïðè÷àñòèå íàñòîÿùåãî âðåìåíè le participe présent: partant óåçæàþùèé; venant ïðèõîäÿùèé; travaillant ðàáîòàþùèé. Ïðè÷àñòèå ïðîøåäøåãî âðåìåíè le participe passé: parlé ïðîèçíåñåííûé; venu ïðèøåäøèé; écrit íàïèñàííûé. Ñëîæíîå ïðè÷àñòèå ïðîøåäøåãî âðåìåíè le participe passé composé: ayant parlé ïðîèçíåñåííûé; étant venu ïðèøåäøèé. Ïî çíà÷åíèþ ïðè÷àñòèÿ áëèçêè ê ïðèëàãàòåëüíûì îáîçíà÷àþò ïðèçíàê ïðåäìåòà, îäíàêî îò ïðèëàãàòåëüíûõ îòëè÷àþòñÿ ñâîèì ãëàãîëüíûì îáîçíà÷åíèåì äåéñòâèÿ èëè ñîñòîÿíèÿ.
Ïðè÷àñòèå íàñòîÿùåãî âðåìåíè (Le participe présent) Ïðè÷àñòèå íàñòîÿùåãî âðåìåíè le participe présent îáðàçóåòñÿ îò îñíîâû ãëàãîëà â 1 ëèöå ìíîæåñòâåííîãî ÷èñëà íàñòîÿùåãî âðåìåíè â èçúÿâèòåëüíîì íàêëîíåíèè lindicatif présent ïóòåì çàìåíû îêîí÷àíèÿ -ons íà îêîí÷àíèå -ant: L’indicatif présent nous parlons ìû ãîâîðèì; nous finissons ìû êîí÷àåì; nous venons ìû ïðèõîäèì;
Le participe présent parlant ãîâîðÿùèé; finissant êîí÷àþùèé; venant ïðèõîäÿùèé.
Íåêîòîðûå ãëàãîëû èìåþò îñîáóþ ôîðìó ïðè÷àñòèÿ íàñòîÿùåãî âðåìåíè le participe présent: être — áûòü; avoir — èìåòü; savoir — çíàòü;
étant — ÿâëÿþùèéñÿ; ayant — èìåþùèé; sachant — çíàþùèé.
Ïðè÷àñòèå íàñòîÿùåãî âðåìåíè âñåãäà èìååò äîïîëíåíèå èëè îáñòîÿòåëüñòâî è íèêîãäà íå èçìåíÿåòñÿ íè â ðîäå, íè â ÷èñëå: Ce sont des livres intéressant toujours nos élèves
Èìåííî (òîëüêî) êíèãè âñåãäà èíåòåðåñóþò íàøèõ ó÷åíèêîâ.
"%
Ïðè÷àñòèå íàñòîÿùåãî âðåìåíè ìîæåò óïîòðåáëÿòüñÿ ñ îòðèöàíèåì: C’est un étudiant ne sachant pas lire un texte français couremenJ
Ýòî ñòóäåíò, íå óìåþùèé (êîòîðûé íå óìååò) áåãëî ÷èòàòü ôðàíöóçñêèé òåêñò.
Íåîáõîäèìî îòëè÷àòü ïðè÷àñòèå íàñòîÿùåãî âðåìåíè le participe présent îò ãëàãîëüíîãî ïðè÷àñòèÿ l’adjectif verbal ïîñëåäíåå íèêîãäà íå ñîïðîâîæäàåòñÿ äîïîëíåíèåì èëè îáñòîÿòåëüñòâîì, íå óïîòðåáëÿåòñÿ â îòðèöàòåëüíîé ôîðìå è âñåãäà ñîãëàñóåòñÿ â ðîäå è ÷èñëå ñ ñóùåñòâèòåëüíûì, ê êîòîðîìó îíî îòíîñèòñÿ: Ce sont des livres interessants Elle nous a raconté des choses étonnantes
Ýòî èíòåðåñíûå êíèãè Îíà ðàññêàçàëà íàì óäèâèòåëüíûå âåùè.
Ïðè÷àñòèå íàñòîÿùåãî âðåìåíè âûðàæàåò îäíîâðåìåííîñòü ñ äåéñòâèåì, âûðàæåííûì ëè÷íîé ôîðìîé ãëàãîëà: Je vois J’ai vu Je verrai
une fillette jouant dans la cour.
ß âèæó ß âèäåë ß óâèæó
äåâî÷êó, èãðàþùóþ âî äâîðå. äåâî÷êó, èãðàâøóþ âî äâîðå. äåâî÷êó, èãðàþùóþ âî äâîðå.
Ïðè÷àñòèå ïðîøåäøåãî âðåìåíè (Le participe passé) Ïðè÷àñòèå ïðîøåäøåãî âðåìåíè â ñîîòâåòñòâóþùèõ ãðóïïàõ ãëàãîëîâ èìååò ñëåäóþùèå îêîí÷àíèå: 1. Ãëàãîëû ïåðâîé ãðóïïû -é: parler – parlé ãîâîðèòü ñêàçàííûé. 2. Ãëàãîëû âòîðîé ãðóïïû -i: finir – fini êîí÷àòü êîí÷åííûé; 3. Ãëàãîëû òðåòüåé ãðóïïû: -i partir – parti óåçæàòü óåõàâøèé; -u rendre – rendu îòäàâàòü îòäàííûé; -s asseoir – assis ñàæàòü (íà ñòóë) ñåâøèé (íà ñòóë); -t écrir – écrit ïèñàòü íàïèñàííûé. Ó íåêîòîðûõ ãëàãîëîâ òðåòüåé ãðóïïû îêîí÷àíèå ÿâëÿåòñÿ íåîòäåëèìûì îò îñíîâû: lire ÷èòàòü lu ïðî÷èòàííûé; dire ñêàçàòü – dit ñêàçàííûé; mettre ñòàâèòü – mis ïîñòàâëåííûé; voir âèäåòü – vu óâèäåííûé. "&
Ïðè÷àñòèå ïðîøåäøåãî âðåìåíè, óïîòðåáëÿåìîå ñî âñïîìîãàòåëüíûìè ãëàãîëàìè avoir èìåòü èëè être áûòü, îáðàçóåò ñëîæíûå âðåìåííûå ôîðìû: j’ai lu ÿ (ïðî) ÷èòàë; j’avais lu ÿ (ïðî) ÷èòàë;
je suis parti j’étais parti
ÿ óøåë; ÿ óåõàë; ÿ óøåë; ÿ óåõàë.
Óïîòðåáëÿåìîå ñàìîñòîÿòåëüíî, áåç âñïîìîãàòåëüíîãî ãëàãîëà, ïðè÷àñòèå ïðîøåäøåãî âðåìåíè îçíà÷àåò ïðèçíàêè, ñâîéñòâà: la lettre écrite les livres lus
íàïèñàííîå ïèñüìî; ïðî÷èòàííûå êíèãè.
Ñîãëàñîâàíèå ïðè÷àñòèÿ ïðîøåäøåãî âðåìåíè (L’accord du participe passé) Ïðè÷àñòèå ïðîøåäøåãî âðåìåíè, óïîòðåáëÿåìîå áåç âñïîìîãàòåëüíîãî ãëàãîëà, ñîãëàñóåòñÿ â ðîäå è ÷èñëå ñ ñóùåñòâèòåëüíûì, ê êîòîðîìó îíî îòíîñèòñÿ: la règle apprise des livres achetés
âûó÷åííîå ïðàâèëî; êóïëåííûå êíèãè.
Ïðè÷àñòèå ïðîøåäøåãî âðåìåíè ãëàãîëîâ, ñïðÿãàåìûõ â ñëîæíûõ âðåìåííûõ ôîðìàõ ñ ãëàãîëîì avoir èìåòü, íèêîãäà íå ñîãëàñóåòñÿ ñ ïîäëåæàùèì: Nous avons lu des livres intéressants
Ìû ïðî÷èòàëè èíòåðåñíûå êíèãè.
Ïðè÷àñòèå ïðîøåäøåãî âðåìåíè ñîãëàñóåòñÿ ñ ïðÿìûì äîïîëíåíèåì, êîòîðîå ñòîèò ïåðåä ãëàãîëîì: Les livres que nous avons lus sont intéressants Combien de lettres avez vous écrites? Nous les avons vues hier
Êíèãè, êîòîðûå ìû ïðî÷èòàëè, èíòåðåñíûå Ñêîëüêî ïèñåì âû íàïèñàëè? Ìû âèäåëè èõ (æ. ð.) â÷åðà.
Ïðè÷àñòèå ïðîøåäøåãî âðåìåíè, ïîñëå êîòîðîãî ñòîèò èíôèíèòèâ, íå èçìåíÿåòñÿ: La dicté que nous avons dû écrire n’était pas difficile
Äèêòàíò, êîòîðûé ìû äîëæíû áûëè íàïèñàòü, íå áûë òðóäíûì.
Ïðè÷àñòèå ïðîøåäøåãî âðåìåíè íåïåðåõîäíûõ ãëàãîëîâ, êîòîðûå ñïðÿãàþòñÿ ñ ãëàãîëîì être áûòü è ãëàãîëîâ, èñïîëüçîâàííûõ â ñòðàäàòåëüíîì çàëîãå, ñîãëàñóåòñÿ ñ ïîäëåæàùèì: Elle est sortie Ils sont partis Cette lettre est écrite par mon ami
Îíà âûøëà Îíè âûåõàëè Ýòî ïèñüìî íàïèñàíî ìîèì äðóãîì.
"'
Ïðè÷àñòèÿ ïðîøåäøåãî ñîãëàñóåòñÿ ñ ïîäëåæàùèì:
âðåìåíè
Les oiseaux se sont envolés Elle s’est tue
ìåñòîèìåííûõ
ãëàãîëîâ
Ïòèöû óëåòåëè Îíà çàìîë÷àëà.
Âîçâðàòíîå ìåñòîèìåíèå ýòèõ ãëàãîëîâ íå ÿâëÿåòñÿ íè ïðÿìûì, íè êîñâåííûì äîïîëíåíèåì, à ïðåäñòàâëÿåò ñîáîé ñâîåîáðàçíóþ ÷àñòèöó, êîòîðàÿ óêàçûâàåò, ÷òî äåéñòâèå ñîñðåäîòî÷åíî â ñàìîì ñóáúåêòå. Åñëè âîçâðàòíîå ìåñòîèìåíèå ÿâëÿåòñÿ ïðÿìûì äîïîëíåíèåì, òî ïðè÷àñòèå ïðîøåäøåãî âðåìåíè, ñîãëàñóÿñü ñ ýòèì äîïîëíåíèåì, ñîãëàñóåòñÿ è ñ ïîäëåæàùèì Ils se sont lavés Elle s’est lavée (çäåñü se — ïðÿìîå äîïîëíåíèå:
Îíè óìûëèñü Îíà óìûëàñü (óìûëà ñåáÿ).
Ïðè÷àñòèå ïðîøåäøåãî âðåìåíè ìåñòîèìåííûõ ãëàãîëîâ íå èçìåíÿåòñÿ, åñëè âîçâðàòíîå ìåñòîèìåíèå íå ÿâëÿåòñÿ êîñâåííûì äîïîëíåíèåì: Elle s’est lavé les mains Îíà âûìûëà (ñåáå) ðóêè Elle s’est acheté un beau sac Îíà êóïèëà ñåáå õîðîøóþ ñóìêó. (çäåñü se — êîñâåííîå äîïîëíåíèå).
Ïðè÷àñòèå ïðîøåäøåãî ñëîæíîãî âðåìåíè (Le participe passé composé) Ïðè÷àñòèå ïðîøåäøåãî ñëîæíîãî âðåìåíè le participe passé composé îáðàçóåòñÿ ñ ó÷àñòèåì âñïîìîãàòåëüíîãî ãëàãîëà avoir èìåòü èëè être áûòü â ôîðìå ïðè÷àñòèÿ íàñòîÿùåãî âðåìåíè è ïðè÷àñòèÿ ïðîøåäøåãî âðåìåíè ñïðÿãàåìîãî ãëàãîëà: àyant lu
ïðî÷èòàâ
étant parti óåõàâ
Ïðè÷àñòèå ïðîøåäøåãî ñëîæíîãî âðåìåíè âûðàæàåò äåéñòâèå, êîòîðîå ïðîèñõîäèò äî äåéñòâèÿ, âûðàæåííîãî ëè÷íîé ôîðìîé ãëàãîëà:
#
Ayant fait son devoir
— il va se promener. — il est allé se promener. — il ira se promener.
Âûïîëíèâ çàäàíèå,
îí èäåò ïîãóëÿòü. îí ïîøåë ïîãóëÿòü. îí ïîéäåò ïîãóëÿòü.
 ãëàãîëàõ, êîòîðûå ñïðÿãàþòñÿ ñ ãëàãîëîì être, ôîðìà étant îïóñêàåòñÿ: (Étant) Rentrés à la maison, nous nous sommes mis au travail
Âåðíóâøèñü äîìîé, ìû ïðèíÿëèñü çà ðàáîòó.
Ó ìåñòîèìåííûõ ãëàãîëîâ ôîðìà étant íå îïóñêàåòñÿ: S’étant baignés dans la rivière les enfants sont allés à la maison
Èñêóïàâøèñü â ðåêå, äåòè ïîøëè äîìîé.
Âîçâðàòíîå ìåñòîèìåíèå ñîãëàñîâûâàåòñÿ ñ ïîäëåæàùèì â ëèöå è ÷èñëå: M’étant retournée, j’ai vu mon ami
Îáåðíóâøèñü, ÿ óâèäåë ñâîåãî äðóãà.
Ïðè÷àñòèÿ íàñòîÿùåãî âðåìåíè è ïðè÷àñòèÿ ïðîøåäøåãî ñëîæíîãî âðåìåíè ìîãóò îòíîñèòüñÿ ê äðóãîìó ïîäëåæàùåìó, êîòîðîå íå ñîâïàäàåò ñ ïîäëåæàùèì, äåéñòâèå êîòîðîãî âûðàæåíî ãëàãîëîì â ëè÷íîé ôîðìå. Òàêàÿ êîíñòðóêöèÿ íàçûâàåòñÿ àáñîëþòíûì äååïðè÷àñòíûì îáîðîòîì la proposition participe absolue: Nos études terminant, nous avons décidé d’aller au sud Pierre ayant fait ses devoirs, nous sommes allés nous promener
Ïîñêîëüêó íàøè çàíÿòèÿ çàêàí÷èâàëèñü, ìû ðåøèëè ïîåõàòü íà þã Êîãäà Ïüåð âûó÷èë óðîêè, ìû ïîøëè ïîãóëÿòü.
Àáñîëþòíûé îáîðîò la proposition participe absolue ñ ïðè÷àñòèåì íàñòîÿùåãî âðåìåíè le participe présent âûðàæàåò îäíîâðåìåííîñòü ïî îòíîøåíèþ ê äåéñòâèþ ãëàâíîãî ïðåäëîæåíèÿ, à ïðè÷àñòèå ïðîøåäøåãî ñëîæíîãî âðåìåíè le participe passé composé âûðàæàåò äåéñòâèå, êîòîðîå ïðîèñõîäèò äî äåéñòâèÿ ãëàâíîãî ïðåäëîæåíèÿ. Ýòîò îáîðîò ïåðåâîäèòñÿ îáñòîÿòåëüñòâåííûì ïðèäàòî÷íûì ïðåäëîæåíèåì.
ÃÅÐÓÍÄÈÉ (LE GÉRONDIF) Ãåðóíäèé le gérondif ýòî îòãëàãîëüíàÿ ôîðìà, âûðàæàþùàÿ äåéñòâèå, êîòîðîå ïðîèñõîäèò îäíîâðåìåííî ñ äåéñòâèåì ãëàâíîãî ïðåäëîæåíèÿ. Ïî ôîðìå ãåðóíäèé ñîâïàäàåò ñ ïðè÷àñòèåì íàñòîÿùåãî âðåìåíè. Õàðàêòåðíîé îñîáåííîñòüþ ôðàíöóçñêîãî ãåðóíäèÿ ÿâëÿåòñÿ íàëè÷èå ÷àñòèöû en. Èíîãäà ãåðóíäèé ìîæåò óïîòðåáëÿòüñÿ áåç ýòîé ÷àñòèöû, à íà ðóññêèé ÿçûê îí ïåðåâîäèòñÿ äååïðè÷àñòèåì: Elle nous regardait en souriant
Îíà ñìîòðåëà íà íàñ, óñìåõàÿñü.
#
×àñòèöà en ìîæåò îòäåëÿòüñÿ îò ãëàãîëüíîé ôîðìû òîëüêî ëè÷íûì ãëàãîëüíûì ìåñòîèìåíèåì-äîïîëíåíèåì: En nous parlant, elle souriait
Ðàçãîâàðèâàÿ ñ íàìè, îíà óëûáàëàñü.
Ãåðóíäèé îçíà÷àåò äîïîëíèòåëüíîå äåéñòâèå, îäíîâðåìåííîå ñ äåéñòâèåì, âûðàæåííûì ãëàãîëîì â ëè÷íîé ôîðìå: En attendant le train, nous nous promenions sur le quai En lisant les journaux, nous apprenons des choses intéressantes
Îæèäàÿ ïîåçäà, ìû ïðîãóëèâàëèñü ïî ïåððîíó ×èòàÿ ãàçåòû, ìû óçíàåì èíòåðåñíûå âåùè.
×àñòî, äëÿ òîãî ÷òîáû ïîä÷åðêíóòü îäíîâðåìåííîñòü äåéñòâèÿ, ïåðåä ãåðóíäèåì óïîòðåáëÿåòñÿ íàðå÷èå tout ñîâñåì; ñîâåðøåííî, êîòîðîå â ýòîì ñëó÷àå ÿâëÿåòñÿ ÷àñòèöåé è íà ðóññêèé ÿçûê íå ïåðåâîäèòñÿ: Tout en parlant, il regardait son ami
Ðàçãîâàðèâàÿ (ïðîäîëæàÿ ðàçãîâàðèâàòü), îí ñìîòðåë íà ñâîåãî äðóãà.
Ãåðóíäèé òàêæå âûïîëíÿåò ôóíêöèþ îáñòîÿòåëüñòâà: En sortant de l’Académie, j’ai vu notre professeur
#
Âûõîäÿ èç Àêàäåìèè, ÿ óâèäåë íàøåãî ïðåïîäàâàòåëÿ.
ÍÀÐÅ×ÈÅ (L’ADVERBE) Íàðå÷èå íåèçìåíÿåìàÿ ÷àñòü ðå÷è, êîòîðàÿ óêàçûâàåò íà õàðàêòåð äåéñòâèÿ èëè êà÷åñòâà. Íàðå÷èå ñîïðîâîæäàåò ãëàãîë, ïðèëàãàòåëüíîå, ïðè÷àñòèå, ñóùåñòâèòåëüíîå: courir vite — áûñòðî áåæàòü; très intéressant — î÷åíü èíòåðåñíî; très bien — î÷åíü õîðîøî.
Ïî çíà÷åíèþ íàðå÷èÿ äåëÿòñÿ íà: 1) êà÷åñòâåííûå, óêàçûâàþùèå íà êà÷åñòâåííûå ïðèçíàêè äåéñòâèÿ, ñîñòîÿíèÿ, ñïîñîá èõ âûÿâëåíèÿ, êîëè÷åñòâåííîå îïðåäåëåíèå ïðèçíàêà: vite áûñòðî; facilement ëåãêî; peu ìàëî;
bien õîðîøî; ensemble âìåñòå; beaucoup ìíîãî;
2) îáñòîÿòåëüñòâåííûå, êîòîðûå óêàçûâàþò íà âðåìÿ, ìåñòî, ïðè÷èíó, öåëü äåéñòâèÿ: maintenant ñåé÷àñ; ici çäåñü; partout âåçäå;
toujours loin pourquoi
âñåãäà; äàëåêî; ïî÷åìó;
3) ìîäàëüíûå, êîòîðûå óêàçûâàþò íà âåðîÿòíîñòü äåéñòâèÿ, à òàêæå åãî îöåíêó, â òîì ÷èñëå óòâåðäèòåëüíûå è îòðèöàòåëüíûå íàðå÷èÿ: certainement vraiment oui si
êîíå÷íî; ïðàâäà; äà; äà;
4) îáîáùàþùèå:
enfin íàêîíåö; généralement â îáùåì;
5) âîïðîñèòåëüíûå:
quand? êîãäà?; combien? ñêîëüêî?;
probablement âåðîÿòíî; heureusement ñ÷àñòëèâî; non íåò;
finalement â êîíöå êîíöîâ; bref êîðî÷å ãîâîðÿ; pourquoi? ïî÷åìó, çà÷åì?; où? ãäå, êóäà?
Íàðå÷èÿ áûâàþò: ïðîñòûå: vite áûñòðî; bien õîðîøî; mal ïëîõî; ñëîæíûå: enfin íàêîíåö; beaucoup ìíîãî; longtemps äîëãî; #!
ïðîèçâîäíûå, êîòîðûå îáðàçóþòñÿ îò ïðèëàãàòåëüíîãî â æåíñêîì ðîäå ïóòåì ïðèáàâëåíèÿ ñóôôèêñà -ment: lent ìåäëåííûé – lente ìåäëåííàÿ – lentement ìåäëåííî; long äîëãèé – longue äîëãàÿ – longuement äîëãî.
Îò ïðèëàãàòåëüíûõ, îêàí÷èâàþùèõñÿ íà -ant, îáðàçóþòñÿ íàðå÷èÿ ñ îêîí÷àíèåì -amment: constant ïîñòîÿííûé – constamment ïîñòîÿííî; méchant çëîé – méchamment çëîáíî; çëî.
Îò ïðèëàãàòåëüíûõ, îêàí÷èâàþùèõñÿ íà -ent, îáðàçóþòñÿ íàðå÷èÿ ñ îêîí÷àíèåì -emment: patient òåðïåëèâûé— patiemment òåðïåëèâî; prudent îñòîðîæíûé — prudemment îñòîðîæíî.
 ðîëè íàðå÷èÿ ïðè ãëàãîëàõ óïîòðåáëÿþòñÿ íåêîòîðûå ïðèëàãàòåëüíûå â ôîðìå ìóæñêîãî ðîäà: parler bas – ãîâîðèòü òèõî; coûter cher – ñòîèòü äîðîãî; sentir bon – õîðîøî ïàõíóòü;
parler haut – ãîâîðèòü ãðîìêî; aller droit – èäòè ïðÿìî.
Êðîìå íàðå÷èé, ñóùåñòâóþò íàðå÷íûå îáîðîòû, ñîñòîÿùèå èç ðàçëè÷íûõ ýëåìåíòîâ: à présent – òåïåðü, â íàñòîÿùåå âðåìÿ; par hasard – ñëó÷àéíî; peu à peu – ïîíåìíîãó; d’habitude – êàê îáû÷íî; de bon cœur – îõîòíî.
Ñòåïåíè ñðàâíåíèÿ íàðå÷èé (Les degrés de comparaison des adverbes) Ñòåïåíè ñðàâíåíèÿ ïðè÷àñòèé îáðàçóþòñÿ ïóòåì óïîòðåáëåíèÿ ñëîâ plus áîëüøå; áîëåå; moins ìåíüøå; ìåíåå; aussi òàêæå; òîæå; ñòîëü æå ïåðåä ñîîòâåòñòâóþùèì íàðå÷èåì.  ïðåâîñõîäíîé ñòåïåíè óïîòðåáëÿåòñÿ îïðåäåëåííûé àðòèêëü ìóæñêîãî ðîäà (ñì. òàáëèöó íèæå). Íàðå÷èÿ beaucoup ìíîãî; peu ìàëî; bien õîðîøî; ìíîãî; î÷åíü; mal ïëîõî èìåþò îñîáûå ôîðìû ñòåïåíåé ñðàâíåíèÿ. Ñòåïåíè ñðàâíåíèÿ îáðàçóþò òîëüêî íàðå÷èÿ, îáîçíà÷àþùèå êà÷åñòâî, ÷èñëî (bien õîðîøî; ìíîãî; î÷åíü; mal ïëîõî; vite ñêîðî; áûñòðî; peu ìàëî; beaucoup ìíîãî; ãîðàçäî); íàðå÷èÿ âðåìåíè (tôt ðàíî; ñêîðî; tard ïîçäíî; souvent ÷àñòî), íàðå÷èÿ ìåñòà (près áëèæå; îêîëî; loin äàëåêî), à òàêæå íàðå÷èÿ ñ ñóôôèêñîì -ment (lentement ìåäëåííî; longuement äîëãî). #"
Ñòåïåíü ñðàâíåíèÿ (Un degré de comparaison)
Ïðèìåðû (Examples)
Ñðàâíèòåëüíàÿ Il court plus vite que moi. Îí áåæèò áûñòðåå, ÷åì ÿ. ñòåïåíü (Le compa- Il court moins vite que moi. Îí áåæèò ìåäëåííåå, ÷åì ÿ. ratif) Il court aussi vite que moi. Îí áåæèò òàê æå áûñòðî, êàê ÿ. Ïðåâîñõîäíàÿ ñòåïåíü (Le superlatif) Íàðå÷èÿ (Les advebes)
Il court le plus vite que tous. Îí áåæèò áûñòðåå âñåõ. Il court le moins vite que tous. Îí áåæèò ìåäëåííåå âñåõ.
Ñðàâíèòåëüíàÿ ñòåïåíü (Le comparatif)
beaucoup ìíîãî; peu bien mal
íàèáîëåå; áîëüøå, áîëåå âñåãî; moins ìåíüøå; ìåíåå; le moins ìåíüøå, ìåíåå âñåãî; le mieux ëó÷øå âñåãî; mieux ëó÷øå; le pis õóæå âñåãî. pis õóæå plus
ìàëî; õîðîøî; ïëîõî
Ïðåâîñõîäíàÿ ñòåïåíü (Le superlatif)
áîëüøå; áîëåå;
le plus
Ìåñòî íàðå÷èÿ â ïðåäëîæåíèè Íàðå÷èÿ, êîòîðûå âûïîëíÿþò ôóíêöèÿ îáñòîÿòåëüñòâà âðåìåíè, íå èìåþò ïîñòîÿííîãî ìåñòà â ïðåäëîæåíèè. Îíè ìîãóò ñòîÿòü â íà÷àëå èëè â êîíöå ïðåäëîæåíèÿ: Demain elle part Elle part demain
Çàâòðà îíà óåçæàåò Îíà óåçæàåò çàâòðà.
Åñëè ãëàãîë óïîòðåáëÿåòñÿ â ïðîñòîé âðåìåííîé ôîðìå, íàðå÷èå, êàê ïðàâèëî, ñòîèò ïîñëå ãëàãîëà: Il travaille beaucoup Il pleut énormement
Îí ìíîãî ðàáîòàåò Èäåò ñèëüíûé äîæäü.
Åñëè ãëàãîë óïîòðåáëÿåòñÿ â ñëîæíîé âðåìåííîé ôîðìå, íàðå÷èå ñòîèò ïîñëå ïðè÷àñòèÿ ïðîøåäøåãî âðåìåíè: Il est parti hier
Îí óåõàë â÷åðà.
Íàðå÷èÿ bien õîðîøî; ìíîãî; î÷åíü; mal ïëîõî; beaucoup ìíîãî; ãîðàçäî; peu ìàëî; assez äîâîëüíî; äîñòàòî÷íî; encore åùå; ñâåðõ òîãî; ##
déjà óæé; jamais íèêîãäà; êîãäà-ëèáî; êîãäà-íèáóäü ñòîÿò ìåæäó âñïîìîãàòåëüíûì ãëàãîëîì è ïðè÷àñòèåì ïðîøåäøåãî âðåìåíè: Il a bien travaillé Elle est déjà partie Il n’est pas encore revenu
Îí õîðîøî ïîðàáîòàë Îíà óæå óåõàëà Îí åùå íå âåðíóëñÿ.
Íàðå÷èÿ ñ ñóôôèêñîì -ment ìîãóò ñòîÿòü ïîñëå ïðè÷àñòèÿ ïðîøåäøåãî âðåìåíè èëè ïåðåä íèìè: Il est arrivé heureusement Il est heureusement arrivé
Îí ïðèåõàë áëàãîïîëó÷íî Îí áëàãîïîëó÷íî ïðèáûë.
Ïðèëàãàòåëüíûå, óïîòðåáëÿåìûå êàê íàðå÷èÿ, ñòîÿò ïîñëå ïðè÷àñòèÿ ïðîøåäøåãî âðåìåíè: Il est arrêté net
#$
Îí âíåçàïíî îñòàíîâèëñÿ.
ÓÒÂÅÐÆÄÅÍÈß, ÎÒÐÈÖÀÍÈß, ÎÃÐÀÍÈ×ÅÍÈß Âî ôðàíöóçñêîì ÿçûêå èìåþòñÿ äâå ôîðìû óòâåðæäåíèÿ: oui è si. Ñëîâî oui óïîòðåáëÿåòñÿ êàê îòâåò íà âîïðîñ â óòâåðäèòåëüíîé ôîðìå: Est-il venu? (Oui, il est venu) — Oui. Îí ïðèøåë? Äà. (Äà, îí ïðèøåë).
Ñëîâî si óïîòðåáëÿåòñÿ êàê óòâåðäèòåëüíûé îòâåò íà âîïðîñ â îòðèöàòåëüíîé ôîðìå: — N’est-il pas venu? — Si. (Si, il est venu).
Îí íå ïðèøåë? Íåò, îí ïðèøåë. (Äà íåò, îí ïðèøåë).
Îòðèöàíèå âî ôðàíöóçñêîì ÿçûêå èìååò äâå ôîðìû: óäàðíóþ non è áåçóäàðíóþ ne. Îòðèöàòåëüíàÿ ôîðìà non óïîòðåáëÿåòñÿ ñàìîñòîÿòåëüíî è ñîîòâåòñòâóåò ðóññêîìó îòðèöàíèþ íåò. — Est-il venu? — Non.
Îí ïðèøåë? Íåò.
Îòðèöàòåëüíàÿ ôîðìà ne óïîòðåáëÿåòñÿ êàê îòðèöàíèå ïðè ãëàãîëå, ñîîòâåòñòâóåò ðóññêîìó íå è ñîïðîâîæäàåòñÿ, êàê ïðàâèëî, äðóãèì ýëåìåíòîì îòðèöàíèÿ (pas íå; íåò; íè; point íå; íåò; îòíþäü íå; âîâñå íå; guère íå î÷åíü; ñîâñåì íåìíîãî; ïî÷òè íå; plus áîëüøå; áîëåå; jamais íèêîãäà; êîãäà-ëèáî; êîãäà-íèáóäü; rien íè÷òî íè÷åãî; personne íèêòî): Je ne le connais point Il n’est jamais en retard Je ne vois personne
ß åãî ñîâñåì íå çíàþ Îí íèêîãäà íå îïàçäûâàåò ß íèêîãî íå âèæó.
Îòðèöàòåëüíàÿ ôîðìà ne ñòîèò ìåæäó ïîäëåæàùèì è ñêàçóåìûì, à îò ñêàçóåìîãî îíà ìîæåò îòäåëÿòüñÿ òîëüêî ïðèëàãàòåëüíûìè ìåñòîèìåíèÿìè-äîïîëíåíèÿìè: Je ne le connais pas Je ne le lui dirai pas
ß åãî íå çíàþ ß åìó ýòîãî íå ñêàæó.
Åñëè ãëàãîë óïîòðåáëÿåòñÿ â ïðîñòîé âðåìåííîé ôîðìå, òî âòîðîé ýëåìåíò îòðèöàíèÿ ñòîèò ïîñëå ãëàãîëà: Il ne part pas demain
Îí íå åäåò çàâòðà.
#%
Åñëè ãëàãîë óïîòðåáëÿåòñÿ â ñëîæíîé âðåìåííîé ôîðìå, òî âòîðîé ýëåìåíò îòðèöàíèÿ ñòîèò ïîñëå âñïîìîãàòåëüíîãî ãëàãîëà ïåðåä ïðè÷àñòèåì ïðîøåäøåãî âðåìåíè: Je ne l’ai pas vu Il ne m’a rien dit
ß åãî íå âèäåë Îí ìíå íè÷åãî íå ñêàçàë.
Èñêëþ÷åíèåì ÿâëÿåòñÿ íàðå÷èå personne íèêòî, êîòîðîå ñòîèò ïîñëå ïðè÷àñòèÿ ïðîøåäøåãî âðåìåíè: Je n’ai vu personne
ß íå âèäåë íèêîãî.
Åñëè ãëàãîë óïîòðåáëÿåòñÿ â èíôèíèòèâå, òî îáå ÷àñòè îòðèöàíèÿ ñòîÿò ïåðåä èíôèíèòèâîì: Il m’a conseillé de ne pas partir
Îí ïîñîâåòîâàë ìíå íå óåçæàòü.
Îòðèöàòåëüíàÿ ôîðìà ne â ñî÷åòàíèè ñ ñîþçîì que ÷òî; êîòîðûé óïîòðåáëÿåòñÿ â êà÷åñòâå îãðàíè÷åíèÿ. Îáîðîò ne… que èìååò òàêîå æå çíà÷åíèå, êàê è íàðå÷èå seulement òîëüêî; ëèøü. Ñëîâî ne ñòîèò ïåðåä ãëàãîëîì, à ñîþç que ïîñëå íåãî: Ce garçon n’a que dix ans Il ne parle que de ses amis Je ne connais que cet homme
#&
Ýòîìó ìàëü÷èêó òîëüêî äåñÿòü ëåò Îí ãîâîðèò òîëüêî ëèøü î ñâîèõ äðóçüÿõ ß çíàþ òîëüêî ýòîãî ÷åëîâåêà.
ÏÐÅÄËÎà (LA PRÉPOSITION) Ïðåäëîã ñëóæåáíîå ñëîâî, êîòîðîå âûðàæàåò ðàçëè÷íûå ãðàììàòè÷åñêèå îòíîøåíèÿ ìåæäó ñëîâàìè â ïðåäëîæåíèè èëè â ñëîâîñî÷åòàíèè. Ïî ñòðóêòóðå ïðåäëîãè äåëÿòñÿ íà: 1) ïðîñòûå: à; de; en; entre ìåæäó; pour äëÿ; sans áåç; 2) ñëîæíûå: au-dessus íàä; au-dessous ïîä; à travers ÷åðåç. Ê ñëîæíûì ïðåäëîãàì îòíîñÿòñÿ ïðåäëîæíûå îáîðîòû, êîòîðûå ñîñòîÿò èç íåñêîëüêèõ ñëîâ: autour de âîêðóã, âîçëå; en face de íàïðîòèâ;
à côté de ðÿäîì; le long de âäîëü.
Âî ôðàíöóçñêîì ÿçûêå ïðåäëîãè âûðàæàþò ãðàììàòè÷åñêèå îòíîøåíèÿ, êîòîðûå â ðóññêîì ÿçûêå ñîîòâåòñòâóþò îïðåäåëåííûì ïàäåæàì: C’est le livre de mon ami Je donne ce livre à mon ami
Ýòî êíèæêà ìîåãî äðóãà (ðîä. ïàä.) ß äàþ ýòó êíèæêó ìîåìó äðóãó (äàò. ïàä.).
 îòëè÷èå îò ðóññêîãî ÿçûêà, âî ôðàíöóçñêîì ÿçûêå ïðåäëîãè óïîòðåáëÿþòñÿ ïðè èíôèíèòèâå: Il a promis de me donner ce livre Il m’a aidé à faire ce travail
Îí îáåùàë äàòü ìíå ýòó êíèãó Îí ïîìîã ìíå ñäåëàòü ýòó ðàáîòó.
Ïðåäëîãè èìåþò ñîáñòâåííîå ëåêñè÷åñêîå çíà÷åíèå è ìîãóò âûðàæàòü îòíîøåíèÿ âðåìåíè, ìåñòà, ïðè÷èíû è òîìó ïîäîáíîå: Il est venu après nous
Îí ïðèøåë ïîñëå íàñ (âðåìÿ)
Votre livre est sur la table
Âàøà êíèãà íà ñòîëå (ìåñòî)
La mère est restée à la maison à cause de la maladie de son fils
Ìàòü îñòàëàñü äîìà èç-çà áîëåçíè ñûíà (ïðè÷èíà).
#'
Óïîòðåáëåíèå íåêîòîðûõ ïðåäëîãîâ Ïðåäëîã à â; äî; íà; î; ïî; ïðè; ñ; ÷åðåç ââîäèò: 1) îáñòîÿòåëüñòâà ìåñòà è âðåìåíè: Il va à l’école Il est venu à dix heures
2) êîñâåííîå äîïîëíåíèå: J’écris à mon ami
Îí èäåò â øêîëó (ìåñòî) Îí ïðèøåë â äåñÿòü ÷àñîâ (âðåìÿ)
ß ïèøó äðóãó.
3) îïðåäåëåíèå, êîòîðîå óêàçûâàåò íà íàçíà÷åíèå èëè ïðèíàäëåæíîñòü ïðåäìåòà: une machine à coudre un livre à moi
øâåéíàÿ ìàøèíêà; ìîÿ êíèãà.
Ïðåäëîã de â; èç; î; îá; îò; ïðî; ñ ââîäèò: 1) îáñòîÿòåëüñòâà ìåñòà, ïðè÷èíû: Il est arrivé de Paris Elle meurt de fatigue
2) êîñâåííîå äîïîëíåíèå: Je parle de mon ami
Îí ïðèåõàë èç Ïàðèæà Îíà óìèðàåò îò óñòàëîñòè; ß ãîâîðþ î ñâîåì äðóãå;
3) îïðåäåëåíèå, óêàçûâàþùåå íà ïðèíàäëåæíîñòü ïðåäìåòà èëè ìàòåðèàë, èç êîòîðîãî îí ñäåëàí: le livre de mon ami une table de bois
êíèãà ìîåãî äðóãà; äåðåâÿííûé ñòîë.
Ïðåäëîã en â; èç; ïîä; ÷åðåç ââîäèò: 1) îáñòîÿòåëüñòâà âðåìåíè, îáðàçà äåéñòâèÿ è ìåñòà: Il est parti en 1999 Il agit en ami Il est allé en France
Îí óåõàë â 1999 ã. Îí âåäåò ñåáÿ ïî-äðóæåñêè Îí óåõàë âî Ôðàíöèþ
2) îïðåäåëåíèå, êîòîðîå óêàçûâàåò íà ìàòåðèàë, èç êîòîðîãî ñäåëàí ïðåäìåò: une montre en or
çîëîòûå ÷àñû.
Ñóùåñòâèòåëüíîå, ïåðåä êîòîðûì ñòîèò ïðåäëîã en, óïîòðåáëÿåòñÿ áåç àðòèêëÿ. Ïðåäëîã dans â; íà; ïî; ÷åðåç; îêîëî ââîäèò îáñòîÿòåëüñòâà ìåñòà è âðåìåíè: Dans cette Académie il y a beaucoup d’étudiants Je ferai ce travail dans trois jours $
 ýòîé àêàäåìèè ìíîãî ñòóäåíòîâ
ß ñäåëàþ ýòó ðàáîòó ÷åðåç òðè äíÿ.
Ïðåäëîã dans èìååò áîëåå êîíêðåòíîå çíà÷åíèå, ÷åì ïðåäëîãè en è à, ïîýòîìó ñóùåñòâèòåëüíîå, ïåðåä êîòîðûì ñòîèò ïðåäëîã dans, óïîòðåáëÿåòñÿ ñ îïðåäåëåííûì àðòèêëåì èëè äåòåðìèíàòèâîì ce ýòîò (ýòà; ýòî; ýòè); mon ìîé (ìîÿ; ìîå; ìîè); quel êàêîé (êàêàÿ; êàêèå); êîòîðûé (êîòîðàÿ; êîòîðûå): áûòü â êëàññå; áûòü íà çàíÿòèÿõ; áûòü â àêàäåìèè; ïîñòóïèòü â èíñòèòóò.
être dans la classe être en classe être dans l’Académie entrer à l’institut
Ïðè îáîçíà÷åíèè âðåìåíè ïðåäëîãè à, dans, en óêàçûâàþò íà à îïðåäåëåííûé ÷àñ Il est venu à trois heures.
Îí ïðèøåë â òðè ÷àñà.
dans — êàêîé-òî ïðîìåæóòîê âðåìåíè Je ferai ce travail dans trois jours.
ß ñäåëàþ ýòó ðàáîòó ÷åðåç òðè äíÿ.
en êîëè÷åñòâî âðåìåíè Je ferai ce travail en trois jours.
ß ñäåëàþ ýòó ðàáîòó çà òðè äíÿ.
Ïðåäëîãè à, dans, en ñòàâÿòñÿ è ïåðåä ãåîãðàôè÷åñêèìè íàçâàíèÿìè. Ïåðåä íàçâàíèÿìè ãîðîäîâ ñòîèò ïðåäëîã à: à Kiev à Paris à Londre
â Êèåâå; â Ïàðèæå; â Ëîíäîíå.
Åñëè ïåðåä íàçâàíèåì ãîðîäîâ åñòü îïðåäåëåíèÿ, òî óïîòðåáëÿåòñÿ ïðåäëîã dans: dans le beau Kiev dans le vieux Paris
â ïðåêðàñíîì Êèåâå; â ñòàðîì Ïàðèæå.
Ïåðåä íàçâàíèÿìè ñòðàí æåíñêîãî ðîäà ñòàâèòñÿ ïðåäëîã en: en Ukraine en France
â Óêðàèíå; âî Ôðàíöèè;
en Italie en Espagne
â Èòàëèè; â Èñïàíèè.
Ïåðåä íàçâàíèÿìè ñòðàí ìóæñêîãî ðîäà óïîòðåáëÿåòñÿ ïðåäëîã à, êîòîðûé ñëèâàåòñÿ ñ îïðåäåëåííûì àðòèêëåì ìóæñêîãî ðîäà: au Japon au Brésil au Pérou
â ßïîíèè; â Áðàçèëèè; â Ïåðó.
$
ÑÎÞÇ (LA CONJONCTION) Ñîþç ñëóæåáíîå ñëîâî, ñ ïîìîùüþ êîòîðîãî ñîåäèíÿþòñÿ ÷ëåíû ïðåäëîæåíèÿ è îòäåëüíûå ïðåäëîæåíèÿ. Ïî ñâîåé ñòðóêòóðå ñîþçû äåëÿòñÿ òàêèì îáðàçîì: Ïðîñòûå ñîþçû: et è; ou èëè; ëèáî; que ÷òî; si åñëè; mais íî; à; îäíàêî. Ñëîæíûå ñîþçû: bien que õîòÿ; avant que ïîêà íå; pour que äëÿ òîãî, ÷òîáû; parce que ïîòîìó ÷òî; aussitôt que êàê òîëüêî è äðóãèå. Ïî çíà÷åíèþ è óïîòðåáëåíèþ ñîþçû ðàçäåëÿþòñÿ íà ñî÷èíèòåëüíûå è ïîä÷èíèòåëüíûå. Ñî÷èíèòåëüíûå ñîþçû les conjonctions de coordination et è; à; ou èëè; ëèáî; mais íî; à; ni íè ñîåäèíÿþò îäíîðîäíûå ÷ëåíû ïðåäëîæåíèÿ è ïðåäëîæåíèÿ, êîòîðûå âõîäÿò â ñîñòàâ ñëîæíîñî÷èíåííîãî ïðåäëîæåíèÿ: Pierre et Paul sont allés au cinéma
Ïüåð è Ïîëü ïîøëè â êèíî.
Ïîä÷èíèòåëüíûå ñîþçû les conjonctions de subordination que ÷òîáû; ÷òî; äëÿ ÷åãî; îò÷åãî; åñëè; ïóñòü; òîëüêî; ÷åì; íåæåëè; si åñëè; åñëè áû; ëè; èëè; bien que õîòÿ; avant que ïåðåä òåì, êàê ñîåäèíÿþò ïîä÷èíåííûå ïðåäëîæåíèÿ ñ ãëàâíûì: Je sais que vous partez demain
$
ß çíàþ, ÷òî çàâòðà âû óåæàåòå.
ÂÎÑÊËÈÖÀÍÈÅ (L’INTERJECTION) Âîñêëèöàíèå ýòî íåèçìåíÿåìîå ñëîâî, êîòîðîå âûðàæàåò ðàçëè÷íûå ÷óâñòâà (óäèâëåíèå, ðàäîñòü, áîëü è ò. ä.): ah! àõ!; à!; ó!; oh! î!; îõ!; îé; eh! ý!; ýé!; aïe! àé!; ouf! óô!; óõ!; bah! âîò ÷òî!; âîò òàê!; ïîëíîòå!  êà÷åñòâå âîêëèöàíèé ìîãóò âûñòóïàòü íåêîòîðûå ñëîâà è âûðàæåíèÿ òèïà: Halte! Suffit! Silence! Attention! Au secours! Pas possible! Allons donc! Par exemple!
Ñòîé! Õâàòèò! Òèõî! Âíèìàíèå! Ñïàñèòå! Ïîìîãèòå! Êàðàóë! Áûòü íå ìîæåò! Äà ïîëíîòå æå! Ýòî óæ èçâèíèòå!
$!
ÍÀÄÑÒÐÎ×Å×ÍÛÅ ÎÐÔÎÃÐÀÔÈ×ÅÑÊÈÅ ÇÍÀÊÈ Çíàê ( ) accent aigu (óäàðåíèå, óêàçûâàþùåå íà âûñîêèé çâóê) ñòàâèòñÿ íàä áóêâîé -e (â îòêðûòîì ñëîãå) äëÿ îáîçíà÷åíèÿ [e]: été ëåòî; ïðè÷. ïðîø. âðåì. ãëàã. être. Çíàê ( ) accent grave (óäàðåíèå, óêàçûâàþùåå íà íèçêèé çâóê) ñòàâèòñÿ íàä áóêâîé -e äëÿ îáîçíà÷åíèÿ çâóêà [εε]: /
\
mère ìàòü;
frère áðàò.
Accent grave ñòàâèòñÿ äëÿ ðàçëè÷åíèÿ ñëîâ: 1) íàä áóêâîé -a â ñëîâàõ là òàì; òóò; òóäà; à â; äî; íà; î; ïî; ïðè; ñ; ÷åðåç; 2) íàä u â ñëîâå où ãäå; êóäà. Çíàê (^) accent circonflexe (èçëîìàííûé çíàê) â îñíîâíîì óïîòðåáëÿåòñÿ êàê íàäñòðî÷å÷íûé çíàê, à èíîãäà êàê ñìûñëîðàçëè÷èòåëüíûé: du (de + le; de’l) âèä àðòèêëÿ; dû ïðè÷èòàþùèéñÿ; äîëæíûé.
Çíàê (¨) òðåìà tréma óêàçûâàåò, ÷òî äâå ðÿäîì ñòîÿùèå ãëàñíûå áóêâû íå îáðàçóþò áóêâåííîãî ñî÷åòàíèÿ, à îáîçíà÷àþò äâà ðàçíûõ çâóêà: naïf [na-if] íàèâíûé;
maïs [ma-is] ìàèñ; êóêóðóçà.
Àïîñòðîô apostrophe () îáîçíà÷àåò âûïàäåíèå ãëàñíîãî çâóêà â îäíîñëîæíûõ ñëîâàõ, íàïðèìåð, â àðòèêëÿõ le è la, â ïðåäëîãå de, â ìåñòîèìåíèè ce, ïåðåä ñëîâàìè, íà÷èíàþùèìèñÿ ñ ãëàñíîé èëè ñ íåìîãî h: l’ouvrier l’heure
ðàáî÷èé; ÷àñ;
d’une maison äîìà (ðîä. ïàä. åä. ÷èñ.); c’est ýòî (åñòü).
Âûïàäåíèå èëè ïðîïóñê ãëàñíîé ïåðåä äðóãîé ãëàñíîé íàçûâàåòñÿ ýëèçèåé (l’élision). Çíàê (ç) cédille ñòàâèòñÿ ïîä áóêâîé -c ïåðåä áóêâàìè a, o, u è óêàçûâàåò, ÷òî áóêâà c äîëæíà ïðîèçíîñèòüñÿ êàê [s], à íå êàê [k]: leçon óðîê, garçon ìàëü÷èê, français ôðàíöóçñêèé.
$"
ÑÈÍÒÀÊÑÈÑ (LA SYNTAXE) ÏÐÎÑÒÎÅ ÏÐÅÄËÎÆÅÍÈÅ (LA PROPOSITION INDÉPENDANTE)  çàâèñèìîñòè îò öåëè âûñêàçûâàíèÿ ðàçëè÷àþò ïðåäëîæåíèÿ ïîâåñòâîâàòåëüíûå les propositions informatives, êîòîðûå ñîäåðæàò â ñåáå ñîîáùåíèÿ î ôàêòàõ, ñîáûòèÿõ, ÿâëåíèÿõ: Il lit ce livre
Îí ÷èòàåò ýòó êíèãó;
âîïðîñèòåëüíûå les propositions interrogatives, êîòîðûå ñîäåðæàò â ñåáå âîïðîñ î êîì-ëèáî èëè î ÷åì-ëèáî: Lit-il ce livre?
×èòàåò ëè îí ýòó êíèãó?
ïîáóäèòåëüíûå les propositions impératives, êîòîðûå âûðàæàþò ïðîñüáó, ñîâåò, ïðèêàç: Lisez ce livre! Qu’il lise ce livre!
×èòàéòå ýòó êíèãó! Ïóñòü îí ÷èòàåò ýòó êíèãó!
âîñêëèöàòåëüíûå les propositions exclamatives, êîòîðûå âûðàæàþò ðàçëè÷íûå ÷óâñòâà (óäèâëåíèå, ãíåâ, ðàäîñòü è ò. ï.) Que ce livre n’est pas intéressant!
Ðàçâå ýòà êíèãà íå èíòåðåñíàÿ!
Èç ïðèâåäåííûõ ïðèìåðîâ âèäíî, ÷òî ïðåäëîæåíèÿ ìîãóò ïðîèçíîñèòüñÿ ñ âîñêëèöàòåëüíîé èíòîíàöèåé, à íà ïèñüìå ñîïðîâîæäàòüñÿ âîñêëèöàòåëüíûì èëè âîïðîñèòåëüíûì çíàêîì: Il lit ce livre! Lit-il ce livre? Lisez ce livre! Que de beaux livres ici!
Ïîäîáíîãî ðîäà ïðåäëîæåíèÿ îòðèöàòåëüíóþ ôîðìû:
Îí ÷èòàåò ýòó êíèãó! ×èòàåò ëè îí ýòó êíèãó? Ïðî÷èòàéòå ýòó êíèãó! Êàêèå çäåñü õîðîøèå êíèãè!
èìåþò
óòâåðäèòåëüíóþ
Il travaille beaucoup Il ne travaille pas beaucoup
Îí ìíîãî ðàáîòàåò Îí ðàáîòàåò íå ìíîãî
Pourquoi est-il parti? Pourquoi n’est-il pas parti?
Ïî÷åìó îí óøåë? Ïî÷åìó îí íå óøåë?
Partez demain! Ne partez pas demain!
Óåçæàéòå çàâòðà! Íå óåçæàéòå çàâòðà!
è
$#
Qu’elle est hâlée! Qu’elle n’est pas hâlée!
Êàêàÿ îíà çàãîðåëàÿ! Êàêàÿ îíà íåçàãîðåëàÿ!
Âîïðîñèòåëüíûå ïðåäëîæåíèÿ õàðàêòåðèçóþòñÿ: à) èíâåðñèåé ïîäëåæàùåãî: Îí óåõàë?
Est-il parti?
Pierre, est-il parti? Óåõàë ëè Ïüåð?
á) íàëè÷èåì âîïðîñèòåëüíûõ ñëîâ è âûðàæåíèé: Qui est parti? Quand est-il parti? A quelle heure est-il parti? Pourquoi Pierre est-il parti? Qu’est-ce qui est arrivé?
Êòî óåõàë? Êîãäà îí óåõàë?  êîòîðîì ÷àñó îí óåõàë? Ïî÷åìó Ïüåð óåõàë? Êòî ïðèåõàë?
Ñîñòàâ ïðîñòîãî ïðåäëîæåíèÿ Ïî ñîñòàâó ïðåäëîæåíèÿ ðàçäåëÿþòñÿ íà äâóñëîæíûå, îäíîñëîæíûå è íåïîëíûå. Ïðåäëîæåíèÿ, èìåþùèå ïîäëåæàùåå è ñêàçóåìîå, íàçûâàþòñÿ äâóñëîæíûìè les propositions à deux termes: Pierre part (demain)
Ïüåð óåçæàåò (çàâòðà)
Ïðåäëîæåíèÿ, â êîòîðûõ åñòü îäèí ãëàâíûé ÷ëåí, íàçûâàþòñÿ îäíîñëîæíûìè les propositions à un terme: Venez ici! Que faire? Silence! Bonne chance! Bonjour!
Èäèòå ñþäà!; ×òî äåëàòü?; Òèøå!; Æåëàþ óñïåõà!; Äîáðûé äåíü!;
Adieu Merci Quel bonheur! Oui Non
Ïîêà!; Ñïàñèáî!; Êàê ðàíî!; Äà; Íåò.
Ïðåäëîæåíèÿ, ãäå îòñóòñòâóþò ãëàâíûå ÷ëåíû, êîòîðûå ìîãóò áûòü ëåãêî âîññòàíîâëåíû, íàçûâàþòñÿ íåïîëíûìè les propositions à termes réduits: Les boutiques étaient fermées, les rues désertes (= les rues étaient désertes)
Ëàâêè áûëè çàêðûòû, óëèöû ïóñòûííû (= óëèöû áûëè ïóñòûííû).
Òàêèå ïðåäëîæåíèÿ ÷àñòî óïîòðåáëÿþòñÿ â äèàëîãàõ: — J’ai vu Pièrre — Quand? (Quand as-tu vu Pierre?) — Hier. (Je l’ai vu hier) — Où? (Où a-tu vu Pierre?) — A l’école. (Je l’ai vu à l’école) $$
ß âèäåë Ïüåðà Êîãäà? (Êîãäà òû âèäåë Ïüåðà?) Ñåãîäíÿ. (ß åãî âèäåë ñåãîäíÿ) Ãäå? (Ãäå òû âèäåë Ïüåðà?) Â øêîëå. (ß âèäåë Ïüåðà â øêîëå).
Ãëàâíûå ÷ëåíû ïðåäëîæåíèÿ (Les termes essentiels de la proposition) Ïîäëåæàùåå le sujet ãëàâíûé ÷ëåí ïðåäëîæåíèÿ, îáîçíà÷àþùèé ëèöî èëè ïðåäìåò, âûïîëíÿþùèå äåéñòâèå èëè ïîäâåðãàþùèåñÿ âîçäåéñòâèþ ëèöà èëè ïðåäìåòà, âûðàæåííûõ ñêàçóåìûì. Ïîäëåæàùåå ìîæåò áûòü âûðàæåíî: ñàìîñòîÿòåëüíûì ñëîâîì (ñóùåñòâèòåëüíûì, ìåñòîèìåíèåì, ÷èñëèòåëüíûì, èíôèíèòèâîì): Mon ami est parti Personne n’est venu Deux et deux font quatre Lire est utile
Ìîé äðóã óåõàë Íèêòî íå ïðèøåë Äâà è äâà ÷åòûðå ×èòàòü ïîëåçíî;
íåñàìîñòîÿòåëüíûì ñëîâîì (ëè÷íûì ïðèãëàãîëüíûì, ò. å. íåñàìîñòîÿòåëüíûì, ìåñòîèìåíèåì, íåîïðåäåëåííî-ëè÷íûì ìåñòîèìåíèåì on, áåçëè÷íûì il, óêàçàòåëüíûì ce): Il est parti On ne peut pas le faire Il fait froid C’est bien
Îí óåõàë Îí íå ìîæåò ýòîãî ñäåëàòü Õîëîäíî (Ýòî) Õîðîøî.
Ñêàçóåìîå le prédicat ãëàâíûé ÷ëåí ïðåäëîæåíèÿ, âûðàæàþùèé äåéñòâèå, êîòîðîå âûïîëíÿåò èëè êîòîðîìó ïîäâåðãàåòñÿ ïîäëåæàùåå, à òàêæå óêàçûâàþùèé íà ñîñòîÿíèå èëè êà÷åñòâî ïðåäìåòà. Ñóùåñòâóþò ãëàãîëüíîå è èìåííîå ñêàçóåìîå. Ãëàãîëüíîå ñêàçóåìîå áûâàåò: ïðîñòûì le prédicat verbal simple, åñëè îíî âûðàæåíî ãëàãîëîì â ëè÷íîé ôîðìå: Il part
Îí óåçæàåò
Il est parti
Îí óåõàë;
ñëîæíûì le prédicat verbal composé, åñëè îíî âûðàæåíî ïîëóâñïîìîãàòåëüíûì ãëàãîëîì â ëè÷íîé ôîðìå è èíôèíèòèâîì îñíîâíîãî ãëàãîëà: Il doit partir Elle veut rester Nous pouvons travailler Elle va partir Il vient d’arriver
Îí äîëæåí óåõàòü Îíà õî÷åò îñòàòüñÿ Ìû ìîæåì ðàáîòàòü Îíà ñåé÷àñ åäåò Îí òîëüêî ÷òî ïðèåõàë.
%$ Ãëàãîëüíîå ñêàçóåìîå ìîæåò áûòü âûðàæåíî óñòîé÷èâûì ñëîâîñî÷åòàíèåì: Il a faim Il a pris froid
Îí ãîëîäåí Îí ïðîñòóäèëñÿ.
Èìåííîå ñîñòàâíîå ñêàçóåìîå le prédicat nominal ñîñòîèò èç ãëàãîëà-ñâÿçêè è èìåííîé ÷àñòè ñêàçóåìîãî. Ñâÿçêîé ÷àùå âñåãî áûâàåò ãëàãîë être áûòü; íàõîäèòüñÿ: Il est étudiant
Îí ñòóäåíò.
Ôóíêöèþ ñâÿçêè ìîãóò òàêæå âûïîëíÿòü ãëàãîëû devenir ñòàíîâèòüñÿ; äåëàòüñÿ; sembler êàçàòüñÿ; paraître êàçàòüñÿ; rester îñòàâàòüñÿ; ïðåáûâàòü; demeurer îñòàâàòüñÿ; ïðåáûâàòü; s’appeler íàçûâàòüñÿ: Il devient triste Il paraît malade Il reste immobile Il s’appelle Serge
Îí ãðóñòèò Îí êàæåòñÿ áîëüíûì Îí îñòàåòñÿ íåïîäâèæíûì Åãî çîâóò Ñåðæ.
Èìåííàÿ ÷àñòü ñêàçóåìîãî l’attribut ìîæåò áûòü âûðàæåíà ñóùåñòâèòåëüíûì, ïðèëàãàòåëüíûì, ìåñòîèìåíèåì, ÷èñëèòåëüíûì, èíôèíèòèâîì: Pierre est étudiant Il est attentif C’est moi Nous sommes dix Lire c’est apprendre
Ïüåð ñòóäåíò Îí âíèìàòåëüíûé Ýòî ÿ Íàñ äåñÿòü ×èòàòü çíà÷èò ó÷èòüñÿ.
Âòîðîñòåïåííûå ÷ëåíû ïðåäëîæåíèÿ (Les termes secondaires de la proposition) Äîïîëíåíèå le complément d’objet âòîðîñòåïåííûé ÷ëåí ïðåäëîæåíèÿ, êîòîðûé îçíà÷àåò ïðåäìåò, íà êîòîðûé íàïðàâëåíî äåéñòâèå. Äîïîëíåíèå ìîæåò áûòü ïðÿìûì èëè êîñâåííûì. Ïðÿìîå äîïîëíåíèå óïîòðåáëÿåòñÿ áåç ïðåäëîãà: Il lit un livre Elle écrit une lettre
Îíà ÷èòàåò êíèãó Îíà ïèøåò ïèñüìî.
Êîñâåííîå äîïîëíåíèå óïîòðåáëÿåòñÿ ñ ïðåäëîãîì: Il écrit à ses parents $&
Îí ïèøåò ñâîèì ðîäèòåëÿì.
Äîïîëíåíèå, ïðÿìîå è êîñâåííîå, ìîæåò áûòü âûðàæåíî ñóùåñòâèòåëüíûì, ìåñòîèìåíèåì, èíôèíèòèâîì: Il lit un livre aux enfants Il le leur lit Je pense à lui Il a fait cela Il aime travailler Il s’est décidé à habiter ici
Îí ÷èòàåò êíèãó äåòÿì Îí èì åå ÷èòàåò ß äóìàþ î íåì Îí ñäåëàë ýòî Îí ëþáèò ðàáîòàòü Îí ðåøèë çäåñü æèòü (ïîñåëèòüñÿ).
Îáñòîÿòåëüñòâî le complément circonstanciel âòîðîñòåïåííûé ÷ëåí ïðåäëîæåíèÿ, êîòîðûé óêàçûâàåò íà ñïîñîá ñîâåðøåíèÿ äåéñòâèÿ è íà îáñòîÿòåëüñòâà, ïðè êîòîðûõ ñîâåðøàåòñÿ äåéñòâèå (âðåìÿ, ìåñòî, ïðè÷èíó, öåëü è óñëîâèå). Îáñòîÿòåëüñòâî ìîæåò áûòü âûðàæåíî íàðå÷èåì, ñóùåñòâèòåëüíûì, èíôèíèòèâîì è ìåñòîèìåíèåì ñ ïðåäëîãîì: Il part demain pour Paris Il part pour voir ses amis Sans toi, je serais seul
Çàâòðà îí åäåò â Ïàðèæ Îí åäåò ïîâèäàòüñÿ ñî ñâîèìè äðóçüÿìè Áåç òåáÿ ìíå áóäåò îäèíîêî.
Îïðåäåëåíèå le complément déterminatif âòîðîñòåïåííûé ÷ëåí ïðåäëîæåíèÿ, êîòîðûé îòíîñèòñÿ ê ñóùåñòâèòåëüíîìó è îáîçíà÷àåò ïðèçíàê ïðåäìåòà, åãî ñâîéñòâà. Âûðàæàåòñÿ ïðèëàãàòåëüíûì, äååïðè÷àñòèåì, íàðå÷èåì, ÷èñëèòåëüíûì è èíôèíèòèâîì: un livre français un livre lu le journal d’hier le stylo de mon ami les deux livres une salle à manger
ôðàíöóçñêàÿ êíèãà; ïðî÷èòàííàÿ êíèãà; â÷åðàøíÿÿ ãàçåòà; ðó÷êà ìîåãî äðóãà; (òå) äâå êíèãè; ñòîëîâàÿ.
Ïðèëîæåíèå le nom en apposition ðàçíîâèäíîñòü îïðåäåëåíèÿ, êîòîðàÿ óêàçûâàåò íà ïðèçíàê ïðåäìåòà è âìåñòå ñ òåì äàåò åìó äðóãîå íàçâàíèå: Kiev, capitale de l’Ukraine, est une belle ville Le capitaine Javel est parti Son père est ingénieur-électricien
Êèåâ, ñòîëèöà Óêðàèíû, êðàñèâûé ãîðîä Êàïèòàí Æàâåëü óåõàë Åãî îòåö èíæåíåð-ýëåêòðèê.
$'
Îáðàùåíèå le mot mis en apostrophe óêàçûâàåò íà ëèöî, ê êîìó îáðàùàþòñÿ: Bonjour, mon ami Pierre, venez ici
Çäðàâñòâóé, äîðîãîé äðóã Ïüåð, èäè ñþäà.
Ââîäíûå ñëîâà les mots intercalés ïîêàçûâàþò îòíîøåíèå òîãî, êîòîðûé ãîâîðèò, ê âûñêàçûâàåìûì èì ìûñëÿì. Il est arrivé, heureusement Il viendra, peut-être
Ê ñ÷àñòüþ, îí ïðèåõàë Âåðîÿòíî, îí ïðèäåò.
Ïîðÿäîê ñëîâ â ïîâåñòâîâàòåëüíîì ïðåäëîæåíèè Â ïîâåñòâîâàòåëüíîì ïðåäëîæåíèè ïîäëåæàùåå ñòîèò ïåðåä ñêàçóåìûì: Paul part Il est parti hier
Ïîëü óåçæàåò Îí óåõàë â÷åðà.
Ïðÿìîå äîïîëíåíèå, âûðàæåííîå ñóùåñòâèòåëüíûì, ñòàâèòñÿ ïîñëå ñêàçóåìîãî, êîñâåííîå äîïîëíåíèå ïîñëå ïðÿìîãî: Paul écrit une lettre à ses parents
Ïîëü ïèøåò ïèñüìî ñâîèì ðîäèòåëÿì.
Êîñâåííîå äîïîëíåíèå èíîãäà ìîæåò ñòîÿòü â íà÷àëå ïðåäëîæåíèÿ ïåðåä ïîäëåæàùèì: De sa vie, il ne voulait pas parler
Î ñâîåé æèçíè îí íå õîòåë ãîâîðèòü.
Äîïîëíåíèÿ-ìåñòîèìåíèÿ ñòàâÿòñÿ ïåðåä ñêàçóåìûì: Paul la leur écrit Il nous le dit
Ïîëü èì ýòî ïèøåò Îí íàì ýòî ãîâîðèò.
Îáñòîÿòåëüñòâî ìîæåò ñòîÿòü â íà÷àëå ïðåäëîæåíèÿ è ïîñëå ñêàçóåìîãî: Demain il part Il part demain
Çàâòðà îí óåçæàåò Îí óåçæàåò çàâòðà.
Îïðåäåëåíèå, âûðàæåííîå ñóùåñòâèòåëüíûì, ñòàâèòñÿ ïîñëå îïðåäåëÿåìîãî ñëîâà: Le livre de mon ami
Êíèãà ìîåãî äðóãà.
Îïðåäåëåíèå, âûðàæåííîå ïðèëàãàòåëüíûì, ìîæåò ñòîÿòü ïåðåä ñóùåñòâèòåëüíûì èëè ïîñëå íåãî: Une belle maison Un livre français %
Êðàñèâûé äîì Ôðàíöóçñêàÿ êíèãà (Êíèãà íà ôðàíöóçñêîì ÿçûêå).
Ïîðÿäîê ñëîâ â âîïðîñèòåëüíîì ïðåäëîæåíèè Â âîïðîñèòåëüíîì ïðåäëîæåíèè ñóùåñòâóåò ïðÿìîé è íåïðÿìîé ïîðÿäîê ñëîâ. Ïðÿìîé ïîðÿäîê ñëîâ óïîòðåáëÿåòñÿ: 1) åñëè âîïðîñ âûðàæåí èíòîíàöèåé: Vous parlez?
Âû ãîâîðèòå?
Tu comprends? Òû ïîíèìàåòå?
2) ïðè èñïîëüçîâàíèè îáîðîòà est-ce que: Est-ce que Paul est étudiant? Quand est-ce que tu seras libre?
Ïîëü ñòóäåíò? Êîãäà òû áóäåøü ñâîáîäåí?
Èíâåðñèÿ (íåïðÿìîé ïîðÿäîê ñëîâ) áûâàåò ïðîñòîé è ñëîæíîé. Åñëè ïîäëåæàùåå âûðàæåíî ïðèãëàãîëüíûì, èëè íåñàìîñòîÿòåëüíûì ìåñòîèìåíèåì, òî óïîòðåáëÿåòñÿ ïðîñòàÿ èíâåðñèÿ, ïîäëåæàùåå ñòàâèòñÿ ïîñëå ãëàãîëà: Lit-il beaucoup? Peut-on faire? Est-ce facile?
Ìíîãî ëè îí ÷èòàåò? Ìîæíî ñäåëàòü? Ýòî ëåãêî?
Åñëè ïîäëåæàùåå âûðàæåíî ñóùåñòâèòåëüíûì èëè ñàìîñòîÿòåëüíûì ìåñòîèìåíèåì, òî óïîòðåáëÿåòñÿ ñëîæíàÿ èíâåðñèÿ: ïîäëåæàùåå ñòàâèòñÿ ïåðåä ñêàçóåìûì, íî ïîâòîðÿåòñÿ ïîñëå ñêàçóåìîãî â âèäå íåñàìîñòîÿòåëüíîãî ìåñòîèìåíèÿ 3-ãî ëèöà ñîîòâåòñòâóþùåãî ðîäà è ÷èñëà: Paul lit-il beaucoup? Lucie est-elle partie? Ceux-ci sont-ils rentrés?
Ïîëü ìíîãî ÷èòàåò? Ëþñè óåõàëà? Ýòè âåðíóëèñü?
Åñëè ïðåäëîæåíèå íà÷èíàåòñÿ ñ âîïðîñèòåëüíîãî ñëîâà, à ïîäëåæàùåå âûðàæåíî ñóùåñòâèòåëüíûì, òî ìîãóò áûòü îáà âèäà èíâåðñèè. Où vont ces garçons? Ces garçons où vont-ils?
Êóäà èäóò ýòè ìàëü÷èêè?
A qui pensent ces gens? Ces gens à qui pensent-ils?
Î êîì äóìàþò ýòè ëþäè?
Ñëîæíàÿ èíâåðñèÿ îáÿçàòåëüíà: 1) åñëè âîïðîñ îòíîñèòñÿ ê ïðÿìîìó äîïîëíåíèþ. Qui Paul cherche-t-il? Quel livre Paul lit-il?
Êîãî èùåò Ïîëü? Êàêóþ êíèãó ÷èòàåò Ïîëü?
2) ïîñëå ñëîâà pourquoi ïî÷åìó; çà÷åì; îò÷åãî. Pourquoi Paul est-il parti?
Ïî÷åìó óåõàë Ïîëü? %
Ïîñòðîåíèå ïðåäëîæåíèÿ ñ âîïðîñèòåëüíûìè ñëîâàìè Âîïðîñèòåëüíîå ñëîâî qui? êòî?
Ê êàêîìó ÷ëåíó ïðåäëîæåíèÿ îòíîñèòñÿ âîïðîñ: ê îäóøåâëåííîìó ïîäëåæàùåìó Pierre lit Ïüåð ÷èòàåò Qui lit? Êòî ÷èòàåò?
qu’est-ce qui? êòî? ê íåîäóøåâëåííîìó ïîäëåæàùåìó Une auto roule Åäåò àâòîìîáèëü Qu’est-ce qui roule? ×òî åäåò? qui? êîãî?
ê ïðÿìîìó îäóøåâëåííîìó äîïîëíåíèþ Il voit son ami Îí âèäèò ñâîåãî äðóãà Qui voit-il? Êîãî îí âèäèò?
que? ÷òî?
ê ïðÿìîìó íåîäóøåâëåííîìó äîïîëíåíèþ Il lit un livre Îí ÷èòàåò êíèãó Que lit il? ×òî îí ÷èòàåò?
ïðåäëîã +qui? ñ êåì?
ê êîñâåííîìó îäóøåâëåííîìó äîïîëíåíèþ Il parle à Nina Îí ãîâîðèò ñ Íèíîé À qui parle-t-il? C êåì îí ãîâîðèò?
ïðåäëîã +quoi? ÷åì?
ê êîñâåííîìó íåîäóøåâëåííîìó äîïîëíåíèþ Il écrit avec un stylo Îí ïèøåò ðó÷êîé Avec quoi écrit-il? ×åì îí ïèøåò?
où? ãäå? êóäà?
ê îáñòîÿòåëüñòâó ìåñòà Marc va à l’école Où va Marc?
quand? êîãäà?
ê îáñòîÿòåëüñòâó âðåìåíè Il revient le soir Ñåãîäíÿ âå÷åðîì îí âîçâðàòèòñÿ. Quand revient-il? Êîãäà îí âîçâðàòèòñÿ?
comment? êàê?
ê îáñòîÿòåëüñòâó îáðàçà äåéñòâèÿ Il lit bien Îí õîðîøî ÷èòàåò Comment lit-il? Êàê îí ÷èòàåò?
Ìàðê èäåò â øêîëó Êóäà èäåò Ìàðê?
pourquoi? ïî÷åìó? ê îáñòîÿòåëüñòâó ïðè÷èíû Paul revient à la maison Ïîëü âåðíåòñÿ äîìîé, parce qu’il est malade ïîòîìó ÷òî áîëåí Pourquoi Paul Ïî÷åìó Ïîëü âåðíåòñÿ revient-il à la maison? äîìîé? %
Ñïîñîáû âûäåëåíèÿ ÷ëåíîâ ïðåäëîæåíèÿ Âî ôðàíöóçñêîì ÿçûêå ÷ëåíû ïðåäëîæåíèÿ âûäåëÿþòñÿ ñ ïîìîùüþ îáîðîòîâ c’est… qui; c’est… que è ïóòåì ðàñ÷ëåíåíèÿ ôðàçû. Îáîðîò c’est… qui; c’est… que ñëóæèò äëÿ âûäåëåíèÿ ïîäëåæàùåãî. Ïîäëåæàùåå, îáîçíà÷àþùåå îäóøåâëåííûé ïðåäìåò â åäèíñòâåííîì ÷èñëå, âûðàæàåòñÿ ïîñðåäñòâîì îáîðîòà c’est… qui: Paul est venu C’est Paul qui est venu Je suis venu C’est moi qui suis venu Nous sommes arrivés C’est nous qui sommes arrivés Vous êtes libre (s) C’est vous qui êtes arrivés Ils sont partis hier
Ïîëü ïðèøåë Ïðèøåë Ïîëü (Ïðèøåë èìåííî Ïîëü) ß ïðèøåë Ïðèøåë ÿ (Ïðèøåë èìåííî ÿ) Ìû ïðèåõàëè Ýòî ìû ïðèåõàëè Âû ñâîáîäíû Èìåííî (òîëüêî, ëèøü) âû ïðèåõàëè Îíè óåõàëè â÷åðà.
Äëÿ âûäåëåíèÿ ïîäëåæàùåãî, îáîçíà÷àþùåãî îäóøåâëåííûé ïðåäìåò âî ìíîæåñòâåííîì ÷èñëå, ñëóæèò îáîðîòà ce sont… qui: Ce sont eux qui sont partis hier
Ýòî (èìåííî) îíè óåõàëè â÷åðà.
Ñ ïîìîùüþ îáîðîòà c’est… que âûäåëÿåòñÿ ïîäëåæàùåå, îáîçíà÷àþùåå íåîäóøåâëåííûé ïðåäìåò: C’est musique que j’aime le plus
Èìåííî ìóçûêó ÿ ëþáëþ áîëüøå âñåãî.
Îáîðîò c’est… que òàêæå ñëóæèò äëÿ âûäåëåíèÿ ïðÿìîãî è êîñâåííîãî äîïîëíåíèÿ, îáñòîÿòåëüñòâ: Je l’ai vu hier C’est lui que j’ai vu hier Je leur ai parlé C’est à eux que j’ai parlé Je l’ai vue hier C’est hier que je l’ai vue
ß âèäåë åãî â÷åðà Èìåííî åãî ÿ âèäåë â÷åðà ß ñ íèìè ãîâîðèë Èìåííî ñ íèìè ÿ ãîâîðèë ß âèäåë åå â÷åðà Èìåííî â÷åðà ÿ åå âèäåë.
Âûäåëåíèå ÷ëåíîâ ïðåäëîæåíèÿ ïóòåì ðàñ÷ëåíåíèÿ ôðàçû ñîñòîèò â òîì, ÷òî ÷ëåí ïðåäëîæåíèÿ, êîòîðûé âûäåëÿåòñÿ, âûíîñèòñÿ çà ïðåäåëû ïðåäëîæåíèÿ, à â ñàìîì ïðåäëîæåíèè ïîâòîðÿåòñÿ ïðèãëàãîëüíûì ìåñòîèìåíèåì. Òàê ìîæíî âûäåëèòü ïîäëåæàùåå, ïðÿìîå è êîñâåííîå äîïîëíåíèå, îáñòîÿòåëüñòâà: Paul lit bien Il lit bien, Paul J’ai lu ce livre Ce livre, je l’ai lu Il parle de son examen Son examen, il en parle
Ïîëü ÷èòàåò õîðîøî À Ïîëü ÷èòàåò õîðîøî ß ÷èòàë ýòó êíèãó Ýòó êíèãó ÿ è ÷èòàë Îí ãîâîðèò î ñâîåì ýêçàìåíå Êàê ðàç î ñâîåì ýêçàìåíå îí è ãîâîðèò.
%!
ÑËÎÆÍÎÅ ÏÐÅÄËÎÆÅÍÈÅ (LA PHRASE) Ñëîæíûå ïðåäëîæåíèÿ ðàçäåëÿþòñÿ íà ñëîæíîñî÷èíåííûå è ñëîæíîïîä÷èíåííûå.
Ñëîæíîñî÷èíåííîå ïðåäëîæåíèå (La phrase de coordination) Ñëîæíîñî÷èíåííîå ïðåäëîæåíèå ñîñòîèò èç äâóõ èëè áîëüøåãî ÷èñëà ïðåäëîæåíèé, ñîåäèíåííûõ ìåæäó ñîáîé ñëîæíîñî÷èíåííûìè ñîþçàìè: La porte s’ouvre et une femme paraît Rentrons vite car il va pleuvoir Il a pris froid, donc il doit garder le lit
Îòêðûâàåòñÿ äâåðü, è ïîÿâëÿåòñÿ æåíùèíà Äàâàé áûñòðî âåðíåìñÿ, ïîòîìó ÷òî íà÷íåòñÿ äîæäü Îí ïðîñòóäèëñÿ, ñëåäîâàòåëüíî, äîëæåí ëåæàòü â ïîñòåëè.
Áåññîþçíîå ñëîæíîå ïðåäëîæåíèå (La phrase de juxtaposition) Áåññîþçíûì íàçûâàåòñÿ ñëîæíîå ïðåäëîæåíèå, ÷àñòè êîòîðîãî îáúåäèíÿþòñÿ â îäíî öåëîå ñ ïîìîùüþ èíòîíàöèè è îïðåäåëåííûõ ëåêñèêî-ãðàììàòè÷åñêèõ ñïîñîáîâ. La porte s’ouvre, une femme paraît Rentrons vite, il va pleuvoir Il a pris froid, il doit garder le lit
Äâåðü îòêðûâàåòñÿ, ïîÿâëÿåòñÿ æåíùèíà Äàâàéòå áûñòðî âåðíåìñÿ: ñêîðî ïîéäåò äîæäü Îí ïðîñòóäèëñÿ äîëæåí ëåæàòü â ïîñòåëè.
Ñëîæíîïîä÷èíåííîå ïðåäëîæåíèå (La phrase de subordination) Ñëîæíîïîä÷èíåííûì íàçûâàåòñÿ ïðåäëîæåíèå, êîòîðîå ñîñòîèò èç îäíîãî ãëàâíîãî è îäíîãî èëè íåñêîëüêèõ ïðèäàòî÷íûõ ïðåäëîæåíèé. Ïðèäàòî÷íûå ïðåäëîæåíèÿ ïðèñîåäèíÿþòñÿ ê ãëàâíîìó ñ ïîìîùüþ ñëîæíîïîä÷èíåííûõ ñîþçîâ è îòíîñèòåëüíûõ ìåñòîèìåíèé. Le professeur que nous avons vu est célèbre %"
Ïðåïîäîâàòåëü, êîòîðîãî ìû âèäåëè, çíàìåíèòûé.
Elle vous donnera un pièce qui est très rare Je ne sais quand jè vierdrai vous voir
Îíà äàñò ìíå ìîíåòó, êîòîðàÿ î÷åíü ðåäêàÿ ß íå çíàþ, êîãäà ïðèäó ñ âàìè ïîâèäàòüñÿ.
Òèïû ïðèäàòî÷íûõ ïðåäëîæåíèé Ïðèäàòî÷íûå ïðåäëîæåíèÿ ãðàììàòè÷åñêè çàâèñÿò îò ãëàâíîãî ïðåäëîæåíèÿ è âûïîëíÿþò â íåì ôóíêöèþ îäíîãî èç ÷ëåíîâ ïðåäëîæåíèÿ.  çàâèñèìîñòè îò ýòîãî îíè ðàçäåëÿþòñÿ íà ïðèäàòî÷íûå ïðåäëîæåíèÿ ïîäëåæàùèå, ñêàçóåìûå, äîïîëíèòåëüíûå, îïðåäåëèòåëüíûå, îáñòîÿòåëüñòâåííûå. Ïðèäàòî÷íûå ïðåäëîæåíèÿ ïîäëåæàùèå les subordonnées sujets âûïîëíÿþò ôóíêöèþ ïîäëåæàùåãî ãëàâíîãî ïðåäëîæåíèÿ è ïðèñîåäèíÿþòñÿ ê íåìó ñ ïîìîùüþ ñîþçà que ÷òî è ìåñòîèìåíèÿ qui êòî; êîòîðûé: Qu’il soit en retard, c’est certain
Qui cherche, trouve
Îí îïðåäåëåííî îïàçäûâàåò (Òî, ÷òî îí îïàçäûâàåò, ýòî îïðåäåëåííî) Êòî èùåò, òîò íàõîäèò.
Ïðèäàòî÷íûå ïðåäëîæåíèÿ ñêàçóåìûå les subordonnées attributs âûïîëíÿþò ôóíêöèþ èìåííîé ÷àñòè ñêàçóåìîãî. Îíè ïðèñîåäèíÿþòñÿ ê ãëàâíîìó ñîþçîì que ÷òî: Le fait est que nous devons attendre Mon désir est que vous soyez heureux
Äåëî â òîì, ÷òî ìû äîëæíû æäàòü Ìîå æåëàíèå ñîñòîèò â òîì, ÷òîáû âû áûëè ñ÷àñòëèâû.
Äîïîëíèòåëüíûå ïðèäàòî÷íûå ïðåäëîæåíèÿ les subordonnées complétives âûïîëíÿþò ôóíêöèþ äîïîëíåíèÿ ê ãëàãîëó ãëàâíîãî ïðåäëîæåíèÿ. Îíè ïðèñîåäèíÿþòñÿ ê ãëàâíîìó ïðåäëîæåíèþ ñ ïîìîùüþ ñîþçà que ÷òî: Pierre dit qu’il a traduit ce texte Je veux que vous lisiez ce roman
Ïüåð ãîâîðèò, ÷òî ïåðåâåë ýòîò òåêñò ß õî÷ó, ÷òîáû âû ïðî÷èòàëè ýòîò ðîìàí.
Ïðèäàòî÷íûå ïðåäëîæåíèÿ, êîòîðûå ñîäåðæàò â ñåáå êîñâåííóþ ðå÷ü èëè êîñâåííûé âîïðîñ, ïðèñîåäèíÿþòñÿ ê ãëàâíîìó ñ ïîìîùüþ ñëîâ si åñëè; åñëè áû; ëè; qui êòî; êîòîðûé; quel êàêîé; êîòîðûé; quand êîãäà; òîãäà êàê; pourquoi îò÷åãî; ïî÷åìó: Il m’a demandé si je partais Il veut savoir qui est venu hier
Îí ìåíÿ ñïðîñèë, óåçæàþ ëè ÿ Îí õî÷åò çíàòü, êòî â÷åðà ïðèåõàë.
%#
Il veut savoir pourquoi je pars et quand je reviendrai
Îí õî÷åò çíàòü, ïî÷åìó ÿ óåçæàþ è êîãäà âîçâðàùóñü.
Ïðèäàòî÷íûå îïðåäåëèòåëüíûå ïðåäëîæåíèÿ les subordonnées déterminatives âûïîëíÿþò ôóíêöèþ îïðåäåëåíèÿ ñóùåñòâèòåëüíîãî èëè ìåñòîèìåíèé qui êòî; êîòîðûé; que ÷òî; dont êîòîðûé; lequel êîòîðûé; êîòîðàÿ; êîòîðûå: L’homme qui est ici est mon ami L’homme que vous voyez est mon ami Celui dont nous parlons est mon frère
×åëîâåê, êîòîðûé çäåñü íàõîäèòñÿ, ìîé äðóã ×åëîâåê, êîòîðîãî âû âèäèòå, ìîé äðóã Òîò, î êîì ìû ãîâîðèì, ìîé áðàò.
Ïðèäàòî÷íûå îáñòîÿòåëüñòâåííûå ïðåäëîæåíèÿ les subordonnées circonstancielles âûïîëíÿþò ôóíêöèþ îáñòîÿòåëüñòâà ñîâåðøåíèÿ äåéñòâèÿ ãëàâíîãî ïðåäëîæåíèÿ è ïðèñîåäèíÿþòñÿ ê ãëàâíîìó ðàçëè÷íûìè ñîþçàìè. Ïðèäàòî÷íûå ïðåäëîæåíèÿ âðåìåíè ïðèñîåäèíÿþòñÿ ê ãëàâíîìó ñîþçàìè quand; lorsuqe êîãäà; pendant que â òî âðåìÿ êàê; dés que; aussitôt que êàê òîëüêî; avant que ðàíüøå ÷åì; jusqu’à ce que äî òîãî âðåìåíè ïîêà: Il écrivait pendant que son ami lisait Aussitôt qu’il a passé ses examens il est parti Restez ici jusqu’à ce que je revienne
Îí ïèñàë, â òî âðåìÿ êàê åãî äðóã ÷èòàë Êàê òîëüêî îí ñäàë ñâîè ýêçàìåíû, îí óåõàë Îñòàâàéòåñü çäåñü, äî òåõ ïîð ïîêà ÿ íå âåðíóñü.
Ïðèäàòî÷íûå ïðåäëîæåíèÿ ïðè÷èíû ñîåäèíÿþòñÿ ñ ãëàâíûì ñîþçàìè comme ïîñêîëüêó; parce que ïîòîìó ÷òî; puisque èç-çà òîãî, ÷òî: Comme il est déjà tard, nous devons rentrer Nous devons rentrer, parce qu’il est déjà tard Vous ne devez pas sortir puisque vous êtes malade
Ïîñêîëüêó óæå ïîçäíî, ìû äîëæíû âåðíóòüñÿ Ìû äîëæíû âåðíóòüñÿ, ïîñêîëüêó óæå ïîçäíî Âû íå äîëæíû óåçæàòü, òàê êàê âû áîëüíû.
Ïðèäàòî÷íûå ïðåäëîæåíèÿ öåëè ñîåäèíÿþòñÿ ñ ãëàâíûì ïðåäëîæåíèåì ñîþçàìè pour que; afin que äëÿ òîãî, ÷òîáû: Je vous donne ce livre pour que vous le lisiez %$
ß äàþ âàì êíèãó, ÷òîáû âû åå ïðî÷èòàëè.
Óñëîâíûå ïðèäàòî÷íûå ïðåäëîæåíèÿ ñîåäèíÿþòñÿ ñ ãëàâíûì ñ ïîìîùüþ ñîþçîâ à condition que ïðè óñëîâèè, ÷òî; pourvu que åñëè òîëüêî; si åñëè: Je vous donne ce livre à condition que vous me le rendiez Je vous ferai tout pourvu que vous soyez content Il viendrait demain s’il avait le temps
ß äàì âàì ýòó êíèãó ïðè óñëîâèè, ÷òî âû ìíå åå âåðíåòå Åñëè âû òîëüêî áóäåòå äîâîëüíû, ÿ âàì ñäåëàþ âñå Åñëè ó íåãî áóäåò âðåìÿ, îí çàâòðà ïðèäåò.
Óñòóïèòåëüíûå ïðèäàòî÷íûå ïðåäëîæåíèÿ ñîåäèíÿþòñÿ ñ ãëàâíûì ñîþçàìè bien que; quoique õîòÿ; malgré que íåñìîòðÿ íà òî, ÷òî: Bien qu’il fasse froid, nous irons nous promener
Õîòÿ õîëîäíî, ìû èäåì íà ïðîãóëêó.
Ïðèäàòî÷íûå ïðåäëîæåíèÿ ñëåäñòâèÿ ñîåäèíÿþòñÿ ñ ãëàâíûì ñîþçàìè de manière que; de façon que òàê ÷òî; si… que òàê
÷òî; trop… pour que ñëèøêîì
÷òîáû: Il parle lentement de façon que tous Îí ãîâîðèò ìåäëåííî, òàê ÷òî âñå le comprennent åãî ïîíèìàþò La nuit était si noire qu’on ne voyait rien Ñòîÿëà òàêàÿ òåìíàÿ íî÷ü, ÷òî íå âèäíî áûëî íè çãè.
Ïðèäàòî÷íûå ïðåäëîæåíèÿ ìåñòà ñîåäèíÿþòñÿ ñ ãëàâíûì ñ ïîìîùüþ ñîþçà où ãäå; êóäà: J’irai où tu voudras
Ïîéäó òóäà, êóäà ïîæåëàøü.
%%
ÏÐßÌÀß È ÊÎÑÂÅÍÍÀß ÐÅ×Ü (LE DISCOURS DIRECT ET INDIRECT) Ïðÿìàÿ è êîñâåííàÿ ðå÷ü ýòî ñïîñîáû âîñïðîèçâåäåíèÿ è ïåðåäà÷è âûñêàçûâàíèÿ. Ïðÿìàÿ ðå÷ü áåç èçìåíåíèé âîñïðîèçâîäèò ñëîâà ãîâîðÿùåãî, êàê ïðàâèëî, ñîïðîâîæäàåìûå ñëîâàìè àâòîðà: — Je suis ton ami, dit-il.
ß òâîé äðóã, ñêàçàë îí.
Êîñâåííàÿ ðå÷ü ïåðåäàåò ñîäåðæàíèå âûñêàçûâàíèÿ äðóãîãî ëèöà. Ïðåîáðàçîâàíèå ïðÿìîé ðå÷è â êîñâåííóþ âûëèâàåòñÿ â ñëîæíîïîä÷èíåííîå ïðåäëîæåíèå, êîòîðîå ñîåäèíÿåòñÿ ñ ãëàâíûì ñîþçîì que ÷òî. Ñëîâà àâòîðà ñòàíîâÿòñÿ ãëàâíûì ïðåäëîæåíèåì.  çàâèñèìîñòè îò ñîäåðæàíèÿ òàêæå ïðîèñõîäÿò èçìåíåíèÿ ôîðì ëè÷íûõ ìåñòîèìåíèé è ïðèòÿæàòåëüíûõ ïðèëàãàòåëüíûõ. Èñïîëüçóÿ êîñâåííóþ ðå÷ü, íåîáõîäèìî ïðèäåðæèâàòüñÿ îáùèõ ïðàâèë ñîãëàñîâàíèÿ âðåìåí. Il me dit: «J’ai vu ta soeur». Il me dit qu’il a vu ma soeur. Il m’a dit: «Tu n’as pas compris cette règle». Il m’a dit que je n’avais pas compris cette règle.
Îí ìíå ãîâîðèò: ß âèäåë òâîþ ñåñòðó. Îí ìíå ãîâîðèò, ÷òî âèäåë ìîþ ñåñòðó. Îí ìíå ñêàçàë: Òû íå ïîíÿë ýòîãî ïðàâèëà. Îí ìíå ñêàçàë, ÷òî ÿ íå ïîíÿë ýòîãî ïðàâèëà.
Ïðè âîñïðîèçâåäåíèè êîñâåííîé ðå÷üþ ïîáóäèòåëüíûõ ïðåäëîæåíèé ïîâåëèòåëüíîå íàêëîíåíèå ãëàãîëà ïðÿìîé ðå÷è çàìåíÿåòñÿ èíôèíèòèâîì èëè ãëàãîëîì â ôîðìå ñîñëàãàòåëüíîãî íàêëîíåíèÿ: Nous lui avons crié: «Attends-nous!» Nous lui avons crié a nous attendre
Ìû åìó êðèêíóëè: Ïîäîæäè íàñ! Ìû åìó êðèêíóëè, ÷òîáû îí íàñ ïîäîæäàë.
Âîñïðîèçâåäåííûå êîñâåííîé ðå÷üþ âîïðîñèòåëüíûå ïðåäëîæåíèÿ íàçûâàþòñÿ êîñâåííûìè âîïðîñàìè. Ïîðÿäîê ñëîâ â ýòèõ ïðåäëîæåíèÿõ ïðÿìîé. Óïîòðåáëåíèå âðåìåí ïî îáùèì ïðàâèëàì ñîãëàñîâàíèÿ âðåìåí. Ïðåîáðàçóÿ âîïðîñèòåëüíûå ïðåäëîæåíèÿ â êîñâåííóþ ðå÷ü, íåîáõîäèìî ïðèäåðæèâàòüñÿ ñëåäóþùèõ ïðàâèë: 1) îáùèé âîïðîñ çàìåíÿåòñÿ ïðèäàòî÷íûì ïðåäëîæåíèåì, êîòîðîå ñîåäèíÿåòñÿ ñ ãëàâíûì ñ ïîìîùüþ ñîþçà si ëè. %&
Il m’a demandé: «Pars-tu ce soir?» Il m’a demandé si je partais ce soir-là
Îí ñïðîñèë ìåíÿ: Òû óåçæàåøü ñåãîäíÿ âå÷åðîì?. Îí ñïðîñèë ìåíÿ, óåçæàþ ëè ÿ ñåãîäíÿ âå÷åðîì.
2) ïðè ïðåîáðàçîâàíèè ñïåöèàëüíûõ âîïðîñîâ â êîñâåííóþ ðå÷ü âîïðîñèòåëüíûå ñëîâà (ìåñòîèìåíèÿ, ïðè÷àñòèÿ) ñòàíîâÿòñÿ ñîþçíûìè ñëîâàìè: Il lui a demandé: «Qui a dit cela?» Il lui a demandé qui avait dit cela Elle lui a demandé: «Quand pars-tu?» Elle lui a demandé quand elle partait
Îí ó íåãî ñïðîñèë: Êòî ýòî ñêàçàë? Îí ó íåãî ñïðîñèë, êòî ýòî ñêàçàë Îíà ó íåå ñïðîñèëà: Êîãäà òû óåçæàåøü? Îíà ó íåå ñïðîñèëà, êîãäà îíà óåçæàåò.
3) åñëè ïðÿìîé âîïðîñ íà÷èíàåòñÿ ñ âîïðîñèòåëüíîãî ìåñòîèìåíèÿ que, âîïðîñèòåëüíûõ îáîðîòîâ qu’est-ce que; qu’est-ce qui, òî â ïðèäàòî÷íîì ïðåäëîæåíèè óïîòðåáëÿþòñÿ îáîðîòû ce que; ce qui. Il m’a demandé: «Que fais-tu?» Îí (ó) ìåíÿ ñïðîñèë: ×òî òû «Qu’est-ce que tu fais?» äåëàåøü? Il m’a demandé, ce que je faisais
Îí ìåíÿ ñïðîñèë, ÷òî ÿ äåëàë
Il m’a demandé: «Qu’est-ce qui est arrivé?» Il m’a demandé ce qui était arrivé
Îí ñïðîñèë (ó) ìåíÿ: Êòî ïðèåõàë? Îí ñïðîñèë (ó) ìåíÿ, êòî ïðèåõàë.
4) èíâåðñèÿ â ïðèäàòî÷íîì ïðåäëîæåíèè âîçìîæíà, åñëè ïîäëåæàùåå âûðàæåíî ñóùåñòâèòåëüíûì. Lucie a demandé: «Que lit Pierre?» Lucie a demandé ce que lisait Pierre
Ëþñè ñïðîñèëà: ×òî ÷èòàåò Ïüåð? Ëþñè ñïðîñèëà (î òîì), ÷òî ÷èòàåò Ïüåð.
%'
ÑÏÈÑÎÊ ÈÑÏÎËÜÇÎÂÀÍÍÎÉ È ÐÅÊÎÌÅÍÄÓÅÌÎÉ ËÈÒÅÐÀÒÓÐÛ 1. Àíäðååâñêàÿ-Ëåâåíñòåðí Ë. Ñ., Ïîëîçîâà Å. À. Ó÷åáíèê ôðàíöóçñêîãî ÿçûêà äëÿ íåÿçûêîâûõ âóçîâ. Ì.: Âûñø. øê., 1965. 2. Àíòîíîâà Å. Á. Ó÷åáíèê ôðàíöóçñêîãî ÿçûêà äëÿ ñòàðøèõ êóðñîâ âå÷åðíèõ è çàî÷íûõ îòäåëåíèé ôàêóëüòåòîâ èíîñòðàííûõ ÿçûêîâ. Ì.: Âûñø. øê., 1984. 3. Âèòðåíêî Í. ß., Ñàìîõîòñêàÿ È. Ñ. Ó÷åáíèê ôðàíöóçñêîãî ÿçûêà äëÿ íåÿçûêîâûõ (ãóìàíèòàðíûõ) âóçîâ. Ì.: Âûñø. øê., 1971. 4. Ãåîðãèó Ì. ß. Ó÷åáíèê ôðàíöóçñêîãî ÿçûêà. Ì.: Âíåøòîðãèçäàò, 1980. 5. Çîëîòíèöêàÿ Ñ. Ë. Ó÷åáíèê ôðàíöóçñêîãî ÿçûêà äëÿ âå÷åðíåãî è çàî÷íîãî îáó÷åíèÿ â ñðåäíèõ ñïåöèàëüíûõ ó÷åáíûõ çàâåäåíèÿõ. Ì.: Âûñø. øê., 1979. 6. Ëèñåíêî Î. Ì., Ìàãóøèíåöü ². ². Cours moyen de français. Âñòóïíèêàì äî âóç³â. Ê.: Âèùà øê., 1994. 7. Chaffurin Louis. Le parfait secrétaire. Librairie Larousse.— Paris, 1968. 8. Le nouveau Bescerelle. L’art de conjuguer. Librairie A. Hatier.— Paris, 1994. 9. Nouveau Petit Larousse. Dictionnaire Encyclopédique Pour Tous. Librairie Larousse.— Paris, 1979. 10. Référovskaïa E. A., Vassiliéva A. K. Essai de grammaire française.— Ì.: Ïðîñâåùåíèå, 1984.
&
ÑÎÄÅÐÆÀÍÈÅ Ïðåäèñëîâèå ...............................................................................................
3
LEÇONS (ÓÐÎÊÈ) .................................................................................
4
Première leçon. FRANCE (Ôðàíöèÿ) ......................................................... Paris (Ïàðèæ) .................................................................... Economie et industries françaises (Ôðàíöóçñêàÿ ýêîíîìèêà è ïðîìûøëåííîñòü) ..................................................... Le système métrique (Ìåòðè÷åñêàÿ ñèñòåìà) .................... Autorités administratives centrales et locales (Öåíòðàëüíûå è ìåñòíûå àäìèíèñòðàòèâíûå îðãàíû) ..................... Préfecture (Ïðåôåêòóðà) ................................................... Mairie (Ìýðèÿ) ...................................................................
4 7 9 12 15 17 18
Deuxième leçon. LA CORRESPONDANCE D’AFFAIRES (Äåëîâàÿ ïåðåïèñêà) ................................................... Fonctionnement d’un service de correspondance (Ñëóæáà äîñòàâêè êîððåñïîíäåíöèè) .........................
24
Troisième leçon. CONSEILS POUR ÉCRIRE UNE LETTRE D’AFFAIRES (Êàê íàïèñàòü äåëîâîå ïèñüìî) ................................. L’enveloppe (Êîíâåðò) .......................................................
27 30
21
Quatrième leçon. D’AUTRES MOYENS DE CORRESPONDANCE D’AFFAIRES (Äðóãèå ñïîñîáû äåëîâîé ïåðåïèñêè) ...... Le début de la lettre d’affaires (Íà÷àëî äåëîâîãî ïèñüìà) ............................................ Lettre pour entamer un affaire ou offrir ses services (Ïèñüìî î íà÷àëå ñäåëêè èëè ïðåäëîæåíèè óñëóã) ...... Demande de renseignements (Íàâåäåíèå ñïðàâîê) ............... Pour passer une commande (Îôîðìëåíèå çàêàçà) ............... Pour répondre à une demande de renseignement ou à une commande (Îòâåò íà ïðîñüáó î íàâåäåíèè ñïðàâîê èëè î çàêàçå) ................................................................
37
Cinquème leçon. CLASSEMENT DES DOCUMENTS D’AFFAIRES (Êëàññèôèêàöèÿ äåëîâûõ äîêóìåíòîâ) ....................... Dictée de la lettre (Ïèñüìî ïîä äèêòîâêó) ..........................
39 42
Sixième leçon.
LA CIRCULAIRE (Öèðêóëÿð) ........................................... Avis d’établissement d’une succursale (Óâåäîìëåíèå îá ó÷ðåæäåíèè ôèëèàëà) ......................
Septième leçon. L’OFFRE DE SERVICE (Ïðåäëîæåíèå óñëóã) .................. Traits principaux du système de surveillance (Îñíîâíûå îñîáåííîñòè ñëåäÿùåé ñèñòåìû) ..............
33 36 36 36 36
45 47 49 51 &
Huitième leçon. DEMANDES D’EMPLOI (Ïðîñüáû î ïðåäîñòàâëåíèè ðàáîòû) ....................................................................... Demande d’emploi (Ïðîñüáà î ïðåäîñòàâëåíèè ðàáîòû) ....................................................................... Neuvième leçon. LA COMMANDE ET SON EXECUTION (Çàêàç è åãî âûïîëíåíèå) ............................................................... Exemple de commande de produits agricoles (Çàêàç íà ñåëüñêîõîçÿéñòâåííûå ïðîäóêòû) .......................... Dixième leçon.
Onzième leçon.
RÉCLAMATION (Ðåêëàìàöèÿ) ......................................... Réclamation: marchandise non conforme à l’échantillon 15 tonnes de copal “V” par s/s “Congo” du 29/8/99 (Ðåêëàìàöèÿ: íå ñîîòâåòñòâóþùèé îáðàçöó òîâàð 15 òîíí êîïàëîâîé ñìîëû V, äîñòàâëåííîé íà ïàðîõîäå Êîíãî 29/8/99) ............... LA CONSIGNAITON (Êîíñèãíàöèÿ ïðîäàæà òîâàðîâ ÷åðåç ïîñðåäíèêà) ........................................ LES LETTRES DE CRÉDIT (Àêêðåäèòèâû) ..................... Lettre d’introduction et de crédit (Ðåêîìåíäàòåëüíîå ïèñüìî è àêêðåäèòèâ) ..................................................
Douzième leçon. DEMANDES DE RENSEIGNEMENT (Íàâåäåíèå ñïðàâîê) .................................................. Demande de renseignements sur l’honorabilité d’une Maison (Íàâåäåíèå ñïðàâîê î ðåïóòàöèè ôèðìû) ................... Demande de renseignements sur un représentant (Íàâåäåíèå ñïðàâîê î ïðåäñòàâèòåëå ôèðìû) ............
ÃÐÀÌÌÀÒÈ×ÅÑÊÈÉ ÑÏÐÀÂÎ×ÍÈÊ .........................................
54 56 59 60 64
66 69 69 73 76 78 79 81
ÌÎÐÔÎËÎÃÈß (LA MORFOLOGIE) .....................................................
81
ÈÌß ÑÓÙÅÑÒÂÈÒÅËÜÍÎÅ (LE NOM ou SUBSTANTIF) .................. Îáðàçîâàíèå æåíñêîãî ðîäà ñóùåñòâèòåëüíûõ ............................ Îáðàçîâàíèå ìíîæåñòâåííîãî ÷èñëà ñóùåñòâèòåëüíûõ ............... Ñëîæíûå ñóùåñòâèòåëüíûå (Les noms composés) ............................ Ìíîæåñòâåííîå ÷èñëî ñëîæíûõ ñóùåñòâèòåëüíûõ ....................... Ñóùåñòâèòåëüíûå â ïðåäëîæåíèè .................................................. Îïðåäåëèòåëè ñóùåñòâèòåëüíûõ ....................................................
81 81 82 83 84 85 85
ÀÐÒÈÊËÜ (LARTICLE) ........................................................................... ÂÈÄÛ ÀÐÒÈÊËß ................................................................................... Îïðåäåëåííûé àðòèêëü (L’article défini) ......................................... Íåîïðåäåëåííûé àðòèêëü (L’article indéfini) .................................. ×àñòè÷íûé àðòèêëü (Larticle partitif) ............................................
88 88 88 89 89
&
ÓÏÎÒÐÅÁËÅÍÈÅ ÀÐÒÈÊËß ..................................................................
Îïðåäåëåííûé àðòèêëü ................................................................... Íåîïðåäåëåííûé àðòèêëü ............................................................... ×àñòè÷íûé àðòèêëü ........................................................................ Óïîòðåáëåíèå îïðåäåëåííîãî è íåîïðåäåëåííîãî àðòèêëÿ ñ ïðåäëîãàìè de è à ................................................................... Ñëó÷àè íåóïîòðåáëåíèÿ àðòèêëÿ ................................................... Îòñóòñòâèå àðòèêëÿ ïðè íàëè÷èè ïðåäëîãà de ..............................
89 89 90 90 90 91 93
ÈÌß ÏÐÈËÀÃÀÒÅËÜÍÎÅ (L’ADJECTIF) .............................................. 94 Êà÷åñòâåííûå è îòíîñèòåëüíûå ïðèëàãàòåëüíûå ......................... 94 Ðîä ïðèëàãàòåëüíûõ (Le genre des adjectifs) .................................... 94 Èçìåíåíèå ïðèëàãàòåëüíûõ òîëüêî ïóòåì íàïèñàíèÿ .................. 95 Ìíîæåñòâåííîå ÷èñëî ïðèëàãàòåëüíûõ (Le nombre des adjectifs) ................................................................................ 97 Ñîãëàñîâàíèå ïðèëàãàòåëüíûõ (L’accord des adjectifs) .................. 98 Ñîãëàñîâàíèå ñëîæíûõ ïðèëàãàòåëüíûõ (L’accord des adjectifs composés) .................................................................................... 98 Ñòåïåíè ñðàâíåíèÿ ïðèëàãàòåëüíûõ (Les degrés de comparaison des adjectifs) ................................................................................ 99 Ìåñòî ïðèëàãàòåëüíîãî (La place de ladjectif) .............................. 100 Ìåñòîèìåííûå ïðèëàãàòåëüíûå (Les adjectifs pronominaux) .... 101 Óêàçàòåëüíûå ïðèëàãàòåëüíûå (Les adjectifs démonstratifs) ...... 101 Ïðèòÿæàòåëüíûå ïðèëàãàòåëüíûå (Les adjectifs possessifs) ..... 102 Ïðèëàãàòåëüíîå quel (L’adjectif quel) .............................................. 103 Íåîïðåäåëåííûå ïðèëàãàòåëüíûå (Les adjectifs indéfinis) .............. 103 ÈÌß ×ÈÑËÈÒÅËÜÍÎÅ (LE NOM DE NOMBRE ou L’ADJECTIF NUMÉRAL) ....................................................................................... Êîëè÷åñòâåííûå ÷èñëèòåëüíûå (Les noms de nombre cardinaux ou adjectifs cardinaux) .................................................................. Ïîðÿäêîâûå ÷èñëèòåëüíûå (Les noms de nombre ordinaux ou adjectifs ordinaux) ................................................................... ÌÅÑÒÎÈÌÅÍÈÅ (LE PRONOM) .............................................................. Ëè÷íûå áåçóäàðíûå ìåñòîèìåíèÿ (Les pronoms personnels atones) ......................................................................................... Óïîòðåáëåíèå ëè÷íûõ áåçóäàðíûõ ìåñòîèìåíèé è èõ ìåñòî â ïðåäëîæåíèè ........................................................................... Ìåñòîèìåíèå â ðîëè ïîäëåæàùåãî (Les pronoms comme le sujet) .................................................................................. Ìåñòîèìåíèå â ðîëè äîïîëíåíèÿ (Les pronoms comme le complément) ....................................................................... Ìåñòîèìåíèå, óïîòðåáëÿåìûå ñ ïîâåëèòåëüíûì íàêëîíåíèåì (Les pronoms avec l’impératf) .................................................
105 105 106 107 107 108 108 108 109 &!
Ëè÷íûå óäàðíûå ìåñòîèìåíèÿ (Les pronoms personnels toniques) ...................................................................................... Óïîòðåáëåíèå ëè÷íûõ óäàðíûõ ìåñòîèìåíèé .............................. Ìåñòîèìåíèå en ......................................................................... Ìåñòîèìåíèå y ................................................................................ Îòíîñèòåëüíûå ìåñòîèìåíèÿ (Les pronoms relatifs) ........................ Âîïðîñèòåëüíûå ìåñòîèìåíèÿ (Les pronoms interrogatifs) ..............
109 110 110 111 112 112
ÃËÀÃÎË (LE VERBE) ................................................................................. Òèïû ñïðÿæåíèÿ ãëàãîëîâ ..............................................................
114 115
ÍÀÊËÎÍÅÍÈß È ÂÐÅÌÅÍÀ (LES MODES ET LES TEMPS) .......................
115
ÈÇÚßÂÈÒÅËÜÍÎÅ ÍÀÊËÎÍÅÍÈÅ (LE MODE INDICATIF) ......................
117
ÂÐÅÌÅÍÀ  ÈÇÚßÂÈÒÅËÜÍÎÌ ÍÀÊËÎÍÅÍÈÈ ........................ Íàñòîÿùåå âðåìÿ (Le présent) ..........................................................
117 117
ÏÐÎØÅÄØÈÅ ÂÐÅÌÅÍÀ ......................................................................
120 120 121 122 123 125
ÁÓÄÓÙÈÅ ÂÐÅÌÅÍÀ ............................................................................
126 126 127 128
Ïðîøåäøåå ñëîæíîå âðåìÿ (Le passé composé) .............................. Ïðîøåäøåå íåñîâåðøåííîå âðåìÿ (L’imparfait) ............................. Äàâíîïðîøåäøåå âðåìÿ (Le plus-que-parfait) ................................. Ïðîøåäøåå ïðîñòîå âðåìÿ (Le passé simple) .................................. Ïðîøåäøåå ïðåäøåñòâóþùåå âðåìÿ (Passé antérieur) ................... Áóäóùåå ïðîñòîå âðåìÿ (Le futur simple) ......................................... Áóäóùåå ïðåäøåñòâóþùåå âðåìÿ (Le futur antérieur) ...................... Áóäóùåå â ïðîøåäøåì âðåìÿ (Le futur dans le passé) ..................... Áóäóùåå ïðåäøåñòâóþùåå â ïðîøåäøåì âðåìÿ (Le futur antérieur dans le passé) ..................................................
130
ÑÎÃËÀÑÎÂÀÍÈÅ ÂÐÅÌÅÍ (LA CONCORDANCE DES TEMPS) ..................
131
ÁËÈÆÀÉØÈÅ ÂÐÅÌÅÍÀ (LES TEMPS IMMÉDIATS) ................................
131
ÏÎÂÅËÈÒÅËÜÍÎÅ ÍÀÊËÎÍÅÍÈÅ (LE MODE IMPÉRATIF) ....................
132
ÓÑËÎÂÍÎÅ ÍÀÊËÎÍÅÍÈÅ (LE MODE CONDITIONNEL) .........................
134 134 135
Óïîòðåáëåíèå âðåìåí ïîñëå si-óñëîâíîãî ...................................... Óñëîâíîå íàêëîíåíèå â íåçàâèñèìûõ ïðåäëîæåíèÿõ ...................
ÑÎÑËÀÃÀÒÅËÜÍÎÅ ÍÀÊËÎÍÅÍÈÅ (LE MODE SUBJONCTIF) ..............
135
ÇÀËÎÃ (LA VOIX) .....................................................................................
141
ÌÅÑÒÎÈÌÅÍÍÛÅ ÃËÀÃÎËÛ (LES VERBES PRONOMINAUX) .................
142
ÁÅÇËÈ×ÍÛÅ ÃËÀÃÎËÛ (LES VERBES IMPERSONNELS) ...........................
144
ÁÅÇËÈ×ÍÛÅ ÔÎÐÌÛ ÃËÀÃÎËÀ (LES FORMES NON PERSONNELLES DU VERBE) .........................................................................................
145
ÈÍÔÈÍÈÒÈÂ (L’INFINITIF) ..............................................................
145
&"
ÏÐÈ×ÀÑÒÈÅ (LE PARTICIPE) .............................................................
Ïðè÷àñòèå íàñòîÿùåãî âðåìåíè (Le participe présent) .................... Ïðè÷àñòèå ïðîøåäøåãî âðåìåíè (Le participe passé) ..................... Ñîãëàñîâàíèå ïðè÷àñòèÿ ïðîøåäøåãî âðåìåíè (L’accord du participe passé) ............................................................................ Ïðè÷àñòèå ïðîøåäøåãî ñëîæíîãî âðåìåíè (Le participe passé composé) ......................................................................................
147 147 148 149 150
ÃÅÐÓÍÄÈÉ (LE GÉRONDIF) ...............................................................
151
ÍÀÐÅ×ÈÅ (LADVERBE) .................................................................... Ñòåïåíè ñðàâíåíèé íàðå÷èé (Les degrés de comparaison des adverbes) ............................................................................... Ìåñòî íàðå÷èÿ â ïðåäëîæåíèè .......................................................
153 154 155
ÓÒÂÅÐÆÄÅÍÈß, ÎÒÐÈÖÀÍÈß, ÎÃÐÀÍÈ×ÅÍÈß ............................
157
ÏÐÅÄËÎÃ (LA PRÉPOSITION) ................................................................... Óïîòðåáëåíèå íåêîòîðûõ ïðåäëîãîâ .............................................
159 160
ÑÎÞÇ (LA CONJONCTION) ....................................................................
162
ÂÎÑÊËÈÖÀÍÈÅ (L’INTERJECTION) .......................................................
163
ÍÀÄÑÒÐÎ×Å×ÍÛÅ ÎÐÔÎÃÐÀÔÈ×ÅÑÊÈÅ ÇÍÀÊÈ .........................
164
ÑÈÍÒÀÊÑÈÑ (LA SYNTAXE) .............................................................. 165 ÏÐÎÑÒÎÅ ÏÐÅÄËÎÆÅÍÈÅ (LA PROPOSITION INDÉPENDANTE) ....... Ñîñòàâ ïðîñòîãî ïðåäëîæåíèÿ ....................................................... Ãëàâíûå ÷ëåíû ïðåäëîæåíèÿ (Les termes essentiels de la proposition) .............................................................................. Âòîðîñòåïåííûå ÷ëåíû ïðåäëîæåíèÿ (Les termes secondaires de la proposition) .......................................................................... Ïîðÿäîê ñëîâ â ïîâåñòâîâàòåëüíîì ïðåäëîæåíèè ....................... Ïîðÿäîê ñëîâ â âîïðîñèòåëüíîì ïðåäëîæåíèè ............................ Ïîñòðîåíèå ïðåäëîæåíèÿ ñ âîïðîñèòåëüíûìè ñëîâàìè ............... Ñïîñîáû âûäåëåíèÿ ÷ëåíîâ ïðåäëîæåíèÿ .....................................
165 166 167 168 170 171 172 173
ÑËÎÆÍÎÅ ÏÐÅÄËÎÆÅÍÈÅ (LA PHRASE) ........................................... Ñëîæíîñî÷èíåííîå ïðåäëîæåíèå (La phrase de coordination) ........ Áåññîþçíîå ñëîæíîå ïðåäëîæåíèå (La phrase de juxtaposition) ...... Ñëîæíîïîä÷èíåííîå ïðåäëîæåíèå (La phrase de subordination) .... ÒÈÏÛ ÏÐÈÄÀÒÎ×ÍÛÕ ÏÐÅÄËÎÆÅÍÈÉ ......................................
174 174 174 174 175
ÏÐßÌÀß È ÊÎÑÂÅÍÍÀß ÐÅ×Ü (LE DISCOURS DIRECT ET INDIRECT) ................................................................................
178
Ñïèñîê èñïîëüçîâàííîé è ðåêîìåíäóåìîé ëèòåðàòóðû ..........................
180
Ïîñ³áíèê ñêëàäàºòüñÿ ç 12 óðîê³â ³ ãðàìàòè÷íîãî äîâ³äíèêà. Ïåðøèé óðîê ïðèñâÿ÷åíèé Ôðàíö³¿, à â ³íøèõ îäèíàäöÿòè ðîçêðèòî òåìè ä³ëîâèõ â³äíîñèí êîìåðö³éíå ëèñòóâàííÿ ³ äîêóìåíòàö³ÿ, ïðîïîíóâàííÿ ïîñëóã, çàìîâëåííÿ òà ¿õ âèêîíàííÿ, ðåêëàìàö³¿, ñëóæáîâà åòèêà ³ ò. ³í. Ó ãðàìàòè÷íîìó äîâ³äíèêó âèêëàäåíî îñíîâí³ ìîðôîëîã³÷í³ òà ñèíòàêñè÷í³ ïðàâèëà ñó÷àñíî¿ ôðàíöóçüêî¿ ìîâè. Äëÿ øèðîêîãî êîëà îñ³á, ÿê³ áàæàþòü îïàíóâàòè ôðàíöóçüêó ä³ëîâó ìîâó.
Íàâ÷àëüíå âèäàííÿ Êàðïóñü ²ëëÿ Àíäð³éîâè÷ ÔÐÀÍÖÓÇÜÊÀ IJËÎÂÀ ÌÎÂÀ Íàâ÷àëüíèé ïîñ³áíèê 2-ãå âèäàííÿ, ñòåðåîòèïíå (Ðîñ., ôð. ìîâàìè)
Ðåäàêòîð À. Î. Êàäóê Êîìïþòåðíå âåðñòàííÿ Í. Ñ. Ëîïà÷ ϳäï. äî äðóêó 08.12.03. Ôîðìàò 60 × 84/16. Ïàï³ð îôñåòíèé. Äðóê îôñåòíèé. Óì. äðóê. àðê. 10,93. Îáë.-âèä. àðê. 10,3. Òèðàæ 5000 ïð. Çàì. ¹ 1575 ̳æðåã³îíàëüíà Àêàäåì³ÿ óïðàâë³ííÿ ïåðñîíàëîì (ÌÀÓÏ) 252039 Êè¿â-39, âóë. Ôðîìåò³âñüêà, 2, ÌÀÓÏ Ñâ³äîöòâî ïðî âíåñåííÿ äî Äåðæàâíîãî ðåºñòðó ñóáºêò³â âèäàâíè÷î¿ ñïðàâè ÄÊ ¹ 8 â³ä 23.02.2000 Ïðîåêòíî-âèäàâíè÷å êîëåêòèâíå ï³äïðèºìñòâî Óêðòèïïðîåêò 252057, âóë. Åæåíà Ïîòüº, 12
&$